Suchergebnisse
Filter
145 Ergebnisse
Sortierung:
Les Mamelouks : l'histoire d'esclaves devenus sultans
National audience ; "Avant d'être à la tête d'un État puissant et souverain, les Mamelouks formaient la garde prétorienne des souverains abbassides, puis ayyoubides, et constituaient des contingents militaires importants dans la plupart des armées de l'Orient islamique. Leur autorité était telle, qu'ils finirent pas évincer le pouvoir ayyoubide, fragilisé par la menace croisée puis mongole. Ils s'installèrent sur le trône deux siècles et demi durant, ce qui fut permis par l'intronisation d'un parent éloigné du dernier calife abbasside, et cela afin de s'assurer une légitimité politique durable auprès des populations et des pouvoirs musulmans du Maghreb à l'Indus. Cette aventure rocambolesque a porté Le Caire à son apogée, de nombreux monuments en témoignent encore aujourd'hui."Bab Zman est une revue historique qui publie des articles de vulgarisation en ligne, mais également en version papier sur des thématiques diverses.La revue couvre principalement l'Algérie & le Maghreb, et plus largement l'histoire des mondes musulmans et de la Méditerranée.
BASE
Les Mamelouks : l'histoire d'esclaves devenus sultans
National audience ; "Avant d'être à la tête d'un État puissant et souverain, les Mamelouks formaient la garde prétorienne des souverains abbassides, puis ayyoubides, et constituaient des contingents militaires importants dans la plupart des armées de l'Orient islamique. Leur autorité était telle, qu'ils finirent pas évincer le pouvoir ayyoubide, fragilisé par la menace croisée puis mongole. Ils s'installèrent sur le trône deux siècles et demi durant, ce qui fut permis par l'intronisation d'un parent éloigné du dernier calife abbasside, et cela afin de s'assurer une légitimité politique durable auprès des populations et des pouvoirs musulmans du Maghreb à l'Indus. Cette aventure rocambolesque a porté Le Caire à son apogée, de nombreux monuments en témoignent encore aujourd'hui."Bab Zman est une revue historique qui publie des articles de vulgarisation en ligne, mais également en version papier sur des thématiques diverses.La revue couvre principalement l'Algérie & le Maghreb, et plus largement l'histoire des mondes musulmans et de la Méditerranée.
BASE
Serviteurs ou esclaves ? L'énigme mamelouke élucidée
In: Revue d'histoire moderne et contemporaine, Band 60-1, Heft 1, S. 176-182
ISSN: 1776-3045
Le développement du soufisme en Égypte à l'époque mamelouke
In: Cahier des Annales islamologiques 27
Moise Zumero: dernier mamelouk de la Garde impériale
In: Collection Archives vivantes
Emprunts post-îlkhânides dans l'enluminure mamelouke du IX/XVème sciècle
In: Chronos: revue d'histoire de l'Université de Balamand, Band 26, S. 117-155
ISSN: 1608-7526
L'art de l'enluminure qui s'épanouit au IXème/XVème siècle en Égypte et Syrie mameloukes constitue un substrat particulièrement intéressant pour l'étude des transferts artistiques qui se sont opérés depuis la sphère iranienne. Bien que la majorité des manuscrits de cette époque reste marquée visuellement par la tradition proche-orientale, certains font au contraire clairement référence à des prototypes persans, n 'hésitant pas à reléguer au second plan leur héritage syro-égyptien. Quelles peuvent donc être les raisons d'être d'une telle orientation artistique ? Et que nous apprennent-elles du contexte de production de ces manuscrits ?
Déplacer une ville au temps des Mamelouks: le cas de Tripoli
In: Chronos: revue d'histoire de l'Université de Balamand, Band 19, S. 157-172
ISSN: 1608-7526
Il n'existe aucune œuvre d'un historien mamelouk consacrée exclusivement à la ville de Tripoli. Par contre, on trouve d'abondantes informations sur cette ville du temps des Mamelouks dans les œuvres générales des historiographes contemporains, comme Ibn Kathir (mort en 1373), al-Maqrizî (mort en 1442), Ibn Taghrîbirdî (mort en 1470), Ibn Iyâs (mort en 1524) et Ibn Tûlûn (mort en 1546)2. Dans ces écrits, Tripoli occupe une place plus importante que beaucoup de villes syriennes, car la ville représente une des rares fondations mameloukes et avait fonction de capitale provinciale. Partant, de nombreuses recherches scientifiques ont été effectuées sur cette ville, particulièrement par des historiens libanais, comme par exemple 'Umar 'Abd al-Salâm Tadmurî (1981) et Eliyâs al-Qattàr (1998), qui ont livré les grandes lignes de l'histoire sociopolitiques de cette ville et de sa province à cette époque.
Escalves et maîtres: les mamelouks des beys de Tunis du XVII
In: The journal of North African studies, Band 17, Heft 4, S. 725-727
ISSN: 1743-9345
المعاهدة المبرمة بين رودس والمماليك في العام ; The Convention Signed Between Rhodes and the Mamelouk Sultanate in 1403 ; Le traité conclu entre Rhodes et le sultanat mamelouk en 1403
L'étude des relations diplomatiques dans le monde méditerranéen médiéval occupe aujourd'hui une place importante chez les historiens qui essaient de retracer l'histoire des rapports entre le monde latin et les pays d'Islam, tout particulièrement entre les principales villes marchandes européennes comme Venise, Gênes, Pise, Florence, Barcelone et le sultanat mamelouk. Bien que la plupart des historiens aient pour but d'éditer, de rééditer et d'étudier les traités de paix et les correspondances conservés dans les centres d'archives européennes, ils n'ont pas montré un intérêt sumsant pour les petites villes européennes impliquées dans le commerce méditerranéen, et qui ont eu des rapports diplomatiques très limités avec le sultanat mamelouk vers la fin du XIVe et au XVe siècle. Parmi ces villes, il y a Rhodes, qui, avec la conclusion d'un traité avec le sultanat mamelouk en 1403, a essayé de prendre place sur la carte politique et économique en Méditerranée orientale. Ce traité est le seul document qui nous est parvenu attestant un accord entre le Grand Maître des Hospitaliers Philibert de Naillac et le sultan Faraj. Il est conservé aux archives de Malte, parmi les bulles de chancellerie (folio 172), publié par Sebastiano Paoli en 1737 (Paoli 1737 : 108-110).
BASE
Le traité conclu entre Rhodes et le sultanat mamelouk en 1403
In: Chronos: revue d'histoire de l'Université de Balamand, Band 34, S. 195-218
ISSN: 1608-7526
L'étude des relations diplomatiques dans le monde méditerranéen médiéval occupe aujourd'hui une place importante chez les historiens qui essaient de retracer l'histoire des rapports entre le monde latin et les pays d'Islam, tout particulièrement entre les principales villes marchandes européennes comme Venise, Gênes, Pise, Florence, Barcelone et le sultanat mamelouk. Bien que la plupart des historiens aient pour but d'éditer, de rééditer et d'étudier les traités de paix et les correspondances conservés dans les centres d'archives européennes, ils n'ont pas montré un intérêt sumsant pour les petites villes européennes impliquées dans le commerce méditerranéen, et qui ont eu des rapports diplomatiques très limités avec le sultanat mamelouk vers la fin du XIVe et au XVe siècle. Parmi ces villes, il y a Rhodes, qui, avec la conclusion d'un traité avec le sultanat mamelouk en 1403, a essayé de prendre place sur la carte politique et économique en Méditerranée orientale. Ce traité est le seul document qui nous est parvenu attestant un accord entre le Grand Maître des Hospitaliers Philibert de Naillac et le sultan Faraj. Il est conservé aux archives de Malte, parmi les bulles de chancellerie (folio 172), publié par Sebastiano Paoli en 1737 (Paoli 1737 : 108-110).
L'émancipation du zaǧal oriental de ses modèles andalous à l'ère mamelouke
In: Asiatische Studien: Zeitschrift der Schweizerischen Asiengesellschaft = Etudes asiatiques = Revue de la Société Suisse - Asie, Band 72, Heft 3, S. 819-862
ISSN: 2235-5871
Résumé
Le zaǧal oriental a été considéré comme le petit frère du zaǧal des grands maîtres andalous comme Ibn Quzmān, Mudġalīs et d'autres – du moins, c'est ce que nous pouvons déduire en lisant les premières poétiques de cette forme poétique qui ont été écrites sur la rive orientale de la Méditerranée. Safīyaddīn al-Ḥillī (677/1278–749/1348) qui a été le premier à rédiger une telle poétique fonde sa théorie sur les zaǧals modèles d'Andalousie. Dans sa poétique il catalogue et explique les lois et les règles morphologiques, lexicales et syntactiques selon lesquelles un zaǧǧāl aspirant devrait forger ses vers, tout en soulignant qu'Ibn Quzmān ne voulait défendre que l'utilisation excessive de l'iʿrāb (la flexion désinentielle). Dans une large mesure al-Ḥillī laisse de côté la réalité de la production des zaǧals par les poètes de Syrie, d'Irak et d'Égypte à ce moment-là. Par contre, une poétique postérieure comme le Dafʿ aš-šakk wa-l-mayn fī taḥrīr al-fannayn d'un certain Ǧamāladdīn al-Banawānī (m. 860/1456) ne mentionne de zaǧals andalous et ne tente pas d'en établir des règles. Notre présente contribution a pour but de démontrer d'une part que les poétiques sur le zaǧal se sont émancipées de leurs modèles andalous et les règles de composition que les auteurs tels qu'Ibn Quzmān, pour nommer le plus important, n'ont jamais formulées. D'autre part nous examinons les anthologies de zaǧal et des encyclopédies littéraires écrites en Orient pendant le 7e/13e siècle jusqu'au 9e/15e siècle pour mesurer l'importance des zaǧals andalous comparée à celle des zaǧals autochtones. Finalement nous avons identifié deux groupes distincts auxquels les zaǧǧālūn orientaux appartiennent et nous essaierons de mieux définir le lieu et la date où des zaǧǧālūn orientaux se sont manifestés pour la première fois.
Palais et maisons du Caire du XIVe au XVIIIe siecles, IV
In: Journal of the economic and social history of the Orient: Journal d'histoire économique et sociale de l'orient, Band 29, Heft 1, S. 107
ISSN: 1568-5209