RECENZE: Marek Louzek: Max Weber. Zivot a dilo. Weberovske inspirace
In: Politologický časopis, Volume 14, Issue 2, p. 173-174
ISSN: 1211-3247
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In: Politologický časopis, Volume 14, Issue 2, p. 173-174
ISSN: 1211-3247
In: Politologický časopis, Volume 14, Issue 2, p. 173-174
ISSN: 1211-3247
In: Transitions, Volume 42, Issue 2, p. 49-61
ISSN: 0779-3812
In: Sociologický časopis / Czech Sociological Review, Volume 8, Issue 1, p. 27-47
After outlining the general question of the relevance of small parties, an attempt is made to characterize the situation that has emerged in the Czech Republic since the early parliamentary elections of June 1998. Following the elections, the two strongest parties (CSSD & ODS) reached a written agreement to limit the influence of small parties & make it easier to form a government. A modification of the electoral system in the Chamber of Deputies, as well as a significant strengthening of these two large parties at the expense of the small ones, would bring about a situation not particularly harmful to Czech democracy & perhaps quite the opposite, since it would contribute to the consolidation of democracy.
In: Sociologický časopis / Czech Sociological Review, Volume 5, Issue 2, p. 131-157
Considers the degree to which various democratic models further the goals of efficiency & representativeness in the context of Eastern European democratization, providing a critical analysis of Arend Lijphart's (eg, 1994) thesis that consensus democracy is superior to majoritarian democracy. It is argued that efficiency in the sense of action capacity on the part of both government & governed is as important a criterion for the constitutional design of a democracy as is efficiency in the sense of socioeconomic performance, an assertion that adheres to Joseph A. Schumpeter's (1962) theory of democracy. Lijphart is criticized for privileging the socioeconomic definition of efficiency, the manner in which he contrasts efficiency & representativeness, & neglecting the importance of national context in selecting/evaluating a democratic model. Against Lijphart, it is concluded that a consensual model using a strictly proportional electoral system is undesirable for relatively homogeneous, nonpolarized democratizing countries (eg, Hungary, the Czech Republic, Poland), because it favors fragmentation & inhibits governmental action capacity.
In: Labour and society: a quarterly journal of the International Institute for Labour Studies, Volume 10, p. 105-114
ISSN: 0378-5408
In: Science politique
L'étude des partis politiques d'Europe centrale et orientale est d'autant plus intéressante que les tentatives de créer des organisations post-partisanes se sont multipliées après la chute des régimes communistes. La mouvance de la dissidence pensait pouvoir se passer des partis politiques souvent décriés et vilipendés. Or, force est de constater qu'ils se sont révélés indispensables dans le processus de démocratisation des pays d'Europe centrale et orientale. Cet ouvrage propose un premier bilan général de l'état des partis politiques de la région, dans une perspective résolument comparative. La première partie plante le décor : elle étudie l'implantation géographique des partis et les situe dans leur contexte historique et par rapport à la mouvance « anti-communiste ».La deuxième partie traite d'un des phénomènes les plus marquants de l'après-communisme : la reconversion des partis communistes, en Pologne, où elle a réussi, en Bulgarie, où elle reste incertaine. La troisième partie analyse en détail les clivages politiques autour desquels se structurent les partis politiques dans les PECQ. Quel système de parti émerge ? Quelles familles politique sont représentées ? Les théories classiques de la science politique sont-elles applicables à cette zone géographique ? Qu'en est-il du clivage gauche/droite ? Des partis qui défendent les intérêts des minorités nationales ? De quelle nature sont les clivages ? Quel est le poids de la contrainte externe ? L'analyse met en évidence les spécificités de chaque État, elle permet aussi de comparer les paysages politiques des anciennes « démocraties populaires » avec les situations prévalant en Europe occidentale. La dernière partie s'attache au processus de démocratisation à l'œuvre dans la région : elle précise le rôle qu'y jouent les partis politiques et les effets de l'adhésion aux organisations internationales. Dix ans après la chute du mur de Berlin, les paysages politiques s'organisent peu à peu en Europe centrale et orientale. Après une période de chaos marquée par la prolifération des partis politiques, des scissions innombrables, le morcellement des parlements, les États de la région traversent aujourd'hui une nouvelle phase. Des alternances démocratiques se sont produites, des organisations partisanes ont consolidé leur structure et leur organisation, même si dans l'ensemble le processus s'avère plus long et plus complexe qu'annoncé par nombre d'observateurs.