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In: Bibliothèque de droit international 16
In: http://hdl.handle.net/2027/hvd.32044097641070
At head of title: Théorie & pratique de la conquête dans l'ancien droit. (Etude de droit international ancien.) ; Filmed from the original held by: Bibliotheek, Vredespaleis, Den Haag. ; Includes bibliographical references. ; Mode of access: Internet.
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International audience ; On the basis of recent research on the upper Rhine ( Vindonissa , Oedenburg), this study focuses on dating and characterization of the first Roman establishment at Strasbourg, dated until recently from 12 BC. From the few well defined layers uncovered during the recent excavations, this paper provides an update of the structures previously discovered and reviews the early findings (coinage, Italic Samian, amphorae). From the varied analyses the formation of the site, which seems to be confined in the third northwestern part of the present old town, can be dated to the first years of Tiberius's reign, probably around 14-16 AD. In the present state of data, the idea of an Augustan occupation has to be abandoned. There is some evidence of a military occupation so we could consider an identification with the quartering of the second legion, maybe altogether with an auxiliary unit.With addenda and bibliographic updates (07/01/2019). ; À la lumière des recherches récentes sur le Rhin supérieur ( Vindonissa , Oedenburg), ce travail aborde le problème de la datation et de la caractérisation de la première implantation romaine de Strasbourg, datée jusqu'à peu de 12 av. J.-C. En s'appuyant sur les rares niveaux bien caractérisés issus des fouilles récentes, l'étude fait le point sur les structures mises au jour anciennement et propose une recension du mobilier précoce (monnaies, sigillée italique, amphores). Il ressort des différentes analyses que l'installation du site, qui semble circonscrite dans le tiers nord-ouest de la vieille ville actuelle, peut être datée des premières années du règne de Tibère, très probablement aux alentours de 14-16 apr. J.-C. En l'état actuel des données, l'idée d'une occupation augustéenne doit être abandonnée. Quelques indices laissent supposer la nature militaire de cette occupation ; une identification avec le cantonnement de la II e légion Auguste, peut-être accompagnée d'une unité auxiliaire, pourrait être envisagée.Avec addenda et mise à jour bibliographique (07/01/2019).
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International audience ; On the basis of recent research on the upper Rhine ( Vindonissa , Oedenburg), this study focuses on dating and characterization of the first Roman establishment at Strasbourg, dated until recently from 12 BC. From the few well defined layers uncovered during the recent excavations, this paper provides an update of the structures previously discovered and reviews the early findings (coinage, Italic Samian, amphorae). From the varied analyses the formation of the site, which seems to be confined in the third northwestern part of the present old town, can be dated to the first years of Tiberius's reign, probably around 14-16 AD. In the present state of data, the idea of an Augustan occupation has to be abandoned. There is some evidence of a military occupation so we could consider an identification with the quartering of the second legion, maybe altogether with an auxiliary unit.With addenda and bibliographic updates (07/01/2019). ; À la lumière des recherches récentes sur le Rhin supérieur ( Vindonissa , Oedenburg), ce travail aborde le problème de la datation et de la caractérisation de la première implantation romaine de Strasbourg, datée jusqu'à peu de 12 av. J.-C. En s'appuyant sur les rares niveaux bien caractérisés issus des fouilles récentes, l'étude fait le point sur les structures mises au jour anciennement et propose une recension du mobilier précoce (monnaies, sigillée italique, amphores). Il ressort des différentes analyses que l'installation du site, qui semble circonscrite dans le tiers nord-ouest de la vieille ville actuelle, peut être datée des premières années du règne de Tibère, très probablement aux alentours de 14-16 apr. J.-C. En l'état actuel des données, l'idée d'une occupation augustéenne doit être abandonnée. Quelques indices laissent supposer la nature militaire de cette occupation ; une identification avec le cantonnement de la II e légion Auguste, peut-être accompagnée d'une unité auxiliaire, pourrait être envisagée.Avec addenda et mise à jour bibliographique (07/01/2019).
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International audience ; On the basis of recent research on the upper Rhine ( Vindonissa , Oedenburg), this study focuses on dating and characterization of the first Roman establishment at Strasbourg, dated until recently from 12 BC. From the few well defined layers uncovered during the recent excavations, this paper provides an update of the structures previously discovered and reviews the early findings (coinage, Italic Samian, amphorae). From the varied analyses the formation of the site, which seems to be confined in the third northwestern part of the present old town, can be dated to the first years of Tiberius's reign, probably around 14-16 AD. In the present state of data, the idea of an Augustan occupation has to be abandoned. There is some evidence of a military occupation so we could consider an identification with the quartering of the second legion, maybe altogether with an auxiliary unit.With addenda and bibliographic updates (07/01/2019). ; À la lumière des recherches récentes sur le Rhin supérieur ( Vindonissa , Oedenburg), ce travail aborde le problème de la datation et de la caractérisation de la première implantation romaine de Strasbourg, datée jusqu'à peu de 12 av. J.-C. En s'appuyant sur les rares niveaux bien caractérisés issus des fouilles récentes, l'étude fait le point sur les structures mises au jour anciennement et propose une recension du mobilier précoce (monnaies, sigillée italique, amphores). Il ressort des différentes analyses que l'installation du site, qui semble circonscrite dans le tiers nord-ouest de la vieille ville actuelle, peut être datée des premières années du règne de Tibère, très probablement aux alentours de 14-16 apr. J.-C. En l'état actuel des données, l'idée d'une occupation augustéenne doit être abandonnée. Quelques indices laissent supposer la nature militaire de cette occupation ; une identification avec le cantonnement de la II e légion Auguste, peut-être accompagnée d'une unité auxiliaire, pourrait être envisagée.Avec addenda et mise à jour bibliographique ...
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International audience ; On the basis of recent research on the upper Rhine ( Vindonissa , Oedenburg), this study focuses on dating and characterization of the first Roman establishment at Strasbourg, dated until recently from 12 BC. From the few well defined layers uncovered during the recent excavations, this paper provides an update of the structures previously discovered and reviews the early findings (coinage, Italic Samian, amphorae). From the varied analyses the formation of the site, which seems to be confined in the third northwestern part of the present old town, can be dated to the first years of Tiberius's reign, probably around 14-16 AD. In the present state of data, the idea of an Augustan occupation has to be abandoned. There is some evidence of a military occupation so we could consider an identification with the quartering of the second legion, maybe altogether with an auxiliary unit.With addenda and bibliographic updates (07/01/2019). ; À la lumière des recherches récentes sur le Rhin supérieur ( Vindonissa , Oedenburg), ce travail aborde le problème de la datation et de la caractérisation de la première implantation romaine de Strasbourg, datée jusqu'à peu de 12 av. J.-C. En s'appuyant sur les rares niveaux bien caractérisés issus des fouilles récentes, l'étude fait le point sur les structures mises au jour anciennement et propose une recension du mobilier précoce (monnaies, sigillée italique, amphores). Il ressort des différentes analyses que l'installation du site, qui semble circonscrite dans le tiers nord-ouest de la vieille ville actuelle, peut être datée des premières années du règne de Tibère, très probablement aux alentours de 14-16 apr. J.-C. En l'état actuel des données, l'idée d'une occupation augustéenne doit être abandonnée. Quelques indices laissent supposer la nature militaire de cette occupation ; une identification avec le cantonnement de la II e légion Auguste, peut-être accompagnée d'une unité auxiliaire, pourrait être envisagée.Avec addenda et mise à jour bibliographique (07/01/2019).
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In: L Homme et la société, Band 114, Heft 4, S. 51-61
Indhold: Military Occupations: Some Reflections from Recent and More Distant History( Hugh Seton-Watson); The British Army of Occupation in the St. Lawrence Valley 1760-74: The Conflict Between Civil and Military Society(Fernand Ouellet); The Regime du Sabre-West African Style: The French Marines in the Western sudan, 1880-99(A.S.Kanya-forstner); Whites and Reds in South Russia, 1917-20(Peter Kenez); The German Occupation of Poland During the First and Second World Wars: A Comparison(Antony Polonsky); The German Occupation of Norway in World War II(Olav Riste); The American Occupation of Japan, 1945-52(Gordon Daniels).
Military occupation is a recurrent feature of modern international politics and yet has received little attention from political scientists. This book sets out to remedy this neglect, offering: an account of military occupation as a form of government an assessment of key trends in the development of military occupations over the last two centuries an explanation the conceptual and practical difficulties encountered by occupiers examples drawn from, amongst others, the First and Second World Wars, US occupations in Latin America and Japan, the Israeli occupation of the West Bank, and the current occupation of Iraq After a survey of the evolving practice and meaning of military occupation the book deals with its contested definitions, challenging restrictive approaches that disguise the true extent of the incidence of military occupation. Subsequent chapters explain the diverse forms that military government within occupation regimes take on and the role of civilian governors and agencies within occupation regimes; the significance of military occupation for our understanding of political obligation; the concept of sovereignty; the nature and meaning of justice; and our evaluation of regime transformation under conditions of military occupation. Key Features deals with military occupation as a form of government draws on a wide range of examples to illustrate themes such as political obligation, sovereignty and justice argues that military occupation covers a wider range than is often assumed, including 'international administration' under the auspices of the UN
Military occupation is a recurrent feature of modern international politics. This book provides an account of military occupation as a form of government, an assessment of occupations over the last two centuries and an explanation of the difficulties encountered by occupiers
The first comparative history of military occupation as a political phenomenon. An understanding of military occupation as a distinct phenomenon first emerged in the 18th century. This book shows how this understanding developed and the problems that the occupiers, the occupied, commentators and the courts encountered. Covers all major occupations including:. France, Sicily, Greece, Belgium, Syria, Mexico, Bosnia-Herzegovina, Cyprus, Egypt, Korea, Peking, the Boer Republics; Latin America; and those related to the Napoleonic Wars, the Mexican-American War, the American Civil War, the Franco-Prussian War, the Russo-Turkish War, and the Spanish-American War
In: Confluences Méditerranée: revue trimestrielle, Band 119, Heft 4, S. 107-121
ISSN: 2102-5991
Démocratie parlementaire et occupation militaire sont deux univers radicalement différents. Le premier est pétri de liberté, tandis que le second est fondé sur l'arbitraire. Le citoyen choisit ses représentants, tandis que l'occupé est soumis à une autorité étrangère. L'un ne peut accepter que la violence légitime de son État, tandis que l'autre doit subir la violence illégitime de la puissance occupante… Force est donc de constater que ces deux systèmes sont absolument inconciliables. Et si l'occupation ne peut en aucune façon être transformée par la démocratie, à l'inverse la démocratie peut être profondément dévitalisée par l'occupation.
In: La convention de Vienne de 1978 sur la succession d'Etats en matière de traités. Commentaire article par article et études thématiques, G. Distefano, G. Gaggioli & A. Hêche, eds, Brussels, Bruylant, 2016, pp. 1329-1357.
SSRN