Dușmanul cel mai înverșunat al Romei, cel care a înfrânt Roma de unul singur în cel de-al doilea război punic, Hannibal a fost unul dintre cei mai speciali războinici ai tuturor timpurilor, de aceea putem numi cel de-al doilea război punic războiul lui. A fost, prin toate acțiunile întreprinse de el, cu adevărat războiul lui cu Roma atât după toate teoriile de seamă despre război, cât mai ales prin faptul că talentatul general cartaginez a învins Roma la ea acasă, spulberând mitul invincibilității ei, de cetate a lui Marte. Nu greșim atunci când afirmăm că Hannibal ar fi învins și pe zeul războiului în acest conflict.De la începutul ostilităților militare până la sfârșitul lor, strategul desăvârșit al punilor a controlat întru totul teatrul de operații, chiar a fost regizorul unic al acestuia, punând inamicul lui, Roma, în cea mai dezastruoasă situație din toate timpurile. Practic, Hannibal a eliminat eșalonul de comandă al armatei romane, dar și armata romană care a fost spulberată în trei bătălii succesive, la Trebia, Trasimenus și Cannae, ajungând să amenințe Roma însăși prin celebrul episod ante portas. Chiar dacă războiul lui Hannibal nu s-a soldat cu pacea lui Hannibal, intenția genialului general a fost de a elimina Roma, ca forță armată și ca forță economică, obiectiv pe deplin îndeplinit pe parcursul operațiilor militare. Detaliul care i-a scăpat a fost tenacitatea romană, cea care i-a furat pacea, dar Hannibal are întru totul paternitatea războiului secund dintre puni și romani, fiind, până astăzi, un geniu al artei războiului, neegalat încă.
International audience ; L'étude des assassinats perpétrés contre les empereurs byzantins au cours de la période couverte par le synopsis historiarum de Jean Skylitzès (811-1057) apporte une série d'enseignements :- Premièrement, elle confirme l'existence d'une source commune opposée aux Phokas et qui a été utilisée par Jean Skylitzès et Michel Psellos dans son Historia Syntomos. Cette version du meurtre de Nicéphore II Phocas s'étend à loisir sur le souffrances endurées par Nicéphore.- à propos des autres meurtres (Léon V, Michel III), Jean Skylitzès et Michel Psellos qui suivent la même démarche, pratiquent une série de raccourcis et d'approximations qui n'ont qu'un objectif : dédouaner le fondateur de la dynastie macédonienne lors du meurtre de Michel III par Basile Ier en 867.- enfin pour la mise à mort de Michel V par la foule de Constantinople en 1042, l'effroi de Michel Psellos (repris en partie par Jean Skylitzès) montre la sauvagerie de la foule qui s'attaque au corps de l'empereur.Le cas de Jean Tzimiskès pose le plus de problème : manifestement acteur de l'assassinat, Jean Skylitzès, (ainsi que l'illustration du manuscrit) élude sa participation dans son texte, se séparant à cet occasion de la source modèle que reprend Michel Psellos.Enfin, dans la description des atteintes aux corps des empereurs, à chaque fois, les auteurs décrivent toujours un meurtrier annexe : ce n'est jamais le successeur qui assène les coups et même frappent la victime. Cet assassin est le plus souvent puni dans la suite de l'histoire comme le montre l'attitude de Théophile, fils de Michel II punissant les assassins de Léon V qui ont permis à son père de monter sur le trône.
International audience ; L'étude des assassinats perpétrés contre les empereurs byzantins au cours de la période couverte par le synopsis historiarum de Jean Skylitzès (811-1057) apporte une série d'enseignements :- Premièrement, elle confirme l'existence d'une source commune opposée aux Phokas et qui a été utilisée par Jean Skylitzès et Michel Psellos dans son Historia Syntomos. Cette version du meurtre de Nicéphore II Phocas s'étend à loisir sur le souffrances endurées par Nicéphore.- à propos des autres meurtres (Léon V, Michel III), Jean Skylitzès et Michel Psellos qui suivent la même démarche, pratiquent une série de raccourcis et d'approximations qui n'ont qu'un objectif : dédouaner le fondateur de la dynastie macédonienne lors du meurtre de Michel III par Basile Ier en 867.- enfin pour la mise à mort de Michel V par la foule de Constantinople en 1042, l'effroi de Michel Psellos (repris en partie par Jean Skylitzès) montre la sauvagerie de la foule qui s'attaque au corps de l'empereur.Le cas de Jean Tzimiskès pose le plus de problème : manifestement acteur de l'assassinat, Jean Skylitzès, (ainsi que l'illustration du manuscrit) élude sa participation dans son texte, se séparant à cet occasion de la source modèle que reprend Michel Psellos.Enfin, dans la description des atteintes aux corps des empereurs, à chaque fois, les auteurs décrivent toujours un meurtrier annexe : ce n'est jamais le successeur qui assène les coups et même frappent la victime. Cet assassin est le plus souvent puni dans la suite de l'histoire comme le montre l'attitude de Théophile, fils de Michel II punissant les assassins de Léon V qui ont permis à son père de monter sur le trône.
International audience ; L'étude des assassinats perpétrés contre les empereurs byzantins au cours de la période couverte par le synopsis historiarum de Jean Skylitzès (811-1057) apporte une série d'enseignements :- Premièrement, elle confirme l'existence d'une source commune opposée aux Phokas et qui a été utilisée par Jean Skylitzès et Michel Psellos dans son Historia Syntomos. Cette version du meurtre de Nicéphore II Phocas s'étend à loisir sur le souffrances endurées par Nicéphore.- à propos des autres meurtres (Léon V, Michel III), Jean Skylitzès et Michel Psellos qui suivent la même démarche, pratiquent une série de raccourcis et d'approximations qui n'ont qu'un objectif : dédouaner le fondateur de la dynastie macédonienne lors du meurtre de Michel III par Basile Ier en 867.- enfin pour la mise à mort de Michel V par la foule de Constantinople en 1042, l'effroi de Michel Psellos (repris en partie par Jean Skylitzès) montre la sauvagerie de la foule qui s'attaque au corps de l'empereur.Le cas de Jean Tzimiskès pose le plus de problème : manifestement acteur de l'assassinat, Jean Skylitzès, (ainsi que l'illustration du manuscrit) élude sa participation dans son texte, se séparant à cet occasion de la source modèle que reprend Michel Psellos.Enfin, dans la description des atteintes aux corps des empereurs, à chaque fois, les auteurs décrivent toujours un meurtrier annexe : ce n'est jamais le successeur qui assène les coups et même frappent la victime. Cet assassin est le plus souvent puni dans la suite de l'histoire comme le montre l'attitude de Théophile, fils de Michel II punissant les assassins de Léon V qui ont permis à son père de monter sur le trône.
International audience ; L'étude des assassinats perpétrés contre les empereurs byzantins au cours de la période couverte par le synopsis historiarum de Jean Skylitzès (811-1057) apporte une série d'enseignements :- Premièrement, elle confirme l'existence d'une source commune opposée aux Phokas et qui a été utilisée par Jean Skylitzès et Michel Psellos dans son Historia Syntomos. Cette version du meurtre de Nicéphore II Phocas s'étend à loisir sur le souffrances endurées par Nicéphore.- à propos des autres meurtres (Léon V, Michel III), Jean Skylitzès et Michel Psellos qui suivent la même démarche, pratiquent une série de raccourcis et d'approximations qui n'ont qu'un objectif : dédouaner le fondateur de la dynastie macédonienne lors du meurtre de Michel III par Basile Ier en 867.- enfin pour la mise à mort de Michel V par la foule de Constantinople en 1042, l'effroi de Michel Psellos (repris en partie par Jean Skylitzès) montre la sauvagerie de la foule qui s'attaque au corps de l'empereur.Le cas de Jean Tzimiskès pose le plus de problème : manifestement acteur de l'assassinat, Jean Skylitzès, (ainsi que l'illustration du manuscrit) élude sa participation dans son texte, se séparant à cet occasion de la source modèle que reprend Michel Psellos.Enfin, dans la description des atteintes aux corps des empereurs, à chaque fois, les auteurs décrivent toujours un meurtrier annexe : ce n'est jamais le successeur qui assène les coups et même frappent la victime. Cet assassin est le plus souvent puni dans la suite de l'histoire comme le montre l'attitude de Théophile, fils de Michel II punissant les assassins de Léon V qui ont permis à son père de monter sur le trône.
International audience ; L'étude des assassinats perpétrés contre les empereurs byzantins au cours de la période couverte par le synopsis historiarum de Jean Skylitzès (811-1057) apporte une série d'enseignements :- Premièrement, elle confirme l'existence d'une source commune opposée aux Phokas et qui a été utilisée par Jean Skylitzès et Michel Psellos dans son Historia Syntomos. Cette version du meurtre de Nicéphore II Phocas s'étend à loisir sur le souffrances endurées par Nicéphore.- à propos des autres meurtres (Léon V, Michel III), Jean Skylitzès et Michel Psellos qui suivent la même démarche, pratiquent une série de raccourcis et d'approximations qui n'ont qu'un objectif : dédouaner le fondateur de la dynastie macédonienne lors du meurtre de Michel III par Basile Ier en 867.- enfin pour la mise à mort de Michel V par la foule de Constantinople en 1042, l'effroi de Michel Psellos (repris en partie par Jean Skylitzès) montre la sauvagerie de la foule qui s'attaque au corps de l'empereur.Le cas de Jean Tzimiskès pose le plus de problème : manifestement acteur de l'assassinat, Jean Skylitzès, (ainsi que l'illustration du manuscrit) élude sa participation dans son texte, se séparant à cet occasion de la source modèle que reprend Michel Psellos.Enfin, dans la description des atteintes aux corps des empereurs, à chaque fois, les auteurs décrivent toujours un meurtrier annexe : ce n'est jamais le successeur qui assène les coups et même frappent la victime. Cet assassin est le plus souvent puni dans la suite de l'histoire comme le montre l'attitude de Théophile, fils de Michel II punissant les assassins de Léon V qui ont permis à son père de monter sur le trône.
La plupart des pays du monde ont, à une époque ou à une autre, interdit les actes homosexuels entre adultes consentants en privé. Où, quand et comment ces actes ont-ils été dépénalisés dans le monde depuis le siècle des Lumières ? Des données historiques sur la légalité des actes homosexuels et sur l'effectif de population dans les 203 États actuels permettent de calculer la part annuelle de la population mondiale qui, depuis 1760, vit dans un pays où les actes homosexuels sont légaux (plutôt qu'une infraction). Si la France a été le premier pays à dépénaliser les actes homosexuels (1791) et si elle a inspiré la première vague de dépénalisation en Europe occidentale, en Amérique latine et dans l'Empire ottoman, au xix e siècle moins de 25 % des humains vivaient dans un pays qui ne pénalisait pas les relations homosexuelles. La seconde vague de dépénalisation, fondée sur une libéralisation des opinions publiques, a commencé en Europe occidentale et en Amérique du Nord dans les années 1960, puis s'est étendue à l'Océanie, à l'Europe de l'Est et enfin à l'Asie. En 2020, plus de 75 % des humains vivent dans un pays qui ne pénalise plus les relations homosexuelles. Cela dit, ces relations constituent toujours une infraction pour la plupart des habitants d'Afrique et des pays à majorité musulmane, et elles sont particulièrement sévèrement punies dans quelques États et entités infra-étatiques de droit islamique. Comme les pays qui pénalisent aujourd'hui connaîtront une croissance démographique relativement rapide dans les décennies à venir, la part des humains qui sont légalement libres d'avoir des relations homosexuelles va probablement diminuer, à moins qu'un nombre suffisamment important de pays suffisamment peuplés dépénalisent bientôt.
International audience ; Bien que bénéficiant d'une forte publicité et d'une importante légitimité dans les secteurs politiques, administratifs, économiques et médiatiques 1 , l'éolien soulève aujourd'hui un peu partout 2 de vives contestations. Les motifs de l'opposition sont nombreux et relèvent de thématiques diverses (environnementales, sanitaires, politiques, techniques…). À ces registres dominants de la critique, relativement communs à d'autres équipements de nature industrielle, s'ajoutent depuis la fin des années 2000 la dénonciation de pratiques de corruption, « par lesquelles des détenteurs d'une position publique utilisent des moyens illégaux, ou perçus comme illégitimes, pour promouvoir des intérêts autres que ceux que leur assigne leur fonction 3 ». Dans les dénonciations pour corruption dans le cadre de projet de parcs éoliens en France, ce sont surtout les articles L.432-10 (concussion), L.432-11 (corruption et trafic d'influence), L.432-12 (prise illégale d'intérêt) et L.432-14 (délit de favoritisme) du Code pénal qui sont invoqués. Si elle est prouvée, la prise illégale d'intérêts d'une personne investie d'un mandat électif public peut être punie d'une amende (jusqu'à 750 000 euros) assortie d'une peine de prison (jusqu'à 5 ans). Pour être constitué, ce délit n'exige pas une intention frauduleuse. Peu importe donc que l'élu ait recherché ou non à s'enrichir personnellement, et même si l'acte n'entre pas nécessairement en contradiction avec l'intérêt général ou ne génère aucun préjudice à la collectivité, si sa décision est entachée de partialité, « le dol général caractérisant l'élément moral du délit résulte de ce que l'acte a été accompli sciemment 4 ». Dans de nombreux cas, il s'avère souvent qu'en raison d'une faible connaissance des règles de droit, les élus municipaux (maires, adjoints ou conseillers) présenteraient, délibèreraient puis voteraient favorablement à l'installation d'éoliennes susceptibles de leur rapporter, sous la forme de baux de location
International audience ; Bien que bénéficiant d'une forte publicité et d'une importante légitimité dans les secteurs politiques, administratifs, économiques et médiatiques 1 , l'éolien soulève aujourd'hui un peu partout 2 de vives contestations. Les motifs de l'opposition sont nombreux et relèvent de thématiques diverses (environnementales, sanitaires, politiques, techniques…). À ces registres dominants de la critique, relativement communs à d'autres équipements de nature industrielle, s'ajoutent depuis la fin des années 2000 la dénonciation de pratiques de corruption, « par lesquelles des détenteurs d'une position publique utilisent des moyens illégaux, ou perçus comme illégitimes, pour promouvoir des intérêts autres que ceux que leur assigne leur fonction 3 ». Dans les dénonciations pour corruption dans le cadre de projet de parcs éoliens en France, ce sont surtout les articles L.432-10 (concussion), L.432-11 (corruption et trafic d'influence), L.432-12 (prise illégale d'intérêt) et L.432-14 (délit de favoritisme) du Code pénal qui sont invoqués. Si elle est prouvée, la prise illégale d'intérêts d'une personne investie d'un mandat électif public peut être punie d'une amende (jusqu'à 750 000 euros) assortie d'une peine de prison (jusqu'à 5 ans). Pour être constitué, ce délit n'exige pas une intention frauduleuse. Peu importe donc que l'élu ait recherché ou non à s'enrichir personnellement, et même si l'acte n'entre pas nécessairement en contradiction avec l'intérêt général ou ne génère aucun préjudice à la collectivité, si sa décision est entachée de partialité, « le dol général caractérisant l'élément moral du délit résulte de ce que l'acte a été accompli sciemment 4 ». Dans de nombreux cas, il s'avère souvent qu'en raison d'une faible connaissance des règles de droit, les élus municipaux (maires, adjoints ou conseillers) présenteraient, délibèreraient puis voteraient favorablement à l'installation d'éoliennes susceptibles de leur rapporter, sous la forme de baux de location
In Modern Age violence has many facets. 1 At this time, the capital punishment was neither simple nor quick or discreete but it was supposed to inflict the condemned atrocious pain and to destroy his body. French legislation never exactly determined which penalty matched with each case. As to the collection of German laws Constitution criminelle de Charles-Quint or Carolina (1532), it contained a great number of articles either precise on the penalty or open to any method. 2 For example, a poisoning was punished by torture on the wheel if the culprit was a man but if a woman, by drowning "ou punie d'une autre peine de mort, suivant ce qui se trouvera en usage" (or another death penalty depending on what was the use) (art. 130). The honourable pouvoir arbitraire (arbitrary) of the judges let them decide a death penalty and how to inflict it, in accordance with the use and their preference in the means. Once death penalty had been publicly announced (see Annex), it was executed in a spectacular way which was part of the judiciary approach. It aimed at turning the condemned into an exemplary execute "afin que la peine d'un seul puisse inspirer de la crainte au plus grand nombre" (so that the penalty of one person could inspire threat to the biggest number). 3 According to some lawyers' commentaries, the condemned did not own his own body anymore, and it was justified that Justice use it to the benefits of society. This loss of ownership happened even earlier since it was mentioned to justify the use of torture. At the end of a trial, everything was done to have an edifying show. Killing by hanging or decapitation were simple means. Hanging used gravity, with a slipknot because the techniques which broke the neck were not in use. Consequently, it provoked suffocation and death. The cost was moderate, there was no blood flow and other flows did not have the same symbolic value. The execute was clearly visible as he was in height. The corpse could remain in place or hung elsewhere to remain exhibited as long as ...
Le principe non bis in idem est bien connu : nul ne peut être poursuivi ou puni une deuxième fois en raison d'une infraction (même autrement qualifiée) pour laquelle il a déjà été acquitté ou condamné par un jugement définitif « conformément à la loi et à la procédure pénale de chaque pays ». En Belgique, cet adage, bien que n'ayant pas de valeur de norme légale, est rangé parmi les principes généraux de droit et il est considéré, à la différence de l'autorité de chose jugée d'un jugement civil, que l'autorité de chose jugée du pénal est en principe absolue : elle vaut erga omnes. Cette règle a toutefois étant tempérée notamment à l'égard d'un tiers au procès pénal qui invoque l'application de l'article 6 de la Convention européenne des droits de l'homme . L'autorité particulière qui s'attache à la décision pénale a un double fondement. D'une part, elle est inhérente à l'action publique dans la mesure où celle-ci est exercée au nom de la société et dans son intérêt . D'autre part, elle a un fondement probatoire puisque, dès lors qu'ils sont prouvés, les faits s'imposent à tous les juges qui en seront ultérieurement saisis. Le principe non bis in idem est également garanti par l'article 14, § 7, du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (lequel est directement applicable dans l'ordre juridique belge ), par l'article 4.1 du septième Protocole additionnel à la Convention européenne des droits de l'homme et par l'article 50 de la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne. C'est tout particulièrement à la lumière de ces instruments internationaux que les contours du principe ont été définis. En effet, au fil de leurs jurisprudences respectives, la Cour européenne des droits de l'homme et la Cour de justice de l'Union européenne n'ont eu de cesse de préciser sa portée. Ce sont les enseignements de ces jurisprudences et leurs implications en droit belge que l'article analyse au regard de la loi « Una via bis » du 5 mai 2019 . Il fait également le point sur le contenu des instruments internationaux et les éventuelles dispositions de droit interne qui consacrent le principe non bis in idem. ; Peer reviewed
The article focuses on the internationalisation of education and competences approach in the digital world as viewed by experts from different countries: the Netherlands, Poland, Turkey, Russia, and Ukraine. The article aims to provide opinions, views, and reflections on important topics addressed by the IRNet project and DLCC2017 Conference participants. ; A digital single market strategy for Europe. Communication from the Commission to the European Parliament, the Council, the European Economic and Social Committee and the Committee of the Regions. Brussels, 6 May 2015. Accessed 9 March 2018. Retrieved from http://eur-lex.europa.eu/legal-content/EN/TXT/PDF/?uri=CELEX:52015DC0192&from=EN. An Agenda for new skills and jobs: A European contribution towards full employment. Communication from the Commission to the European Parliament, the Council, the European Economic and Social Committee and the Committee of the Regions. Strasburg, 23 November 2010. Accessed 9 March 2018. Retrieved from http://eur-lex.europa.eu/resource.html?uri=cellar:776df18f-542f-48b8-9627-88aac6d3ede0.0003.03/DOC_1&format=PDF. A new skills agenda for Europe. Working together to strengthen human capital, employability and competitiveness. Communication from the Commission to the European Parliament, the Council, the European Economic and Social Committee and the Committee of the Regions. Brussels, 10 June 2016. Accessed 09 March 2018. Retrieved from https://ec.europa.eu/transparency/regdoc/rep/1/2016/EN/1-2016-381-EN-F1-1.PDF. A strategy for smart, sustainable and inclusive growth. Communication from the Commission Europe 2020. Brussels, 3 March 2010. Accessed 9 March 2018. Retrieved from http://ec.europa.eu/eu2020/pdf/COMPLET%20EN%20BARROSO%20%20%20007%20-%20Europe%202020%20-%20EN%20version.pdf. Chatti, M. A., Schroeder, U., Jarke, M. (2012). LaaN: Convergence of Knowledge Management and Technology-Enhanced Learning. In: IEEE Transactions on Learning Technologies, 5(2), 177–189. 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Communication from the Commission to the European Parliament, the Council, the European Economic and Social Committee and the Committee of the Regions. Brussels, 25 September 2013. Accessed 9 March 2018. Retrieved from http://eur-lex.europa.eu/legal-content/EN/TXT/PDF/?uri=CELEX:52013DC0654&from=EN. Order of the Ministry of Education and Science of Russia, 23 August 2017, No. 816. Accessed 28 January 2018. Retrieved from https://minjust.consultant.ru/documents/36757?items=1&page=1. Professional standard of the teacher in Russian Federation. Accessed 28 January 2018. Retrieved from http://fgosvo.ru/docs/101/69/2/1. Strategic framework for European cooperation in education and training ("ET 2020"). Accessed 9 March 2018. Retrieved from http://ec.europa.eu/education/policy/strategic-framework_en. The Digital Skills and Jobs Coalition. Accessed 9 March 2018. Retrieved from https://ec.europa.eu/digital-single-market/en/digital-skills-jobs-coalition. The Law on Education in Russian Federation. Accessed 28 January 2018. Retrieved from http://zakon-ob-obrazovanii.ru/. Vuorikari, R., Punie, Y., Carretero, S., & Brande L. Van den. DigComp 2.0: The digital competence framework for citizens. Update phase 1: The conceptual reference mode. Accessed 9 March 2018. Retrieved from http://publications.jrc.ec.europa.eu/repository/bitstream/JRC101254/jrc101254_digcomp%202.0%20the%20digital%20competence%20framework%20for%20citizens.%20update%20phase%201.pdf. Working Group on Education. (2017). Digital skills for life and work. UNESCO. September 2017. Accessed 28 January 2018. Retrieved from https://unesdoc.unesco.org/ark:/48223/pf0000259013.
The European Union (EU) is a complex political system whose institutional framework encompasses representatives of European citizens, member states, »eurobureaucracy « (Commission and agencies), national parliamentarians and members of public administrations. Such a complex framework is a by-product of reforms the EU has gone through in order to include stakeholders in its decision- making process, with the goal of delivering democratically adopted rules that have legitimacy. The democratic deficit is a sign that the EU lacks full legitimacy. The paper aims to show that comitology system is a source of democratic deficit. It shows the reasons why national public administrations got involved in the decision-making process, and the role they have in overseeing the implementation of adopted measures. The paper also gives the reasons why comitology is a threat to democratic accountability, pointing to the Council as the main source of that threat. Finally, it also suggests ways of reducing the democratic deficit by empowering the representatives of national public administrations to work transparently. ; Europska unija je složen politički sustav čiji institucionalni okvir obuhvaća predstavnike građana Unije i država članica, »eurobirokraciju« putem Europske komisije i raznih agencija, članove nacionalnih parlamenata, kao i službenike javnih uprava država članica. Ovako složeno institucionalno uređenje nusproizvod je stalnih reformi koje Unija provodi kako bi u proces odlučivanja uključila što veći broj dionika, s ciljem da se propisi donose na demokratski način i imaju legitimitet u očima njezinih građana. Demokratski deficit EU znak je da joj nedostaje puni legitimitet koji joj bi trebali dati vlastiti građani. Analizira se netransparentnost pojedinih dijelova procesa odlučivanja, tzv. sustava komitologije, koja je jedan od uzroka demokratskog deficita. Pokazuje se zašto su se javne uprave država članica umiješale u proces odlučivanja na razini EU te uloga koju one imaju pri izradi nacrta propisa i primjeni donesenih mjera, kao i pri nadzoru ispravnog provođenja usvojenih propisa u državama članicama. Objašnjava se razloge radi kojih je komitologija, u svojem današnjem obliku, prijetnja demokratskoj odgovornosti Unije, pokazujući da je trenutačni način rada Europskog vijeća glavni izvor te prijetnje. Navode se mogući načini smanjivanja demokratskog deficita, ne tako da se javne uprave država članica EU isključe iz odlučivanja, već tako da se njihovim predstavnicima omogući transparentan rad.
Résumé La croyance en un monde juste a été définie comme la tendance à considérer que « les gens obtiennent ce qu'ils méritent et méritent ce qu'ils obtiennent » (Lerner et Simmons, 1966). Des études ont montré que cette croyance était inégalement partagée selon les individus, qu'elle était socialement valorisée et que cette valorisation faisait l'objet d'une certaine clairvoyance, soit autant de résultats permettant d'attribuer à cette croyance le statut de norme. Pour autant, les questionnaires mesurant cette croyance sont généralement des questionnaires multidimensionnels et il n'existe pas, à notre connaissance, de questionnaire de croyance en un monde juste spécifique au monde du travail et traduisant au surplus les différentes implications du concept de monde juste. L'objectif de la présente étude a été de construire un tel questionnaire et d'étudier, sur une population de salariés et de chômeurs des deux sexes, d'une part le niveau de croyance en une telle justice organisationnelle, et d'autre part le degré d'estimation de sa valorisation sociale. Nous avons ainsi élaboré 36 items portant sur les quatre implications de la définition du monde juste donnée par Lerner et Simmons en 1966 (actions positives récompensées, actions négatives punies, récompenses reçues méritées, et punitions reçues méritées) avec en corollaire les quatre implications injustes opposées (actions positives non récompensées,..), soit un total de huit situations. Chacune de ces huit situations était en outre déclinée dans quatre thématiques spécifiques au monde du travail (une thématique générale, une deuxième centrée sur l'obtention d'un emploi, une troisième sur les possibilités de promotion et une quatrième sur les salaires) ; enfin, une dernière thématique (la non obtention ou la perte d'un emploi) concernait seulement les 4 implications à essence punitive. Trois conditions expérimentales ont alors été élaborées en utilisant le paradigme de l'auto-présentation (répondre en donnant la meilleure image possible de soi, répondre en tentant d'en donner la plus mauvaise image possible, et enfin répondre honnêtement). Nous avons appliqué ce questionnaire à une population de 504 personnes réparties dans chacune de ces trois conditions de manière à peu près égalitaire en termes de genre et d'insertion professionnelle (salariés versus chômeurs). Les analyses effectuées montrent essentiellement, d'une part que la croyance en une justice organisationnelle fait l'objet d'une estimation systématique de valorisation sociale, et d'autre part qu'avec la consigne honnête cette croyance s'avère plus prononcée chez les hommes que chez les femmes.
La question centrale étudiée dans cet article est celle de savoir si la motivation religieuse peut être efficacement manipulée pour opérer un changement social et économique en Thaïlande. C'est dans ce but qu'on examine les conséquences sur le comportement du concept de mérite, principe opérationnel du Bouddhisme Thaï. Au point de vue religieux, le concept de mérite pourra le mieux être saisi dans le contexte de la loi Hindoue-Bouddhiste de 'cause et effet', en ce sens que tout acte est finalement récompensé ou puni, que ce soit dans cette vie ou dans la vie future. Tous les actes réalisés en accord avec l'enseignement bouddhiste, Dharma, sont source de mérite. Le mérite est donc une forme de comportement et un bien abstrait que l'on acquiert par une action adéquate et qui aboutit à un sentiment de bien-être cul turel et psychologique. Mais à côté de ce que pensent les moines, du mérite, il est également important de voir, comment ce mérite est compris par la société et par les individus. Au niveau national, le mérite et le comportement méritoire sont, de nos jours, souvent interprétés comme conduisant à la construction de la nation en même temps qu'au développement social et économique. Les différences d'opinion sur ce point sont cependant assez considéra bles parmi les leaders religieux et séculiers. C'est ainsi que la plupart des moines interviewés par l'auteur voient leurs rôles comme religieux. Au niveau du village, tout le mérite que l'on souhaite peut être acquis par les expressions religieuses traditionnelles, individuelles et collectives. Les leaders religieux peuvent contribuer à motiver les activités favorables au développement grâce à leur position de leadership, mais non par le fait qu'ils déclarent que de telles activités sont méritoires. En ce qui concerne l'économie d'acquisition du mérite, la richesse est un signe du mérite acquis, ainsi qu'une possibilité d'en acquérir davan tage. L'homme riche se trouve donc dans la meilleure position pour acquérir du mérite. Ses investissements le seront à la fois en mérite et en opportunité économique. La question cruciale qui se pose alors est de savoir si le riche ne va pas investir en opportunités qui accroissent la production per capita, ce qui serait peu en rapport avec le mérite. Finalement, l'économie d'acquisition du mérite peut fournir à la société Thai un modèle qui souligne l'utilité de l'épargne, de l'investissement et du succès, le mérite devenant une valeur qui potentiellement mène au développement économique.