Apart from the rather engaging phrasing of its title, Macpherson's reply to my criticisms of him must be judged a disappointment. For it either misses or entirely avoids their point.I must remind Macpherson that it is he, not I, who conceives the task of political theory as one which deduces political obligation from the nature of man, or derives obligation from fact. Consequently, it is incumbent upon him to show how this is to be done. He now claims that it can be done and that it is not necessary to do it. In the former case it is a problem requiring resolution; in the latter a pseudo-problem which can be ignored.
Dans l'exposé de sa philosophie politique et dans ses critiques de celles des autres, C. B. Macpherson utilise le concept de « déduction » pour désigner l'élaboration du rapport faits-valeur, celui d'« essence » pour décrire les faits relatifs à la nature humaine et celui de « capacites normatives » par opposition à « capacités descriptives » comme caractérisant les divers idéaux des hommes.Cependant sa terminologie est obscure et prête à confusion. Dans son traitement de la relation qui existe entre faits et valeur, il ne parvient ni à bien saisir ce qui les distingue dans leur origine ni à bien voir la nature de leur rapport. Son utilisation du concept d'essence est systématiquement ambigüe du fait qu'il s'en sert tantôt pour établir les conditions empiriques requises pour réaliser un état souhaitable, tantôt pour prétendre à des jugements de réalité sur les motivations humaines et postuler une base morale soit aux finalités de l'activité humaine soil aux facultés individuelles, tantôt pour formuler une définition de l'Homme dont le contenu se veut réel et non simplement nominaliste. Son analyse du concept de capacités, en tant que descriptives et normatives tout à la fois, oublie que ce concept est neutre tant du point de vue de son détenteur que de celui de l'usage qu'il en fait.Pis que de brouiller l'acception de ces concepts, Macpherson, par manque de clarté et de précision à cet égard, est conduit de la sorte à substituer un beau raisonnement à un véritable jugement moral et à suggérer des solutions simplistes à des problèmes sociaux et politiques embarrassants.
As the background to his view that the liberal democratic theory of political obligation implies, under appropriate circumstances, not a right but a duty to resist one's government, Ake provides a judicious account not only of liberal democratic theory but also of utilitarian and legal positivist theory. None the less, his three synopses reveal the almost inevitable hazards of such accounts. The issue is not merely a historical one, for in each case the synoptic account determines the direction which his argument takes.