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Les inégalités sur le marché du travail entre les femmes et les hommes sont importantes : la participation des femmes reste plus faible que celle des hommes, leurs rémunérations sont inférieures en moyenne et elles connaissent des trajectoires professionnelles moins ascendantes que les hommes. La contribution des conditions d'accès à l'emploi à ces inégalités professionnelles reste encore mal connue. Les résultats issus d'études par correspondance (testings) en France suggèrent une discrimination à l'embauche à l'encontre des femmes limitée en moyenne mais qui varie selon les contextes étudiés. Le testing mené par l'Institut des politiques publiques et ISM Corum sous l'égide de la Dares permet de mesurer la discrimination à l'embauche selon le sexe dans des métiers qui varient selon leur niveau de qualification, de féminisation et de difficultés de recrutement. Cette vaste expérimentation a consisté à envoyer des CV fictifs en réponse à plusieurs milliers d'offres d'emploi dans onze métiers distincts en faisant varier les identités sur les candidatures. Ce rapport présente le protocole expérimental mis en œuvre ainsi que les principaux résultats de cette expérimentation.

Les inégalités sur le marché du travail entre les femmes et les hommes sont importantes : la participation des femmes reste plus faible que celle des hommes, leurs rémunérations sont inférieures en moyenne et elles connaissent des trajectoires professionnelles moins ascendantes que les hommes. La contribution des conditions d'accès à l'emploi à ces inégalités professionnelles reste encore mal connue. Les résultats issus d'études par correspondance (testings) en France suggèrent une discrimination à l'embauche à l'encontre des femmes limitée en moyenne mais qui varie selon les contextes étudiés. Le testing mené par l'Institut des politiques publiques et ISM Corum sous l'égide de la Dares permet de mesurer la discrimination à l'embauche selon le sexe dans des métiers qui varient selon leur niveau de qualification, de féminisation et de difficultés de recrutement. Cette vaste expérimentation a consisté à envoyer des CV fictifs en réponse à plusieurs milliers d'offres d'emploi dans onze métiers distincts en faisant varier les identités sur les candidatures. Ce rapport présente le protocole expérimental mis en œuvre ainsi que les principaux résultats de cette expérimentation.

Les inégalités sur le marché du travail entre les femmes et les hommes sont importantes : la participation des femmes reste plus faible que celle des hommes, leurs rémunérations sont inférieures en moyenne et elles connaissent des trajectoires professionnelles moins ascendantes que les hommes. La contribution des conditions d'accès à l'emploi à ces inégalités professionnelles reste encore mal connue. Les résultats issus d'études par correspondance (testings) en France suggèrent une discrimination à l'embauche à l'encontre des femmes limitée en moyenne mais qui varie selon les contextes étudiés. Le testing mené par l'Institut des politiques publiques et ISM Corum sous l'égide de la Dares permet de mesurer la discrimination à l'embauche selon le sexe dans des métiers qui varient selon leur niveau de qualification, de féminisation et de difficultés de recrutement. Cette vaste expérimentation a consisté à envoyer des CV fictifs en réponse à plusieurs milliers d'offres d'emploi dans onze métiers distincts en faisant varier les identités sur les candidatures. Ce rapport présente le protocole expérimental mis en œuvre ainsi que les principaux résultats de cette expérimentation.

Les inégalités sur le marché du travail entre les femmes et les hommes sont importantes : la participation des femmes reste plus faible que celle des hommes, leurs rémunérations sont inférieures en moyenne et elles connaissent des trajectoires professionnelles moins ascendantes que les hommes. La contribution des conditions d'accès à l'emploi à ces inégalités professionnelles reste encore mal connue. Les résultats issus d'études par correspondance (testings) en France suggèrent une discrimination à l'embauche à l'encontre des femmes limitée en moyenne mais qui varie selon les contextes étudiés. Le testing mené par l'Institut des politiques publiques et ISM Corum sous l'égide de la Dares permet de mesurer la discrimination à l'embauche selon le sexe dans des métiers qui varient selon leur niveau de qualification, de féminisation et de difficultés de recrutement. Cette vaste expérimentation a consisté à envoyer des CV fictifs en réponse à plusieurs milliers d'offres d'emploi dans onze métiers distincts en faisant varier les identités sur les candidatures. Ce rapport présente le protocole expérimental mis en œuvre ainsi que les principaux résultats de cette expérimentation.

Les inégalités sur le marché du travail entre les femmes et les hommes sont importantes : la participation des femmes reste plus faible que celle des hommes, leurs rémunérations sont inférieures en moyenne et elles connaissent des trajectoires professionnelles moins ascendantes que les hommes. La contribution des conditions d'accès à l'emploi à ces inégalités professionnelles reste encore mal connue. Les résultats issus d'études par correspondance (testings) en France suggèrent une discrimination à l'embauche à l'encontre des femmes limitée en moyenne mais qui varie selon les contextes étudiés. Le testing mené par l'Institut des politiques publiques et ISM Corum sous l'égide de la Dares permet de mesurer la discrimination à l'embauche selon le sexe dans des métiers qui varient selon leur niveau de qualification, de féminisation et de difficultés de recrutement. Cette vaste expérimentation a consisté à envoyer des CV fictifs en réponse à plusieurs milliers d'offres d'emploi dans onze métiers distincts en faisant varier les identités sur les candidatures. Ce rapport présente le protocole expérimental mis en œuvre ainsi que les principaux résultats de cette expérimentation.

This paper presents evidence on the short and long-term impact of the first COVID-19 wave on India's rural youth. We interviewed about 2,000 vocational trainees from Bihar and Jharkhand between March 2020 and March 2021. We report a stark difference between men and women: while many male workers took up informal employment, most female workers dropped out of the labour force. Using a randomised experiment, we find that a government supported digital job platform does not increase job search or employment. Our findings suggest that bridging the gap between rural youths and urban formal labour markets requires much more active and targeted policy interventions, especially for female workers.

Evidence suggests that productivity would be much higher and unemployment much lower if the supply of and demand for skills were better matched. As a result, skills mismatch between workers (supply) and jobs (demand) commands the ongoing attention of policymakers in many countries. Policies intended to address the persistence of skills mismatch focus on the supply side of the issue by emphasizing worker education and training. However, the role of the demand side, that is, employers' rigid skill requirements, garners comparatively little policy attention.