Chez l'enfant, le trouble développemental de la coordination (TDC), ou dyspraxie, est un trouble fréquent se manifestant principalement dans des habiletés gestuelles, et se traduisant souvent par des difficultés d'apprentissage à l'école ainsi que par des limitations dans d'autres activités de la vie quotidienne.Le trouble développemental de la coordination recouvre une grande hétérogénéité, en termes de sévérité mais aussi de forme du trouble, tant au niveau des déficiences et compétences fonctionnelles que des répercussions qui peuvent être importantes sur les activités, la participation sociale et la qualité de vie de l'enfant et sur sa vie à l'âge adulte.Un enjeu majeur est d'établir pour chaque individu une prise en charge et un accompagnement personnalisés et performants. Ce qui nécessite un diagnostic précis et un parcours de santé adapté pour favoriser l'autonomie, l'inclusion et la qualité de vie de ces personnes.Cette expertise collective, sollicitée par la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie, dresse un bilan des connaissances issues des recherches internationales sur le trouble développemental de la coordination. Le groupe d'experts pluridisciplinaire propose des recommandations d'actions et de recherches dans la perspective d'améliorer le diagnostic, la prise en charge, la scolarisation, la participation sociale et le bien-être des personnes concernées et de leur entourage.
Chez l'enfant, le trouble développemental de la coordination (TDC), ou dyspraxie, est un trouble fréquent se manifestant principalement dans des habiletés gestuelles, et se traduisant souvent par des difficultés d'apprentissage à l'école ainsi que par des limitations dans d'autres activités de la vie quotidienne.Le trouble développemental de la coordination recouvre une grande hétérogénéité, en termes de sévérité mais aussi de forme du trouble, tant au niveau des déficiences et compétences fonctionnelles que des répercussions qui peuvent être importantes sur les activités, la participation sociale et la qualité de vie de l'enfant et sur sa vie à l'âge adulte.Un enjeu majeur est d'établir pour chaque individu une prise en charge et un accompagnement personnalisés et performants. Ce qui nécessite un diagnostic précis et un parcours de santé adapté pour favoriser l'autonomie, l'inclusion et la qualité de vie de ces personnes.Cette expertise collective, sollicitée par la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie, dresse un bilan des connaissances issues des recherches internationales sur le trouble développemental de la coordination. Le groupe d'experts pluridisciplinaire propose des recommandations d'actions et de recherches dans la perspective d'améliorer le diagnostic, la prise en charge, la scolarisation, la participation sociale et le bien-être des personnes concernées et de leur entourage.
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Punaisen sävyt: Sosialismin poliittisen kielen evoluutio 1800-luvulta vuoden 1918 sisällissotaan Väitöskirja tutkii suomalaista sosialismia poliittisena kielenä 1800-luvulta vuoden 1918 sisällissotaan saakka. Sosialistisia liikkeitä syntyi kaikkialle Eurooppaan tänä aikajaksona, mutta Suomen suuriruhtinaskunnan sosialistinen puolue kohosi maailman suurimmaksi. Tutkimuksen tavoitteena on tutkia tämän voimakkaan poliittisen kielen sisäistä rikkautta. Tutkimuskysymykset keskittyvät sosialismin ideologiseen evoluutioon kolmella eri tasolla: (1) kuinka sosialismi muuttuu pitkällä aikavälillä, (2) mikä yhdistää ja erottaa työväenliikkeen johdon ja kentän sosialismia ja (3) miten sosialismi kytkeytyy muihin moderneihin poliittisiin kieliin Suomessa? Kysymyksiin vastataan lähi- ja etälukemalla sekä painettuja että käsinkirjoitettuja työväenlehtiä eri puolelta Suomea. Valinnoilla halusin laajentaa aatehistorian lähteitä laadullisesti huippuajattelijoista ruohonjuuritason toimijoihin ja määrällisesti niin suuriin aineistoihin, että niitä on mahdotonta ottaa haltuun historiantutkimuksen perinteisillä menetelmillä. Työssä esitellään yksinkertaisia laskennallisia menetelmiä korpuslingvistiikasta (suhteelliset sanafrekvenssit aikaa myöten, kollokaatiot ja avainsanat), jotka rikastuttavat laadullista analyysia. Painettujen lehtien analyysi paljasti, että sosialismin perustarina pysyi samanlaisena, vaikka käsitteellinen profiili muuttui huomattavasti ajan mittaan. Sosialismin pysyvä tarina jakoi ihmiset kahteen kollektiivisingulaarin talouden pohjalta ("köyhälistö" ja "porvaristo"), maksimoi kurjuuden tapahtumaympäristössä ja selitti päähenkilöiden ja ympäristön välisen suhteen yksiulotteisen kausaliteetin avulla: "järjestelmä" aiheutti kaikki negatiiviset tapahtumat. Sosialismin kieli ei kuitenkaan ollut omalakinen kokonaisuus vaan muuttui myös vuorovaikutuksessa yhteiskunnan kanssa. Työväenlehdistön alkuvaiheessa 1890-luvun puolivälissä liberalismin kaanonista lainatut käsitteet ohjasivat poliittista ajattelua ("tasa-arvoisuus", "äänioikeus", "kansalainen"), kun taas 1900-luvun vaihteessa huomio suuntautui konservatiivisen kielen haltuunottoon ("uskonto", "isänmaa"), sillä voimakkaimmat hyökkäykset sosialismia vastaan hyödynsivät kristillisiä ja nationalistisia käsitteitä. Vuoden 1905 suurlakko teki sosialismin poliittisesta kielestä käsitteellisesti itsenäisemmän suhteessa sen kilpailijoihin. Vallankumousaika 1917–1918 ei tuonut uusia käsitteitä sosialismin kieleen vaan lähinnä voimisti sen äärimmäisiä piirteitä. Aggressio vastustajia kohtaan oli ollut lehdistössä näkyvää viimeistään suurlakosta alkaen, pettymys uudistettuun mutta toimimattomaan parlamentaariseen demokratiaan yleistyi jo eduskunnan ensi vuosina ja ajatus siitä, että nimenomaan keinottelu oli pääsyy köyhälistön kurjuuteen, vakiintui ensimmäisen maailmansodan aikana. Sosialismin diakroninen muutos oli helpompi hahmottaa painetussa sanassa kuin käsinkirjoitetuissa lehdissä. Työväenliikkeen huipun sisäiset kiistat eivät herättäneet suuria aatteellisia intohimoja politiikan ruohonjuuritasolla. Työläiset loivat omilla kirjoituksillaan sosialismin kielen, joka sopi paikallisiin olosuhteisiin. Kyse ei ollut kuitenkaan siitä, että työväenliikkeen kenttä ja johto olisivat muodostaneet kaksi erilaista ja toisistaan irrallista ideologista maailmaa, kuten on joskus esitetty aiemmassa tutkimuksessa. Jako tunteellisen kentän ja valistuneen johdon välillä näyttää epäuskottavalta käsinkirjoitettujen lehtien perusteella, sillä vaikka niissä ilmenevä poliittinen viha voi vaikuttaa pinnalta katsoen "autenttiselta", tarkempi analyysi paljasti, että työläiset käsitteellistivät vihaansa kopioimalla viestejä suoraan painetusta sanasta. Vertailussa ideologisiin kilpailijoihinsa sosialismi, mukaan lukien sen kenttätason variantit, sijoittuu Suomen modernien poliittisten kielten puuhun. Sosialismin tarjoamat kausaaliset selitykset voidaan lukea konservatiivisen kristillisyyden vastakohtana, sillä ne pyrkivät laajentamaan ihmisjärjellä ymmärrettävää maailmaa jumalaisen mysteerin kustannuksella. Sosialismin kieltä voidaan ajatella myös 1800-luvun nationalistisen projektin jatkeena siinä mielessä, että fennomaanit olivat opettaneet rahvasta kuvittelemaan suomalaisia kansalaisia ja vieraita sortajia paikallisyhteisöjen ulkopuolella. Pitkällä aikavälillä politiikan alkeiden opetus kostautui, sillä sosialistit pystyivät hyödyntämään fennomaanista käsitejärjestelmää pienin muutoksin: esimerkiksi muuttamalla kansallisen tietoisuuden luokkatietoisuudeksi, kielellisen sorron taloudelliseksi sorroksi ja suomenkielisen kansan enemmistön työtätekevän kansan enemmistöksi. Aikakäsitykseltään sosialismi muistutti liberalismia horjumattomassa uskossaan edistykseen, mutta sosialistinen temporaliteetti erosi kilpailijastaan määrittelemällä odotetun ja havaitun maailman välisen suhteen uusiksi: mitä suuremmat odotukset tulevaisuuteen kohdistettiin, sitä kriittisemmiksi havainnot "nykyisestä järjestelmästä" muodostuivat. Sosialismin kielen voimakas kausaliteetti, spatiaalisen mielikuvituksen laajentaminen ja temporaliteetin kiihdyttäminen tekevätkin siitä kenties kaikkein "moderneimman" poliittisen kielen Suomen suuriruhtinaskunnassa ennen sisällissotaa. Tutkimus on osoittanut, että modernien poliittisten kielten laajuuden ja syvyyden ymmärtäminen vaatii lähilukemisen rinnalle myös makroskooppisia menetelmiä, jotka ohjaavat tutkijan katseen ainutlaatuisesta yleiseen ja poikkeuksellisesta toistuvaan. ; The thesis studies the political language of Finnish socialism from the nineteenth century until the Civil War of 1918. Socialist movements sprang up throughout Europe during this phase, but the largest socialist party emerged in the Grand Duchy of Finland. The research objective is to understand the ideological complexity of the most powerful political language of its era. The main research questions focus on the evolutionary characteristics of socialism: (1) how does it change over time (2) what are the ideological similarities and differences between the top and the bottom of the labour movement and (3) how does socialism relate to other political languages of Finnish modernity? The questions are answered by reading handwritten and printed newspapers manually and computationally. The selected sources extend the scope of the history of ideas qualitatively from the elite thinkers to the common people and quantitatively to datasets so vast that they elude mere human cognition. Methodologically, the thesis introduces simple computational tools from corpus linguistics (word frequencies over time, collocations and keyness analysis) to a field traditionally dominated by qualitative approaches. The analysis of digitized labour newspapers showed that the macro-narrative of socialism remained relatively stable, whereas its conceptual profile changed considerably over time. The socialist narrative divided the population into two collective singulars based on economics, maximized the misery in the narrative setting and explained the relation between the characters and the setting with one-dimensional causality: it was the "system" that dictated the flow of events. The political language of socialism was not autonomous but evolved in accordance with its complex societal environment. The first phase in the mid-1890s was dominated by many conceptual loans from European liberalism, whereas the turn of the twentieth century shifted the focus towards the conservative canon. The General Strike of 1905 made the political language of socialism more independent in relation to its competitors. Nothing fundamentally new was invented during the revolutionary era of 1917–1918, which highlighted the extreme features of Finnish socialism such as aggression towards political opponents present since the General Strike, disappointment with the reformed but dysfunctional parliament and the idea of profiteering as the primary cause of the proletarian misery publicized during the First World War. Based on the handwritten newspapers, diachronic evolution was not as clear at the grassroots of the labour movement, and ideological disputes that were considered important at the top of the labour movement had little relevance. The working people contributing to the papers constructed a political language of socialism suitable for their local environment. Nevertheless, careful close readings indicated that the stark contrast between enlightened socialism at the top and emotional socialism at the bottom of the labour movement is a product of scholarly imagination: many grassroots conceptualizations of political hatred that may appear superficially "authentic" were actually copied from the printed word. Comparing the political language of socialism to its ideological rivals brought to light that Finnish socialism, including its rank-and-file adaptation, formed one branch in the great tree of modern political languages. Its obsessive causality can be read as the opposite of conservative Christianity, for it sought to extend the realm of the known at the expense of the divine mystery. Its spatial expansion of proletarian imagination can be seen as a continuation of the nationalist project from the nineteenth century, for the Fennoman nationalists had taught the common people to imagine fellow citizens and oppressors outside the local community. From the conceptual perspective, the nationalist introduction to politics backfired in the long term; the conceptual system of Fennoman nationalism could be mobilized in the service of socialism with slight modifications, e.g. changing national awareness to class consciousness, linguistic oppression to economic oppression and the majority of the Finnish-speaking people to the majority of the working people. Socialism resembled liberalism in its unquestioning faith in progress, but the socialist temporality redefined the relation between the expected and the observed: the higher the expectations of the future were loaded, the more critical the observations on the nature of the contemporary reality became. Its excessive causality, spatiality and temporality perhaps make socialism the most "modern" variant of Finnish modernity. Shades of Red has shown that in order to tame the breadth and depth inherent in any modern political language, macroscopic approaches that shift the scholarly focus from the isolated to the general and from the extraordinary to the repeated are needed.
