Jean-Jacques Rousseau - frère ennemi politickog Iiberalizma
In: Politička misao, Band 49, Heft 4, S. 45-61
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In: Politička misao, Band 49, Heft 4, S. 45-61
In: Défense nationale et sécurité collective. [Französische Ausgabe], Band 65, Heft 10, S. 155-161
ISSN: 1950-3253, 0336-1489
In: Sociétés: revue des sciences humaines et sociales, Band 80, Heft 2, S. 17
ISSN: 1782-155X
In: Le monde diplomatique, Band 49, Heft 579, S. 12-13
ISSN: 0026-9395, 1147-2766
In: Confluences Méditerranée: revue trimestrielle, Heft 40, S. 81-94
ISSN: 1148-2664
In: Raisons politiques: études de pensée politique, Heft 5, S. 81-94
ISSN: 1291-1941
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 63, Heft 2, S. 359-376
ISSN: 1958-8992
Les négociations pour la conclusion d'un Accord multilatéral sur l'investissement (AMI) ont été lancées en mai 1995 dans le cadre de l'OCDE. Elles ont, comme on le sait, conduit à des débats passionnés et à de vives polémiques tant sur la légitimité et le contenu de l'accord et certaines de ses implications sectorielles (culture notamment) que sur le cadre approprié pour de telles négociations (OCDE ou OMC). Leur échéance initiale, mai 1997, a été prorogée d'un an en raison de la complexité de la négociation. A la réunion du Conseil des ministres de l'OCDE, les 28-29 avril 1998, les ministres n'ont pu parvenir à un accord. Ils ont décidé d'ouvrir une période « d'évaluation » et de « consultations » tout en donnant instruction aux négociateurs de « poursuivre leurs travaux en vue de conclure l'AMI en temps utile et de rechercher une large participation à l'accord ». Dans cet article, Donald Johnston, secrétaire général de l'OCDE, présente les arguments en faveur de l'AMI et répond aux diverses questions soulevées dans le débat public.
In: Sociétés & représentations: les cahiers du CREDHESS, Band 2, Heft 1, S. 197-207
ISSN: 2104-404X
Il s'agit d'un entretien réalisé avec une jeune femme contaminée par le virus du sida. Ses propos semblent montrer que les atteintes de son corps sont pour elle comme un signe de désintégration sociale, au-delà d'une atteinte corporelle. Pour une femme ayant les propriétés de Catherine, un corps malade est synonyme de « mort sociale ». Mais surtout, la « rupture biographique » induite par le VIH la renvoie à une identité qu'elle a toujours tenté de renier au long de son ascension sociale. Elle a le sentiment que sa maladie la replace dans une sorte de « fatalisme biographique », celui d'une précarité induite par la maladie.
In: Politique étrangère: PE ; revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band 63, Heft 2, S. 359-376
ISSN: 0032-342X
World Affairs Online
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Été, Heft 2, S. 41-52
ISSN: 1958-8992
Au cours des dernières années, la politique de la République populaire de Chine à l'égard de Taïwan est devenue de plus en plus agressive. Les pressions économiques s'intensifient et les démonstrations de force militaires sont désormais très fréquentes. La posture chinoise a pour effet de renforcer le soutien international à Taipei. La question taïwanaise occupe plus que jamais une place centrale dans la confrontation sino-américaine, elle-même exacerbée par la crise du COVID-19.
In: Jeune Afrique, Heft 2733, S. 41-43
In: Jeune Afrique l'intelligent: hebdomadaire politique et économique international ; édition internationale, Heft 2393, S. 32
ISSN: 0021-6089
World Affairs Online
Si, d'un point de vue abstrait, théorique et idéologique, les notions de morale (consensus social), de loi (consensus politique) et de justice (institution et/ou valeur qui appliquent la loi.) se distinguent assez aisément, il convient de souligner que la morale et la loi sont nées de la même matrice, partagent leur principe consensuel et sont séparées pourtant par des frontières considérables. Qu'elles affirment leurs différences et leur imperméabilité réciproque n'exclut pas de collusion. Dans une telle dynamique consanguine, la justice-institution pourrait jouer le rôle du tiers ordonnateur qui métisse les impératifs de fond (morale) et de forme (loi), en vue de la plus grande équité. Mais il faudrait alors qu'elle se pose comme instance éthique, ce qui est incompatible avec le formalisme procédural inhérent à l'application de la loi. Dans sa confrontation à l'institution justice, le justiciable continuera donc à éprouver, quelquefois au moins, le pénible sentiment d'être ignoré, méprisé en tant qu'être moral dont l'aspiration au bien et à l'équité n'est pas reconnue. Ce constat, hélas banal, devrait inciter à réfléchir à la formation et au contrôle des personnes dont la fonction est d'appliquer les lois.
BASE
In: Revue historique des armées, Band 294, Heft 1, S. 27-38