La politique de la Grande-Bretagne
In: Revue française de science politique, Band 19, Heft 2, S. 429-443
ISSN: 1950-6686
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In: Revue française de science politique, Band 19, Heft 2, S. 429-443
ISSN: 1950-6686
In: Revue française de science politique, Band 16, Heft 6, S. 1142-1147
ISSN: 1950-6686
In: Défense nationale: problèmes politiques, économiques, scientifiques, militaires, Band 50, Heft 3, S. 9-46
ISSN: 0035-1075, 0336-1489
World Affairs Online
In: Revue française de science politique, Band 26, Heft 4, S. 735-745
ISSN: 1950-6686
IN SEARCH OF A NEW WORLD ECONOMIC ORDER. GREAT BRITAIN: RELUCTANT PARTICIPATION, by FRANÇOISE DE LA SERRE
The initial reticence regarding the objective of a new international economic order has now given way in London to numerous statements in favour of greater independence between the industrialized and the developing countries. Despite a few initiatives however — of which the most spectacular is the proposal for a general agreement on commodities — British policy is directed more towards modifying the existing system than reforming international economic relations as a whole. From this point of view, the measures taken to counter the recession and the maintaining of a sufficient volume of world trade are more important than a reorganisation of the monetary system, while a strategy based on trade and multilateral aid is preferred to a more far-reaching change in structures.
[Revue française de science politique XXVI (4), août 1976, pp. 735-745.]
In: Défense nationale: problèmes politiques, économiques, scientifiques, militaires, Band 31, Heft 3, S. 61-81
ISSN: 0035-1075, 0336-1489
World Affairs Online
In: Revue française de science politique, Band 20, Heft 1, S. 37-50
ISSN: 1950-6686
La Grande-Bretagne s'éloigne-t-elle de l'Europe? par Françoise de la Serre
C'est, paradoxalement, au moment où la conjoncture internationale paraît favoriser l'adhésion de la Grande-Bretagne au Marché commun que se développe outre-Manche un courant d'opposition à cette adhésion. Si la détermination du gouvernement d'obtenir l'ouverture de négociations avec la C.E.E. paraît inchangée, elle suscite au sein des partis politiques, des syndicats, de l'opinion publique, une certaine hostilité fondée pour une large part sur la crainte des charges financières qu'entraînerait l'entrée dans la Communauté. Pour sérieuse que soit cette opposition, elle paraît cependant traduire des préoccupations économiques immédiates plus qu'une opposition fondamentale au principe de l'adhésion dont les avantages politiques, essentiels pour les dirigeants, sont mal perçus par la majorité de l'opinion publique britannique.
In: Cahiers de la Fondation Nationale des Sciences Politiques 174
In: Arès: défense et sécurité de la France ; sécurité européenne et internationale ; course aux armements et désarmement ; économie de la défense ; publication de la SDEDSI, Band 12, Heft 3: Politique de défense, S. 81-92
ISSN: 0181-009X
World Affairs Online
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 3, Heft 3, S. 564-567
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
In: Le mouvement social, Heft 134, S. 37
ISSN: 1961-8646
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 45, Heft 3, S. 653-663
ISSN: 1958-8992
Quelle Europe pour quelle Grande-Bretagne ? par Françoise de La Serre
L'importance de l'accord de Bruxelles du 30 mai 1980 ne se résume pas à un échange de concessions mettant fin à la crise liée au problème de la contribution britannique au budget communautaire. Elle tient également au fait que les concessions obtenues par le Royaume-Uni modifient en profondeur la nature de la Communauté. Toute réflexion suscitée par l'évolution future de la CEE passe par cette interrogation : quelle Europe peut-on faire avec la Grande-Bretagne ? "Moins d'Europe" peut signifier la désintégration de l'actuelle Communauté et sa transformation en une vaste zone de libre-échange, mais aussi diverses variations autour du thème de l'Europe à deux vitesses, à géométrie variable, isolant la Grande-Bretagne de certaines politiques communautaires. "Plus d'Europe" passerait par une révision d'ensemble de la construction européenne et par une renégociation globale des principes et des mécanismes sur lesquels elle repose. Mais une telle réforme en profondeur nécessiterait que le Royaume-Uni fasse des propositions construct ves, soit moins crispé sur ses intérêts de producteur et plus ouvert aux contreparties qu'implique une politique commune de l'énergie. Si c'est "plus d'Europe" que veut le gouvernement conservateur, cela suppose au plan intérieur, à la fois une certaine révision de son credo économique et la mobilisation d'une opinion publique que le débat sur le budget a confortée dans des attitudes anti-européennes.
Le scandale des notes de frais ou les récentes révélations sur la corruption d'anciens ministres travaillistes ont profondément affaibli la légitimité de la classe politique britannique. Florence Faucher-King revient sur les principaux épisodes et facteurs qui ont conduit à une crise inédite de la représentation au pays du parlementarisme (.).
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