Qualité de vie
In: Schweizerische Ärztezeitung: SÄZ ; offizielles Organ der FMH und der FMH Services = Bulletin des médecins suisses : BMS = Bollettino dei medici svizzeri, Volume 96, Issue 2930
ISSN: 1424-4004
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In: Schweizerische Ärztezeitung: SÄZ ; offizielles Organ der FMH und der FMH Services = Bulletin des médecins suisses : BMS = Bollettino dei medici svizzeri, Volume 96, Issue 2930
ISSN: 1424-4004
International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
BASE
International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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International audience ; L'article porte sur le concept de qualité de vie utilisé de plus en plus pour traiter de la qualité de vie en ville. Il fait un historique de son utilisation et indique que la qualitéde vie est ensuite devenue dans les pays industrialisés un outil opératoire essentiellementdans les domaines touchant au secteur de la santé et de la maladie.Mais de nouvelles évolutions se sont fait jour ces dernières années et la complexitédes problèmes à résoudre, les limites des découvertes scientifiques, le rôlereconnu à l'individu sur sa propre destinée, font que les politiques accordent uneplus grande importance aux usagers lorsqu'il s'agit de faire des choix ou d'enexpliquer le bien fondé. Les questions d'environnement ne peuvent plus se cantonnerdans des approches techniciennes et doivent aussi prendre en compte l'ensembledes facteurs qui le compose. Pour promouvoir la qualité de vie, il faut tenircompte des conditions de l'épanouissement de l'homme dans son environnement. Les auteurs montrent que le concept de qualité de vie est difficile à définir et qu'il reste un objet de recherche encore peu étudié. Les auteurs considèrent que la construction d'indicateurs de qualité de vie concerne très souvent lesmilieux urbains mais qu'il faut noter l'absence de consensus entre les chercheurs quiélaborent des cadres conceptuels différents selon les populations et les situationsétudiées [cf. Daniel Bley, 2005, Cadre de vie et travail. Les dimensions d'une qualité de vie au quotidien, Edisud, 280 p. BLEY D., VERNAZZA-LICHT eds]. En effet, la construction d'indicateurs de qualité de vie n'est pas chose aisée, et si les indicateurs servent à répondre à des objectifs clairementdéfinis et sont orientés vers l'action, ils ne peuvent pas se cantonner dans le seulregistre technique et se doivent de prendre en compte les représentations et les perceptions,c'est-à-dire l'image que se font les habitants de l'espace qui les entoure.L'élaboration de tels instruments « de mesure » suppose effectivement la prise encompte ...
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National audience ; Le travail indépendant semble de plus en plus convoité dans le monde du travail actuel, empreint de crise de l'emploi et de reconfiguration digitale des activités professionnelles (Eurofound, 2015 ; France Stratégie, 2016). Cette communication se propose de questionner le concept de QVT au regard des statuts d'emploi externes à l'entreprise, en particulier la situation des indépendants. À partir d'une revue de la littérature consacrée à l'articulation entre la QVT, les caractéristiques des travailleurs indépendants et la prise en charge de ce groupe professionnel par les politiques publiques, cet essai formule une problématisation des enjeux théoriques et managériaux qu'ouvre une telle perspective de recherche. Le fruit de ce travail initial met en évidence non seulement que la population des indépendants semble méconnue (de par l'hétérogénéité des statuts qu'elle recouvre et le manque de consensus quant à sa définition propre), voire oubliée des travaux relatifs à la QVT des catégories professionnelles, mais aussi que le droit social et du travail ne répond pas pertinemment à la situation de ces travailleurs autonomes. Une méthodologie de recherche envisagée, inscrite en sciences de gestion et clinique du travail, est ensuite proposée comme une réponse aux éléments problématisés. Pour mieux comprendre les contours de la figure du travailleur contemporain, flirtant entre non-salariat, flexibilité, autonomie et précarité, un programme de recherche (Laboratoire Missioneo) ambitionne d'analyser la population des indépendants, floue voire invisible dans la documentation sur les catégories professionnelles, en particulier sur les aspects de la QVT. Ainsi, cette communication a pour but d'ouvrir le débat avec la communauté scientifique de la Journée Brestoise de Recherche autour de ces axes émergents.
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National audience ; Le travail indépendant semble de plus en plus convoité dans le monde du travail actuel, empreint de crise de l'emploi et de reconfiguration digitale des activités professionnelles (Eurofound, 2015 ; France Stratégie, 2016). Cette communication se propose de questionner le concept de QVT au regard des statuts d'emploi externes à l'entreprise, en particulier la situation des indépendants. À partir d'une revue de la littérature consacrée à l'articulation entre la QVT, les caractéristiques des travailleurs indépendants et la prise en charge de ce groupe professionnel par les politiques publiques, cet essai formule une problématisation des enjeux théoriques et managériaux qu'ouvre une telle perspective de recherche. Le fruit de ce travail initial met en évidence non seulement que la population des indépendants semble méconnue (de par l'hétérogénéité des statuts qu'elle recouvre et le manque de consensus quant à sa définition propre), voire oubliée des travaux relatifs à la QVT des catégories professionnelles, mais aussi que le droit social et du travail ne répond pas pertinemment à la situation de ces travailleurs autonomes. Une méthodologie de recherche envisagée, inscrite en sciences de gestion et clinique du travail, est ensuite proposée comme une réponse aux éléments problématisés. Pour mieux comprendre les contours de la figure du travailleur contemporain, flirtant entre non-salariat, flexibilité, autonomie et précarité, un programme de recherche (Laboratoire Missioneo) ambitionne d'analyser la population des indépendants, floue voire invisible dans la documentation sur les catégories professionnelles, en particulier sur les aspects de la QVT. Ainsi, cette communication a pour but d'ouvrir le débat avec la communauté scientifique de la Journée Brestoise de Recherche autour de ces axes émergents.
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National audience ; Le travail indépendant semble de plus en plus convoité dans le monde du travail actuel, empreint de crise de l'emploi et de reconfiguration digitale des activités professionnelles (Eurofound, 2015 ; France Stratégie, 2016). Cette communication se propose de questionner le concept de QVT au regard des statuts d'emploi externes à l'entreprise, en particulier la situation des indépendants. À partir d'une revue de la littérature consacrée à l'articulation entre la QVT, les caractéristiques des travailleurs indépendants et la prise en charge de ce groupe professionnel par les politiques publiques, cet essai formule une problématisation des enjeux théoriques et managériaux qu'ouvre une telle perspective de recherche. Le fruit de ce travail initial met en évidence non seulement que la population des indépendants semble méconnue (de par l'hétérogénéité des statuts qu'elle recouvre et le manque de consensus quant à sa définition propre), voire oubliée des travaux relatifs à la QVT des catégories professionnelles, mais aussi que le droit social et du travail ne répond pas pertinemment à la situation de ces travailleurs autonomes. Une méthodologie de recherche envisagée, inscrite en sciences de gestion et clinique du travail, est ensuite proposée comme une réponse aux éléments problématisés. Pour mieux comprendre les contours de la figure du travailleur contemporain, flirtant entre non-salariat, flexibilité, autonomie et précarité, un programme de recherche (Laboratoire Missioneo) ambitionne d'analyser la population des indépendants, floue voire invisible dans la documentation sur les catégories professionnelles, en particulier sur les aspects de la QVT. Ainsi, cette communication a pour but d'ouvrir le débat avec la communauté scientifique de la Journée Brestoise de Recherche autour de ces axes émergents.
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In: Loisir & société: Society and leisure, Volume 35, Issue 2, p. 203-205
ISSN: 1705-0154
In: Gérontologie et société, Volume 19 / n° 78, Issue 3, p. 65-77
In: Schweizerische Ärztezeitung: SÄZ ; offizielles Organ der FMH und der FMH Services = Bulletin des médecins suisses : BMS = Bollettino dei medici svizzeri, Volume 91, Issue 50, p. 2019-2023
ISSN: 1424-4004