Verkehrspolitik - Politique des transports
In: Année politique suisse: Schweizerische Politik, Volume 49, p. 254-261
ISSN: 0066-2372
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In: Année politique suisse: Schweizerische Politik, Volume 49, p. 254-261
ISSN: 0066-2372
In: Année politique suisse: Schweizerische Politik, Volume 48, p. 227-231
ISSN: 0066-2372
In: Année politique suisse: Schweizerische Politik, Volume 47
ISSN: 0066-2372
In: Le nouveau politis. ˜Leœ mensuel, Issue 1, p. 74-95
ISSN: 1155-2794
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In: Revue politique et parlementaire, Volume 19980, p. 48-52
In: Revue politique et parlementaire, Volume 100, Issue 996, p. 48-52
ISSN: 0035-385X
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In: Après-demain: journal trimestriel de documentation politique, Issue 402, p. 1-33
ISSN: 0003-7176
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International audience ; Les deux premiers chapitres sont relatifs au discours et aux pratiques en vigueur et permettent aux auteurs d'observer qu'ils n'apportent pas de réponse à la problématique retenue. C'est donc ce que les auteurs s'efforcerons de faire dans les trois chapitres suivants. Il va de soi que les premiers concernés par cette problématique sont les usagers du système de transport relatif aux stratégies alternatives. Le troisième chapitre s'intitule donc "Évaluation des effets redistributifs des stratégies : point de vue des usagers". Mais les usagers ne sont pas seuls concernés par ces effets redistributifs : ils impliquent d'autres agents, comme les salariés et les entrepreneurs du secteur des transports ou encore l'Etat ou même les contribuables. C'est à travers les comptes de surplus des entreprises de transport que les auteurs proposent de saisir les effets de cette nature. C'est pourquoi le quatrième chapitre s'intitule "Évaluation des effets redistributifs des stratégies : point de vue des entreprises de transport".Enfin en prenant la notion de redistribution dans son sens le plus large c'est-à-dire en répondant d'une manière aussi exhaustive que possible à la question de savoir à qui profite ou à qui nuit (et dans quelle mesure) une stratégie de transport, il convient de ne pas oublier tous ceux qui, étrangers au secteur des transports par son usage ou par sa production, subissent néanmoins des effets de son fonctionnement ou de ses transformations. La déstructuration ou même la destruction d'entreprises agricoles, les inconvénients subis par des riverains d'infrastructures de transport sont des exemples connus de cet aspect des choses. Certes les auteurs ne disposent pas en ces matières d'un calcul économique éprouvé, dont les possibilités et les limites seraient bien connues. Cela ne leur a pas paru une raison suffisante pour occulter cette question fondamentale et c'est sans trop s'inquiéter de l'hétérogénéité des catégories utilisées entre les différents chapitres que, dans le ...
BASE
International audience ; Les deux premiers chapitres sont relatifs au discours et aux pratiques en vigueur et permettent aux auteurs d'observer qu'ils n'apportent pas de réponse à la problématique retenue. C'est donc ce que les auteurs s'efforcerons de faire dans les trois chapitres suivants. Il va de soi que les premiers concernés par cette problématique sont les usagers du système de transport relatif aux stratégies alternatives. Le troisième chapitre s'intitule donc "Évaluation des effets redistributifs des stratégies : point de vue des usagers". Mais les usagers ne sont pas seuls concernés par ces effets redistributifs : ils impliquent d'autres agents, comme les salariés et les entrepreneurs du secteur des transports ou encore l'Etat ou même les contribuables. C'est à travers les comptes de surplus des entreprises de transport que les auteurs proposent de saisir les effets de cette nature. C'est pourquoi le quatrième chapitre s'intitule "Évaluation des effets redistributifs des stratégies : point de vue des entreprises de transport".Enfin en prenant la notion de redistribution dans son sens le plus large c'est-à-dire en répondant d'une manière aussi exhaustive que possible à la question de savoir à qui profite ou à qui nuit (et dans quelle mesure) une stratégie de transport, il convient de ne pas oublier tous ceux qui, étrangers au secteur des transports par son usage ou par sa production, subissent néanmoins des effets de son fonctionnement ou de ses transformations. La déstructuration ou même la destruction d'entreprises agricoles, les inconvénients subis par des riverains d'infrastructures de transport sont des exemples connus de cet aspect des choses. Certes les auteurs ne disposent pas en ces matières d'un calcul économique éprouvé, dont les possibilités et les limites seraient bien connues. Cela ne leur a pas paru une raison suffisante pour occulter cette question fondamentale et c'est sans trop s'inquiéter de l'hétérogénéité des catégories utilisées entre les différents chapitres que, dans le cinquième, ils proposent quelques pistes. Ce dernier chapitre est intitulé "Évaluation des stratégies et indicateurs d'environnement".
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International audience ; Les deux premiers chapitres sont relatifs au discours et aux pratiques en vigueur et permettent aux auteurs d'observer qu'ils n'apportent pas de réponse à la problématique retenue. C'est donc ce que les auteurs s'efforcerons de faire dans les trois chapitres suivants. Il va de soi que les premiers concernés par cette problématique sont les usagers du système de transport relatif aux stratégies alternatives. Le troisième chapitre s'intitule donc "Évaluation des effets redistributifs des stratégies : point de vue des usagers". Mais les usagers ne sont pas seuls concernés par ces effets redistributifs : ils impliquent d'autres agents, comme les salariés et les entrepreneurs du secteur des transports ou encore l'Etat ou même les contribuables. C'est à travers les comptes de surplus des entreprises de transport que les auteurs proposent de saisir les effets de cette nature. C'est pourquoi le quatrième chapitre s'intitule "Évaluation des effets redistributifs des stratégies : point de vue des entreprises de transport".Enfin en prenant la notion de redistribution dans son sens le plus large c'est-à-dire en répondant d'une manière aussi exhaustive que possible à la question de savoir à qui profite ou à qui nuit (et dans quelle mesure) une stratégie de transport, il convient de ne pas oublier tous ceux qui, étrangers au secteur des transports par son usage ou par sa production, subissent néanmoins des effets de son fonctionnement ou de ses transformations. La déstructuration ou même la destruction d'entreprises agricoles, les inconvénients subis par des riverains d'infrastructures de transport sont des exemples connus de cet aspect des choses. Certes les auteurs ne disposent pas en ces matières d'un calcul économique éprouvé, dont les possibilités et les limites seraient bien connues. Cela ne leur a pas paru une raison suffisante pour occulter cette question fondamentale et c'est sans trop s'inquiéter de l'hétérogénéité des catégories utilisées entre les différents chapitres que, dans le cinquième, ils proposent quelques pistes. Ce dernier chapitre est intitulé "Évaluation des stratégies et indicateurs d'environnement".
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In: Année politique suisse: Schweizerische Politik, Volume 46
ISSN: 0066-2372
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Issue 195, p. 53-58
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
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