COMPTES RENDUS - Les partis régionalistes en Europe. Des acteurs en développement ?
In: Revue française de science politique, Volume 56, Issue 2, p. 343
ISSN: 0035-2950
144 results
Sort by:
In: Revue française de science politique, Volume 56, Issue 2, p. 343
ISSN: 0035-2950
es élections européennes de juin 2004 se sont déroulées dans un contexte exceptionnel. Quelques semaines avant le scrutin, l'Europe des quinze s'était élargie à dix nouveaux Etats, portant à vingt-cinq le nombre de membres de l'Union européenne. 351 millions d'électeurs avaient été convoqués pour élire 732 députés européens, des chiffres inégalés jusque-là. Jamais les prérogatives du Parlement européen n'avaient été aussi importantes. Au surplus, au terme du travail de la Convention européenne pour rédiger un texte constitutionnel, après un premier échec au Conseil européen en décembre 2003, les chefs d'Etats et de gouvernement devaient s'accorder, quelques jours plus tard, pour soumettre aux citoyens européens leur projet de Constitution pour l'Union européenne. A circonstances exceptionnelles, mobilisation exceptionnelle ?Las. Les espoirs de ceux qui escomptaient un élan de politisation du scrutin voire d'enthousiasme pour l'Union européenne furent déçus. Deux commentaires d'évidence s'imposèrent au soir du scrutin :le triomphe de l'abstention et la progression de l'euroscepticisme. Cette observation spontanée recouvre-t-elle (toute) la réalité des élections européennes de juin 2004 ?Dans des contributions monographiques et transversales, quelques-uns des meilleurs spécialistes des élections européennes nuancent ou contredisent cette représentation. Ils débattent des termes nationaux et européens du scrutin européen de juin 2004. Les formes et les causes de l'abstention sont analysées en profondeur. Et la thèse du développement de l'euroscepticisme est l'objet de développements multiples. ; info:eu-repo/semantics/published
BASE
In: Rivista di studi politici internazionali: RSPI, Volume 70, Issue 1, p. 147
ISSN: 0035-6611
In: Politiques et management public: PMP, Volume 9, Issue 3, p. 83-112
ISSN: 0758-1726, 2119-4831
En Belgique, les premiers partis politiques ont vu le jour et se sont développés dès le XIXe siècle. Ils ont exercé nombre de missions dans la société et leur importance a crû dans le temps. Pourtant, leur dynamique, leurs rôles et ce qu'ils incarnent aux yeux des citoyens se sont transformés au cours des dernières décennies.Les partis sont soumis à de multiples modifications et tensions qui les affectent, les interpellent et les appellent à se transformer profondément :importance accrue de l'Union européenne dans l'exercice des politiques publiques, difficultés des partis politiques à l'échelle européenne, déclin du nombre de membres, demandes participatives croissantes, emprise technocratique… Comment les partis agissent-il au regard de ces mutations ?Comment les interprètent-ils ?Comment appréhendent-ils la sécularisation avancée de la société belge et l'augmentation du capital scolaire ?Comment réagissent-ils à l'interne ?Ces questions sont analysées dans cet ouvrage. Dix ans après leur dernière grande étude comparative, les auteurs présentent un nouveau travail de synthèse original. Celui-ci offre, de manière systématique et sur la base d'une grille commune, une analyse de chaque parti à l'oeuvre dans le système politique belge :CD&V, CDH, sp.a/Vooruit, PS, OpenVLD, MR, Ecolo, Groen, N-VA, Vlaams Belang, PTB-PVDA, DéFI, les droites radicales et la galaxie des petits partis. En parallèle, il propose une analyse transversale à l'aune de la communication, de l'organisation partisane, des évolutions électorales et de la mue du système de partis en Belgique. ; info:eu-repo/semantics/inPress
BASE
C'est peu de dire que les élections communales du 14 octobre 2018 dans les dix-neuf communes de la Région de Bruxelles-capitale ont frappé les imaginations par l'ampleur des mouvements électoraux et politiques observés. Cette contribution propose d'en faire le relevé et l'analyse à l'aune des dynamiques politiques et électorales des partis engagés dans la confrontation. ; info:eu-repo/semantics/published
BASE
Quelques mois à peine après les élections communales d'octobre 2018, le scrutin législatif, régional et européen du 26 mai 2019 dévoile des mouvements électoraux importants dans la Région de Bruxelles-Capitale. Cette contribution présente et analyse les dynamiquesélectorales et politiques des formations en lice dans cette triple compétition. Les auteurs mettent aussi en exergue une forme d'exacerbation politique intra-bruxelloise entre le sud-est et le nord et l'ouest de la Région de Bruxelles-Capitale. ; info:eu-repo/semantics/published
BASE
Quelques mois à peine après les élections communales d'octobre 2018, le scrutin législatif, régional et européen du 26 mai 2019 dévoile des mouvements électoraux importants dans la Région de Bruxelles-Capitale. Cette contribution présente et analyse les dynamiques électorales et politiques des formations en lice dans cette triple compétition. Les auteurs mettent aussi en exergue une forme d'exacerbation politique intra-bruxelloise entre le sud-est et le nord et l'ouest de la Région de Bruxelles-Capitale. ; info:eu-repo/semantics/published
BASE
http://www.editions-universite-bruxelles.be/fiche/view/2419 ; Le fichier attaché à cette référence, version publiée de l'œuvre, est librement accessible, sans embargo, en accord avec les Editions de l'Université de Bruxelles ; info:eu-repo/semantics/published
BASE
Le scrutin fédéral du 10 juin 2007 a frappé les imaginations. L'ampleur des mouvements électoraux a été notable en Flandre, en Wallonie et à Bruxelles. Mais que s'est-il vraiment produit ce dimanche 10 juin 2007 dans le chef des électeurs et comment comprendre la structure du vote ?Pour approcher ces questions difficiles, le Centre d'étude de la vie politique de l'Université libre de Bruxelles (ULB) a réalisé une enquête « sortie des urnes » auprès de 3 000 électeurs bruxellois et wallons :cet ouvrage en présente les résultats. Ils sont déclinés et analysés à la lumière des approches classiques du comportement électoral et des divisions propres à la société belge. Les lignes de démarcations traditionnelles sont mises en évidence :clivages socio-économique et philosophique, positionnements sur les questions de société ou sur l'ouverture à l'autre. Leur validité est testée, de même que la structuration de l'électorat par rapport à ces lignes de démarcation. Des indicateurs classiques de distinction du comportement, comme le niveau de capital scolaire, sont aussi abordés pour mesurer leur pertinence et leur influence sur l'expression du vote. Mais des thématiques moins habituelles, plus nouvelles, sont aussi traitées :l'examen des transferts de voix d'une élection à l'autre, le comportement électoral d'un groupe de plus en plus important – l'électorat de confession musulmane – ou encore la configuration à Bruxelles, parent pauvre des études électorales en Belgique. Au final, l'ouvrage donne nombre d'indications permettant de comprendre les ressorts du vote dans l'espace francophone en Belgique et d'approcher ce qui s'est produit le 10 juin 2007 chez les électeurs. ; info:eu-repo/semantics/published
BASE
http://www.editions-universite-bruxelles.be/fiche/view/2419 ; Le fichier attaché à cette référence, version publiée de l'œuvre, est librement accessible, sans embargo, en accord avec les Editions de l'Université de Bruxelles ; info:eu-repo/semantics/published
BASE
In: Environmental politics, Volume 14, Issue 1, p. 112-117
ISSN: 1743-8934
In: Environmental politics, Volume 14, Issue 1, p. 112-117
ISSN: 0964-4016
In: Representation, Volume 41, Issue 1, p. 33-41
ISSN: 0034-4893
The 2003 Federal elections in Belgium put paid to an innovative governmental experience by bringing the four-year term of the so-called 'Rainbow coalition' to an end. The results seem to indicate that the coalition, bringing together Ecologists, Socialists & Liberals, did not work to the benefit of each party. While the Socialists & the Liberals recorded big gains in the elections the Flemish & the French-speaking Green parties were the main losers of the ballot. The election confirmed two other very important trends. First, the Christian democrats, historically the main political party in Belgium, continue a downward drift in support which began in the 1950s. Secondly, once again we saw the improved performance by the extreme right. In Flanders, the Vlaams Blok continue to make progress at every election, & in the French-speaking area, the National Front (EN) has increased its parliamentary representation. 3 Tables, 1 Appendix, 9 References. Adapted from the source document.
In: Representation, Volume 41, Issue 1, p. 33-41
ISSN: 1749-4001