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Abstract
The deployment of violence as a subversive and revolutionary tool for effecting social change in post-independent African states has been very controversial among literary scholars. This paper employs Marxism in re-reading Femi Osofisan's Red is the Freedom Road, and argues that the use of violence as a popular means of engendering progressive transformation of society is too costly in blood and devastation. Instead, tackling the various sociopolitical challenges confronting postcolonial African nations is better pursued through dialogue and negotiation rather than armed confrontation. Osofisan's revulsion in response to the use of violence permeates his drama; but this does not in any way reduce his literary stature when compared with Ngugi wa Thiong'o and Wole Soyinka, whose literary works seem to support the view that there comes a point when the deployment of violence becomes necessary.

A partir de l'« interprétation de la non-violence » offerte ici par Judith Butler, non comme état pacifique mais comme combat social et politique, en révélant les présupposés normatifs de la violence légitime, notamment ceux de la violence d'État, je m'intéresse à la violence comme étant située au cœur de la (re)production du régime patriarcal en Algérie à travers l'enjeu politique du deuil. Quelles sont les grilles d'interprétation au travers desquelles se reconnaissent, de manière différenciée, la dignité et la vulnérabilité des vies humaines? Pour évoquer cette violence directement vécue ou racontée lors d'un terrain socio-anthropologique de huit mois en Algérie, il ne me suffit donc pas d'exposer les « faits », mais plutôt de mettre au jour les significations des vécus corporels des acteurs/trices sociaux/les, en les replaçant dans le champ d'intelligibilité dans lequel ils sont (re)produits.

A partir de l'« interprétation de la non-violence » offerte ici par Judith Butler, non comme état pacifique mais comme combat social et politique, en révélant les présupposés normatifs de la violence légitime, notamment ceux de la violence d'État, je m'intéresse à la violence comme étant située au cœur de la (re)production du régime patriarcal en Algérie à travers l'enjeu politique du deuil. Quelles sont les grilles d'interprétation au travers desquelles se reconnaissent, de manière différenciée, la dignité et la vulnérabilité des vies humaines? Pour évoquer cette violence directement vécue ou racontée lors d'un terrain socio-anthropologique de huit mois en Algérie, il ne me suffit donc pas d'exposer les « faits », mais plutôt de mettre au jour les significations des vécus corporels des acteurs/trices sociaux/les, en les replaçant dans le champ d'intelligibilité dans lequel ils sont (re)produits.

I take it as axiomatic that any battle between armies, if it is going to be fought at all and thus won or lost, must be fought upon a common field of battle. And if this holds true for battles it holds equally true for debates upon fundamental spiritual absolutes: unless the theoretical grounds are common to both parties argument is futile. Precisely because of this, debate is often futile in our time because agreement upon fundamentals is rarely possible within a world as. badly fissioned spiritually as is our own. It is of ten,'better to retire from the game than merely go through the motions mechanically, scoring debater's points and winning empty victories due to a superiority in dialectical skills.