Property Rights, Public Choice, and Pigovianism
In: Journal of post-Keynesian economics, Band 16, Heft 1, S. 127-152
ISSN: 1557-7821
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In: Journal of post-Keynesian economics, Band 16, Heft 1, S. 127-152
ISSN: 1557-7821
The development of smart city infrastructures is seen as an important strategic component for many countries with applications in the areas of government services, healthcare, transport and traffic management, energy, water, and the management of waste services. In general, each of these infrastructural components generates data as it delivers its service. The usage of this data is often crucial both to the continued development of the service and for forward planning. While the data sources are often not complex in structure, traditional decision support systems are not built to handle continuous data streams, new or disappearing data sources, or the integration of multiple online data sources. In this work, we develop a flexible ETL process to quickly process and integrate online smart city data sources to deliver information that can be used in close to real-time.
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In: Economy & [and] environment 13
This article treats the environmental dimension of the Greater Paris system. It shows how a territorial ecology approach permits the cogent investigation of governance principles and policy options for the Greater Paris region. First we present estimates of synthetic indicators such as the ecological footprint and the environmental footprint that allow us to quantify the scale of environmental impact of the mega-city. Then we consider, with an integrated modeling and scenario analysis, the "metabolism" of Greater Paris as illustrated by the impacts of economic activity in the Seine River catchment on the Seine Estuary downstream. This example highlights the important scope for territorial policies based on ecosystem quality considerations and, more widely, the need to accord a central place to the environmental dimension for strategic visions of possible futures of the Paris mega-city. ; Cet article traite de la dimension environnementale de la dynamique du " Grand Paris ". Il explique comment une approche d'écologie territoriale permet d'aborder les questions de gouvernance pour la métropole Parisienne. Nous présentons, dans un premier temps, des indicateurs synthétiques comme l'" empreinte écologique " ou l'" empreinte environnementale ", permettant d'appréhender l'ampleur de l'impact environnemental de la métropole. Ensuite, nous mettons en évidence, à partir d'une modélisation intégrée originale couplée à une analyse de scénario quantitative, le " métabolisme " du Grand Paris et, plus particulièrement, les impacts de l'activité économique du bassin de la Seine en amont sur l'écologie de l'estuaire de la Seine en aval. Les opportunités de politique territoriales suscitées par l'observation de la dégradation de l'estuaire sont démontrées. La nécessité d'accorder une place centrale à l'environnementdans toute vision stratégique des avenirs possibles de la mégapole parisienne devient alors explicite.
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This article treats the environmental dimension of the Greater Paris system. It shows how a territorial ecology approach permits the cogent investigation of governance principles and policy options for the Greater Paris region. First we present estimates of synthetic indicators such as the ecological footprint and the environmental footprint that allow us to quantify the scale of environmental impact of the mega-city. Then we consider, with an integrated modeling and scenario analysis, the "metabolism" of Greater Paris as illustrated by the impacts of economic activity in the Seine River catchment on the Seine Estuary downstream. This example highlights the important scope for territorial policies based on ecosystem quality considerations and, more widely, the need to accord a central place to the environmental dimension for strategic visions of possible futures of the Paris mega-city. ; Cet article traite de la dimension environnementale de la dynamique du " Grand Paris ". Il explique comment une approche d'écologie territoriale permet d'aborder les questions de gouvernance pour la métropole Parisienne. Nous présentons, dans un premier temps, des indicateurs synthétiques comme l'" empreinte écologique " ou l'" empreinte environnementale ", permettant d'appréhender l'ampleur de l'impact environnemental de la métropole. Ensuite, nous mettons en évidence, à partir d'une modélisation intégrée originale couplée à une analyse de scénario quantitative, le " métabolisme " du Grand Paris et, plus particulièrement, les impacts de l'activité économique du bassin de la Seine en amont sur l'écologie de l'estuaire de la Seine en aval. Les opportunités de politique territoriales suscitées par l'observation de la dégradation de l'estuaire sont démontrées. La nécessité d'accorder une place centrale à l'environnementdans toute vision stratégique des avenirs possibles de la mégapole parisienne devient alors explicite.
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Cet article prend appui sur des travaux de recherche réalisés sous la direction scientifique de Martin O'Connor (C3ED) à la demande du Ministère de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement pour l'étude n°97085, Quantification et modélisation du capital naturel critique pour la mise en oeuvre d'une politique de développement durable en France (http://www.c3ed.uvsq.fr/c3ed/cnc/webcnc.htm) ; de la DGXII, Commission Européenne dans le cadre du projet n° PL9702076, "Making Sustainability Operational: Critical Natural Capital and the implication of a Strong Sustainability Criterion" (CRiTiNC), coordonné par P. Ekins (EPU, Keele University, UK) (http://www.c3ed.uvsq.fr/c3ed/Critinceng/CRITINCdessin.html) et du CNRS dans le cadre du PIREVS pour l'étude n°97/C/62, Validation socio-économique des indicateurs agro-écologiques réalisée sous la direction de M. O'Connor (C3ED) et P. Girardin (INRA) (http://www.c3ed.uvsq.fr/c3ed/valia/valia.html). ; Cet article propose une analyse économique de la dégradation des ressources en eau en Bretagne, utilisant un modèle de production jointe dans la tradition néo-ricardienne étendu à l'analyse de l'interdépendance entre secteurs économiques et secteurs écologiques. 1 Nous présentons tout d'abord la situation des ressources en eau en Bretagne, en expliquant en quoi les hésitations autour des reformes de gestion et de gouvernance de la ressource peuvent être assimilées à une question de conflits entre « systèmes de valeurs ». Ensuite est développé un modèle de production jointe qui permet de préciser les différents rôles que peuvent jouer les ressources en eau considérées comme un « capital écologique critique » sous-jacent à l'activité économique de la région. De façon générale , à moins que le capital écologique ne se régénère à un taux au moins aussi important que ce lui auquel il diminue en servant d'input dans la production ou de réceptacle à des déchets, l'activité économique est vouée effectivement à stagner ou à s'effondrer. Le thème du conflit entre systèmes de valeurs est introduit dans deux sens : (1) conflit entre les usages auxquels les ressources tirées des écosystèmes peuvent donner lieu, et (2) conflit en termes de taux inégaux de rendement entre différents régimes d'accumulation situés dans des situations d'antagonisme les uns à l'égard des autres. Nous envisageons ensuite la question des « modes de régulation » à même d'assurer une exploitation « durable » de la ressource en eau. Evoquant de manière schématique les perspectives de fiscalité verte et de changement technologique, censées répondre à la demande sociale pour une pollution réduite de l'eau, nous montrons que ni une politique d'« utilisateur payeur » ou de « pollueur payeur » ni une meilleure efficacité de l'exploitation de l'eau ne peut garantir la durabilité de l'activité économique . Un développement durable dépendrait de l'établissement d'un mode de régulation qui vise explicitement la « symbiose » entre secteurs économiques et secteurs écologiques. Nous illustrons la portée de ces résultats théoriques par le cas de la dégradation de la ressource en eau en Bretagne , en mettant en évidence la situation d'antagonisme entre deux tendances distinctes — que nous appellerons logique d'exploitation et logique de coexistence — dont les exigences respectives en matière de traitement des pollutions de l'eau ne se distinguent pas tant par leurs soucis d'efficacité technique que par le regard sous-jacent qu'elles portent sur la nature et sur les rapports homme-nature.
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Cet article prend appui sur des travaux de recherche réalisés sous la direction scientifique de Martin O'Connor (C3ED) à la demande du Ministère de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement pour l'étude n°97085, Quantification et modélisation du capital naturel critique pour la mise en oeuvre d'une politique de développement durable en France (http://www.c3ed.uvsq.fr/c3ed/cnc/webcnc.htm) ; de la DGXII, Commission Européenne dans le cadre du projet n° PL9702076, "Making Sustainability Operational: Critical Natural Capital and the implication of a Strong Sustainability Criterion" (CRiTiNC), coordonné par P. Ekins (EPU, Keele University, UK) (http://www.c3ed.uvsq.fr/c3ed/Critinceng/CRITINCdessin.html) et du CNRS dans le cadre du PIREVS pour l'étude n°97/C/62, Validation socio-économique des indicateurs agro-écologiques réalisée sous la direction de M. O'Connor (C3ED) et P. Girardin (INRA) (http://www.c3ed.uvsq.fr/c3ed/valia/valia.html). ; Cet article propose une analyse économique de la dégradation des ressources en eau en Bretagne, utilisant un modèle de production jointe dans la tradition néo-ricardienne étendu à l'analyse de l'interdépendance entre secteurs économiques et secteurs écologiques. 1 Nous présentons tout d'abord la situation des ressources en eau en Bretagne, en expliquant en quoi les hésitations autour des reformes de gestion et de gouvernance de la ressource peuvent être assimilées à une question de conflits entre « systèmes de valeurs ». Ensuite est développé un modèle de production jointe qui permet de préciser les différents rôles que peuvent jouer les ressources en eau considérées comme un « capital écologique critique » sous-jacent à l'activité économique de la région. De façon générale , à moins que le capital écologique ne se régénère à un taux au moins aussi important que ce lui auquel il diminue en servant d'input dans la production ou de réceptacle à des déchets, l'activité économique est vouée effectivement à stagner ou à s'effondrer. Le thème du conflit entre systèmes de valeurs ...
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In: Revue française d'administration publique, Band 166, Heft 2, S. 333-351
Résumé Avec ou sans responsabilité. Mauvaises pratiques et assurance qualité en matière de recherche scientifique – Cet article a pour but de contribuer à la réflexion sur la qualité et la responsabilité dans la recherche. Il s'appuie sur un atelier mené dans le cadre du Projet européen DEFORM (2017) portant sur les coûts sociaux des mauvaises pratiques de recherche. La responsabilité dans la science et pour la science est complexe, et nécessite des démarcations sur deux axes majeurs. Premièrement, de quels acteurs s'agit-il (des chercheurs au sein du secteur scientifique, aux agences de gouvernance externes) ? Deuxièmement quels sont les contours de la qualité considérée (ceux « intrinsèques à la science », ceux liés aux préoccupations « extrinsèques » sociétales) ? En fonction de cette grille, l'article propose des procédures innovantes de dialogue impliquant toutes les parties prenantes sur la qualité des pratiques de recherche, qui permettent de recadrer les questions de responsabilité publique, privée et collégiale.
In: International social science journal, Band 53, Heft 168, S. 219-229
ISSN: 1468-2451
In: Revue internationale des sciences sociales, Band 168, Heft 2, S. 239
ISSN: 0304-3037
In: International social science journal: ISSJ, Band 53, Heft 2, S. 219-229
ISSN: 0020-8701
The article addresses the need, posed by the challenges of sustainable development & the changing context at the beginning of the 21st century, for changes in the method & practice of science. The major challenges for a "sustainability science" arise from increasing complexity at the ontological, epistemological, & political levels, calling for an integrated science going far beyond an interdisciplinary style of research. The requirement is for the development, adoption, & dissemination of a truly complex-systems scientific research model. Complex socio-ecological systems share a number of fundamental properties that require changes in scientific methods, criteria of truth & quality, & conceptual frameworks. These properties include nonlinearity, plurality of perspectives, emergence of properties, self-organization, multiplicity of scales, & irreducible uncertainty. Some implications of the analysis are pointed out, in the form of practical recommendations. The authors argue for the involvement of both natural & social scientists in the investigation of the necessary steps to develop a sustainability science. 1 Table, 26 References. Adapted from the source document.
This article treats the environmental dimension of the Greater Paris system.It shows how a territorial ecology approach permits the cogent investigation of governance principles and policy options for the Greater Paris region.First we present estimates of synthetic indicators such as the ecological footprint and the environmental footprint that allow us to quantify the scale of environmental impact of the mega-city.Then we consider, with an integrated modeling and scenario analysis, the "metabolism" of Greater Paris as illustrated by the impacts of economic activity in the Seine River catchment on the Seine Estuary downstream. This example highlights the important scope for territorial policies based on ecosystem quality considerations and, more widely, the need to accord a central place to the environmental dimension for strategic visions of possible futures of the Paris mega-city. ; Cet article traite de la dimension environnementale de la dynamique du " Grand Paris ". Il explique comment une approche d'écologie territoriale permet d'aborder les questions degouvernance pour la métropole Parisienne. Nous présentons, dans un premier temps, des indicateurs synthétiques comme l'" empreinte écologique " et l'" empreinte environnementale ", permettant d'appréhender l'ampleur de l'impact environnemental de la métropole. Ensuite, nous mettons en évidence, à partir d'une modélisation intégrée originale couplée à une analyse de scénario quantitative, le " métabolisme " du Grand Paris et, plus particulièrement, les impacts de l'activité économique du bassin de la Seine en amont surl'écologie de l'estuaire de la Seine en aval. Les opportunités de politique territoriales suscitées par l'observation de la dégradation de l'estuaire sont démontrées. La nécessitéd'accorder une place centrale à l'environnementdans toute vision stratégique des avenirs possibles de la mégapole parisienne devient alors explicite.
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This article treats the environmental dimension of the Greater Paris system.It shows how a territorial ecology approach permits the cogent investigation of governance principles and policy options for the Greater Paris region.First we present estimates of synthetic indicators such as the ecological footprint and the environmental footprint that allow us to quantify the scale of environmental impact of the mega-city.Then we consider, with an integrated modeling and scenario analysis, the "metabolism" of Greater Paris as illustrated by the impacts of economic activity in the Seine River catchment on the Seine Estuary downstream. This example highlights the important scope for territorial policies based on ecosystem quality considerations and, more widely, the need to accord a central place to the environmental dimension for strategic visions of possible futures of the Paris mega-city. ; Cet article traite de la dimension environnementale de la dynamique du " Grand Paris ". Il explique comment une approche d'écologie territoriale permet d'aborder les questions degouvernance pour la métropole Parisienne. Nous présentons, dans un premier temps, des indicateurs synthétiques comme l'" empreinte écologique " et l'" empreinte environnementale ", permettant d'appréhender l'ampleur de l'impact environnemental de la métropole. Ensuite, nous mettons en évidence, à partir d'une modélisation intégrée originale couplée à une analyse de scénario quantitative, le " métabolisme " du Grand Paris et, plus particulièrement, les impacts de l'activité économique du bassin de la Seine en amont surl'écologie de l'estuaire de la Seine en aval. Les opportunités de politique territoriales suscitées par l'observation de la dégradation de l'estuaire sont démontrées. La nécessitéd'accorder une place centrale à l'environnementdans toute vision stratégique des avenirs possibles de la mégapole parisienne devient alors explicite.
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