Cooperation and Capacity? Exploring the Sources and Limits of City‐Region Governance Partnerships
In: International journal of urban and regional research, Volume 37, Issue 4, p. 1349-1367
Abstract
AbstractScholarship abounds on the importance of city‐regions to regional and national prosperity, and to the wider global economy. But little is known about their capacity to function as effective, legitimate and robust policy actors. This article begins to address the important question of what determines the governance capacity of city‐regions by unpacking the concepts at the core of this research. It focuses on sources of horizontal capacity as a function of the strength of intermunicipal partnerships. Research suggests a variety of determinants of the strength of inter municipal partnerships, from rational choice to institutional perspectives. This article acknowledges the contribution of these approaches, but argues that none of the approaches presented to date can alone explain observed variations in the strength and capacity of city‐regional partnerships. Instead the article presents an alternative theoretical framework that reimagines and combines existing approaches, and introduces the concept of civic capital as a critical determinant of governance capacity.RésuméDe nombreux travaux de recherches soulignent combien les régions métropolitaines sont importantes pour la prospérité régionale et nationale, et pour l'économie mondiale en général. Pourtant, on en sait peu sur leur capacitéà opérer comme acteurs efficaces, légitimes et solides des politiques publiques. En revenant sur les concepts fondamentaux de ces études, l'article traite d'abord un point important: les facteurs déterminants de la capacité de gouvernance des régions métropolitaines. Il s'attache aux sources de capacité horizontale en fonction de la solidité des partenariats intercommunaux. Les études suggèrent tout un éventail de facteurs de cette solidité, allant du choix rationnel aux perspectives institutionnelles. Toutes les approches présentées à ce jour contribuent au débat général, mais aucune ne peut expliquer à elle seule les variations observées dans la solidité et la capacité des partenariats des régions métropolitaines. Un cadre théorique alternatif est présenté dans cet article, permettant de réimaginer et de combiner les approches existantes, tout en introduisant le concept de capital civique comme facteur essentiel de la capacité de gouvernance.
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