Du décrochage à la réussite scolaire: expériences françaises et internationales
In: Savoir et formation
21 results
Sort by:
In: Savoir et formation
World Affairs Online
In: Socio-Logos: revue de l'Association Française de Sociologie, Issue 19
ISSN: 1950-6724
In: Formation emploi: revue trimestrielle ; revue française de sciences sociales, Issue 126, p. 39-60
In: Formation emploi: revue trimestrielle ; revue française de sciences sociales, Issue 109, p. 53-70
In: Formation emploi: revue trimestrielle ; revue française de sciences sociales, Volume 109, Issue 1, p. 53
In: Bulletin de méthodologie sociologique: BMS, Volume 103, Issue 1, p. 26-43
ISSN: 2070-2779
The Vocabulary Mobilized over Three Sociology Conferences — Permanence and Sensitiveness to the Current Situation: The Association Française de Sociologie (AFS) held its third congress in Paris in April 2009 and its 1,051 abstracts of presentations have been analyzed by two different text analysis programs in the BMS, n. 102. Here, the author used two others programs- Alceste and Multiple Correspondence Analysis - to analyze those same abstracts and to compare the results with those of the 2004 and 2006 AFS congresses analyzed by the same programs.
In: Bulletin de méthodologie sociologique: BMS, Volume 100, Issue 1, p. 34-40
ISSN: 2070-2779
A Quarter of a Century of Methodology - The Emergence of Longitudinal Analysis, Social Networks and Textual Statistics: Using the titles, abstracts and key words (in French) of the 318 articles in the BMS, issues 1 to 99, the author analyzes this corpus with hierarchically ascending and descending classification programs and with factoral correspondence analysis. With the results of these three methods, he describes in detail five major thematic classes: Survey Situation, Longitudinal Analysis, Social Network Analysis, Theoretical Debate and Textual Analysis. Their interrelationship and évolution over time is also described.
In: Bulletin de méthodologie sociologique: BMS, Volume 92, Issue 1, p. 45-54
ISSN: 2070-2779
Brief Socio-Graph of the Second AFS Congress in Bordeaux in September 2006: In January 2005, the BMS published three different articles using four different methods to analyze the abstracts of presentations at the First Congress of the Association Française de Sociologie (AFS). Here a preliminary analysis with two différent methods is done of the abstracts of presentations made at the Second Congress of the AFS.
In: Formation emploi: revue trimestrielle ; revue française de sciences sociales, Issue 96, p. 39-51
In: Bulletin de méthodologie sociologique: BMS, Volume 85, Issue 1, p. 68-84
ISSN: 2070-2779
"What Do Sociologists Talk About When Meeting in Conference?" Complementary Aspects of an Open Lexical Analysis and an Accumulation of Closed Variables: The first congress of the AFS was an occasion to provide a synthesis of the subjects of conversation current in French sociology, and we will attempt to analyze this vocabulary and its frequencies. This article confronts this first analysis with a more quantified one, based on the distance from the means, to find how the two approaches can be combined. The lexical analysis, with the Alceste program, stresses the co-occurence frequencies when words appear together in an abstract. The most frequent co-occurences are found in the class "society-inequality", and the class "theory-authors". Calculating the percentage difference from the means (program Trideux) stresses the differences, and puts into comparable position similar differences. In this case, the words that differ the least from the means will be those used the most by sociologists and are found in the classes "method" and "public policy". If the authors are introduced into the analysis with variables for sex, institutional origin and location, and are associated with the words they use, we can combine the two methods and still conserve the families of words and those words which are the most significant, while cross-tabulating them with accumulated individual characteristics. The most discriminating variable is thus sex, with a concentration of women in the family "society-inequality", and a concentration of men in the family "theory-authors". The class on which there is the most agreement between the two methods is not mentioned individually in either method. It is the class "work-company".
In: Etudes et recherches
World Affairs Online
International audience ; Depuis plus de 30 ans, ne cesse de s'affirmer, dans le débat social comme scientifique, la reconnaissance de la dimension territoriale des relations formation-emploi. Ainsi, dix ans après les lois de décentralisation de 1983, la loi quinquennale de 1993 consacre le rôle politique des régions dans ce domaine, que ce soit dans les questions de formation professionnelle (création des PRDFP) ou d'emploi (création des OREF). La loi LRU, qui instaure en 2008 l'autonomie de gestion des universités tout en leur confiant une nouvelle mission d'insertion, complète ce mouvement de gestion du national vers le local. Du côté scientifique, divers travaux ont souligné les disparités d'insertion des jeunes entre régions. Ce faisant, ils ont pointé différents éléments de contexte pouvant expliquer tout ou partie de ces disparités. Certains d'entre eux soulignent que la répartition des formations, et donc des jeunes diplômés, n'est pas homogène sur le territoire. L'exemple de l'enseignement supérieur est le plus évident : un nombre réduit de grands établissements se concentre dans quelques grands pôles métropolitains (Vignale 2016). Or, le diplôme imprime sa marque sur les conditions d'insertion (Céreq, 2005, 2008, 2012, 2014). Les disparités régionales d'insertion doivent donc être relativisées au regard de la structure particulière à chaque région des niveaux de diplôme des sortants. D'autre travaux, en étudiant les conditions locales d'insertion des jeunes, ont souligné l'importance des disparités de destinée professionnelle rencontrées d'un territoire à l'autre, fortement dépendantes des contextes économiques locaux (Roux 2005). Il apparait donc opportun de tenter ici un bilan des évolutions sur longue période des variations régionales en matière d'insertion.
BASE
International audience ; Depuis plus de 30 ans, ne cesse de s'affirmer, dans le débat social comme scientifique, la reconnaissance de la dimension territoriale des relations formation-emploi. Ainsi, dix ans après les lois de décentralisation de 1983, la loi quinquennale de 1993 consacre le rôle politique des régions dans ce domaine, que ce soit dans les questions de formation professionnelle (création des PRDFP) ou d'emploi (création des OREF). La loi LRU, qui instaure en 2008 l'autonomie de gestion des universités tout en leur confiant une nouvelle mission d'insertion, complète ce mouvement de gestion du national vers le local. Du côté scientifique, divers travaux ont souligné les disparités d'insertion des jeunes entre régions. Ce faisant, ils ont pointé différents éléments de contexte pouvant expliquer tout ou partie de ces disparités. Certains d'entre eux soulignent que la répartition des formations, et donc des jeunes diplômés, n'est pas homogène sur le territoire. L'exemple de l'enseignement supérieur est le plus évident : un nombre réduit de grands établissements se concentre dans quelques grands pôles métropolitains (Vignale 2016). Or, le diplôme imprime sa marque sur les conditions d'insertion (Céreq, 2005, 2008, 2012, 2014). Les disparités régionales d'insertion doivent donc être relativisées au regard de la structure particulière à chaque région des niveaux de diplôme des sortants. D'autre travaux, en étudiant les conditions locales d'insertion des jeunes, ont souligné l'importance des disparités de destinée professionnelle rencontrées d'un territoire à l'autre, fortement dépendantes des contextes économiques locaux (Roux 2005). Il apparait donc opportun de tenter ici un bilan des évolutions sur longue période des variations régionales en matière d'insertion.
BASE
International audience ; Depuis plus de 30 ans, ne cesse de s'affirmer, dans le débat social comme scientifique, la reconnaissance de la dimension territoriale des relations formation-emploi. Ainsi, dix ans après les lois de décentralisation de 1983, la loi quinquennale de 1993 consacre le rôle politique des régions dans ce domaine, que ce soit dans les questions de formation professionnelle (création des PRDFP) ou d'emploi (création des OREF). La loi LRU, qui instaure en 2008 l'autonomie de gestion des universités tout en leur confiant une nouvelle mission d'insertion, complète ce mouvement de gestion du national vers le local. Du côté scientifique, divers travaux ont souligné les disparités d'insertion des jeunes entre régions. Ce faisant, ils ont pointé différents éléments de contexte pouvant expliquer tout ou partie de ces disparités. Certains d'entre eux soulignent que la répartition des formations, et donc des jeunes diplômés, n'est pas homogène sur le territoire. L'exemple de l'enseignement supérieur est le plus évident : un nombre réduit de grands établissements se concentre dans quelques grands pôles métropolitains (Vignale 2016). Or, le diplôme imprime sa marque sur les conditions d'insertion (Céreq, 2005, 2008, 2012, 2014). Les disparités régionales d'insertion doivent donc être relativisées au regard de la structure particulière à chaque région des niveaux de diplôme des sortants. D'autre travaux, en étudiant les conditions locales d'insertion des jeunes, ont souligné l'importance des disparités de destinée professionnelle rencontrées d'un territoire à l'autre, fortement dépendantes des contextes économiques locaux (Roux 2005). Il apparait donc opportun de tenter ici un bilan des évolutions sur longue période des variations régionales en matière d'insertion.
BASE
International audience ; Depuis plus de 30 ans, ne cesse de s'affirmer, dans le débat social comme scientifique, la reconnaissance de la dimension territoriale des relations formation-emploi. Ainsi, dix ans après les lois de décentralisation de 1983, la loi quinquennale de 1993 consacre le rôle politique des régions dans ce domaine, que ce soit dans les questions de formation professionnelle (création des PRDFP) ou d'emploi (création des OREF). La loi LRU, qui instaure en 2008 l'autonomie de gestion des universités tout en leur confiant une nouvelle mission d'insertion, complète ce mouvement de gestion du national vers le local. Du côté scientifique, divers travaux ont souligné les disparités d'insertion des jeunes entre régions. Ce faisant, ils ont pointé différents éléments de contexte pouvant expliquer tout ou partie de ces disparités. Certains d'entre eux soulignent que la répartition des formations, et donc des jeunes diplômés, n'est pas homogène sur le territoire. L'exemple de l'enseignement supérieur est le plus évident : un nombre réduit de grands établissements se concentre dans quelques grands pôles métropolitains (Vignale 2016). Or, le diplôme imprime sa marque sur les conditions d'insertion (Céreq, 2005, 2008, 2012, 2014). Les disparités régionales d'insertion doivent donc être relativisées au regard de la structure particulière à chaque région des niveaux de diplôme des sortants. D'autre travaux, en étudiant les conditions locales d'insertion des jeunes, ont souligné l'importance des disparités de destinée professionnelle rencontrées d'un territoire à l'autre, fortement dépendantes des contextes économiques locaux (Roux 2005). Il apparait donc opportun de tenter ici un bilan des évolutions sur longue période des variations régionales en matière d'insertion.
BASE