Organisé avec la collaboration de : - l'INRETS (France), - le LET (France), - le MTPT (Bénin), Avec le concours des équipes du réseau SITRASS. Appui financier : Ministère Français des Affaires Etrangères. ISBN 2-908558-17-3 ; Les actes sont organisés autour des six thèmes suivants : - les expériences et l'enseignement des projets sectoriels des transports (PST) nationaux ; - les réformes de l'entretien routier ; - les mises en concession ferroviaire ; - les restructurations portuaires ; - les transports urbains : évolution du cadre institutionnel ; - les réformes dans d'autres secteurs.
Organisé avec la collaboration de : - l'INRETS (France), - le LET (France), - le MTPT (Bénin), Avec le concours des équipes du réseau SITRASS. Appui financier : Ministère Français des Affaires Etrangères. ISBN 2-908558-17-3 ; Les actes sont organisés autour des six thèmes suivants : - les expériences et l'enseignement des projets sectoriels des transports (PST) nationaux ; - les réformes de l'entretien routier ; - les mises en concession ferroviaire ; - les restructurations portuaires ; - les transports urbains : évolution du cadre institutionnel ; - les réformes dans d'autres secteurs.
L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
L'organisation et le financement de la recherche archéologique française hors du territoire national reposent pour une très large part sur le dispositif géré depuis plus d'un demi-siècle par le Ministère des Affaires Etrangères et Européennes : la Commission consultative de la recherche archéologique à l'étranger évalue et propose le financement des projets de recherche grâce à un appel d'offre annuel, les Instituts français de recherche à l'étranger, codirigés avec le CNRS, organisent dans bon nombre de pays hôtes la coordination des actions de recherche et l'accueil de chercheurs grâce à des structures pérennes. Cette double organisation, seule en France à être explicitement et uniquement dévolue à l'archéologie, prend en charge chaque année de 150 à 200 projets dans une organisation fortement internationalisée puisqu'elle permet à près de 1800 personnes, dont près de 800 non français, de travailler à l'étranger (chiffres année 2010). Elle répond avec une grande efficacité aux besoins des projets et des équipes qui s'en félicitent : une organisation administrative et gestionnaire légère permet une adaptation très rapide et souple aux conditions de travail à l'étranger ; un appel d'offre annuel totalement ouvert géographiquement et thématiquement laisse la capacité d'initiative aux acteurs de la discipline ; le soutien sur place des instituts et des services diplomatiques est un outil précieux pour la réalisation des projets en concertation avec les institutions et les collègues des pays hôtes. après avoir décrit le dispositif, le rapport traite quatre aspects : les relations entre les institutions françaises et étrangères intervenant dans la recherche archéologique à l'étranger les thématiques de recherche et l'évaluation des projets l'organisation et la réalisation des projets l'exploitation des projets à travers la production scientifique, la diffusion et la valorisation des résultats. Ces aspects nous permettent de concentrer l'attention sur les enjeux déterminants et les évolutions souhaitables du ...
La transcription du catalogue mentionnant l'intégralité des oeuvres d'art pillées par les nazis pour le compte de Goering, retrouvé dans les archives du Quai d'Orsay. Avec le récit de leur collecte, puis de leur destin après-guerre (tous les propriétaires n'ayant pas été retrouvés).
National audience ; L a création en 1959 d'un ministère des Affaires culturelles, confié à André Malraux, ne répond pas à un véritable programme politique, mais vise essentiel-lement à conserver l'écrivain au sein du gouver-nement. La V e République s'inscrit en réalité dans un long héritage. La III e République avait déjà été confrontée, dès son installation à la fin du XIX e siècle, à la gestion d'un double héritage: celui transmis, depuis le XVII e siècle, par les diffé-rents régimes monarchiques, et celui, tout aussi essentiel, légué par la décennie révolutionnaire. D'une part, l'État mécène, le système acadé-mique et la laïcisation de la censure, héritages monarchiques, marquent durablement les relations entre le pouvoir et les arts. D'autre part, le « patrimoine national », le musée révolution-naire et la croyance dans les vertus civiques et éducatives des arts sont des legs incontesta-bles de la période révolutionnaire. À la Libé-ration, la IV e République a fait sien l'idéal démocratique issu du Front populaire et de la Résistance sans pour autant concrétiser une politique culturelle autonome. LES MISSIONS DU MINISTÈRE DE LA CULTURE Le ministère Malraux hérite de différents services issus principalement de l'Éducation nationale; et échoue à inté-grer les bibliothèques, la radio-télévision et la politique culturelle extérieure de la France. Le décret du 24 juillet 1959 précise : « Le ministère chargé des affaires culturelles a pour mission de rendre accessibles les oeuvres capitales de l'humanité, et d'abord de la France, au plus grand nombre possible de Français ; d'assurer la plus vaste audience à notre patrimoine culturel, et de favoriser la création des oeuvres d'art et de l'esprit qui l'enrichissent. » La revendication démocratique s'affiche donc dans les attendus de ce décret fonda-teur. Le souci égalitaire et la volonté de démocratisation culturelle sont essentiels. La politique culturelle de Malraux s'inscrit dans la logique de l'État-providence. L'État se donne ainsi pour fin d'assurer à tous le ...
National audience ; L a création en 1959 d'un ministère des Affaires culturelles, confié à André Malraux, ne répond pas à un véritable programme politique, mais vise essentiel-lement à conserver l'écrivain au sein du gouver-nement. La V e République s'inscrit en réalité dans un long héritage. La III e République avait déjà été confrontée, dès son installation à la fin du XIX e siècle, à la gestion d'un double héritage: celui transmis, depuis le XVII e siècle, par les diffé-rents régimes monarchiques, et celui, tout aussi essentiel, légué par la décennie révolutionnaire. D'une part, l'État mécène, le système acadé-mique et la laïcisation de la censure, héritages monarchiques, marquent durablement les relations entre le pouvoir et les arts. D'autre part, le « patrimoine national », le musée révolution-naire et la croyance dans les vertus civiques et éducatives des arts sont des legs incontesta-bles de la période révolutionnaire. À la Libé-ration, la IV e République a fait sien l'idéal démocratique issu du Front populaire et de la Résistance sans pour autant concrétiser une politique culturelle autonome. LES MISSIONS DU MINISTÈRE DE LA CULTURE Le ministère Malraux hérite de différents services issus principalement de l'Éducation nationale; et échoue à inté-grer les bibliothèques, la radio-télévision et la politique culturelle extérieure de la France. Le décret du 24 juillet 1959 précise : « Le ministère chargé des affaires culturelles a pour mission de rendre accessibles les oeuvres capitales de l'humanité, et d'abord de la France, au plus grand nombre possible de Français ; d'assurer la plus vaste audience à notre patrimoine culturel, et de favoriser la création des oeuvres d'art et de l'esprit qui l'enrichissent. » La revendication démocratique s'affiche donc dans les attendus de ce décret fonda-teur. Le souci égalitaire et la volonté de démocratisation culturelle sont essentiels. La politique culturelle de Malraux s'inscrit dans la logique de l'État-providence. L'État se donne ainsi pour fin d'assurer à tous le même accès aux biens culturels. Deux poli-tiques concourent à matérialiser cette volonté : faire accéder tous les citoyens aux La V e République se singularise par la création d'un ministère de la Culture. Cette autonomisation administrative est à l'origine de la mise en place d'une politique publique de la culture 1. Les missions du ministère et la réception de cette politique ont évolué sous l'effet de la construction progressive d'un partenariat avec les collectivités locales, cependant que les évolutions récentes du modèle de politique culturelle suscitent de la part de nombreux observateurs de vives inquétudes 2 .