Quelles sont les interactions entre les dynamiques écologiques et l'utilisation de l'espace ? Quelles sont les demandes de la société et les décideurs politiques dans leur gestion des territoires quant aux différents services fournis par les écosystémiques? Quels sont les moyens à disposition pour les évaluer ? Ce numéro de Sciences Eaux & Territoires présente des résultats issus du projet ESNET éclairant l'interaction entre société et écosystèmes. Il réunit aussi des témoignages opérationnels d'acteurs engagés, par leurs pratiques de terrain, dans la prise en compte des services écosystémiques. Le numéro est organisé en trois parties : les enjeux conceptuels sur les services écosystémiques dans une perspective de pratiques d'aménagement et de planification ; l'aide à la décision en matière d'usage des sols et de protection des écosystèmes ; les modalités d'occupation du sol : évaluer, modéliser les services écosystémiques.
Quelles sont les interactions entre les dynamiques écologiques et l'utilisation de l'espace ? Quelles sont les demandes de la société et les décideurs politiques dans leur gestion des territoires quant aux différents services fournis par les écosystémiques? Quels sont les moyens à disposition pour les évaluer ? Ce numéro de Sciences Eaux & Territoires présente des résultats issus du projet ESNET éclairant l'interaction entre société et écosystèmes. Il réunit aussi des témoignages opérationnels d'acteurs engagés, par leurs pratiques de terrain, dans la prise en compte des services écosystémiques. Le numéro est organisé en trois parties : les enjeux conceptuels sur les services écosystémiques dans une perspective de pratiques d'aménagement et de planification ; l'aide à la décision en matière d'usage des sols et de protection des écosystèmes ; les modalités d'occupation du sol : évaluer, modéliser les services écosystémiques.
Quelles sont les interactions entre les dynamiques écologiques et l'utilisation de l'espace ? Quelles sont les demandes de la société et les décideurs politiques dans leur gestion des territoires quant aux différents services fournis par les écosystémiques? Quels sont les moyens à disposition pour les évaluer ? Ce numéro de Sciences Eaux & Territoires présente des résultats issus du projet ESNET éclairant l'interaction entre société et écosystèmes. Il réunit aussi des témoignages opérationnels d'acteurs engagés, par leurs pratiques de terrain, dans la prise en compte des services écosystémiques. Le numéro est organisé en trois parties : les enjeux conceptuels sur les services écosystémiques dans une perspective de pratiques d'aménagement et de planification ; l'aide à la décision en matière d'usage des sols et de protection des écosystèmes ; les modalités d'occupation du sol : évaluer, modéliser les services écosystémiques.
Cet article aborde le problème de l'intégration des populations locales dans la gestion des ressources forestières naturelles dispersées dans les massifs forestiers en Afrique francophone. En forêt dense humie de nombreux probèmes sont dus aux législations qui font du droit forestier un "droit de l'Etat", et des politiques de gestion du territoire. Une approche de gestion intégrée doit s'efforcer de concilier et d'organiser des usages différents d'un même écosystème plutôt que de miser sur la spécialisation et le cloissonnement des espaces
La reconquête des espaces dégradés en milieu urbain et leur retour à un usage économique ont acquis une importance particulière dans l'Union européenne ces quinze dernières années. Mais les espaces à usage agricole situés en périphérie des villes continuent d'être soumis au mitage (2), souvent du fait de la complexité de la reconversion des sites urbains dégradés. Afin de modifier ces pratiques, il est nécessaire d'intégrer les exigences du développement durable et les différentes situations socio-économiques, légales et politiques en réunissant les diverses disciplines et les porteurs d'enjeux.
La reconquête des espaces dégradés en milieu urbain et leur retour à un usage économique ont acquis une importance particulière dans l'Union européenne ces quinze dernières années. Mais les espaces à usage agricole situés en périphérie des villes continuent d'être soumis au mitage (2), souvent du fait de la complexité de la reconversion des sites urbains dégradés. Afin de modifier ces pratiques, il est nécessaire d'intégrer les exigences du développement durable et les différentes situations socio-économiques, légales et politiques en réunissant les diverses disciplines et les porteurs d'enjeux.
La reconquête des espaces dégradés en milieu urbain et leur retour à un usage économique ont acquis une importance particulière dans l'Union européenne ces quinze dernières années. Mais les espaces à usage agricole situés en périphérie des villes continuent d'être soumis au mitage (2), souvent du fait de la complexité de la reconversion des sites urbains dégradés. Afin de modifier ces pratiques, il est nécessaire d'intégrer les exigences du développement durable et les différentes situations socio-économiques, légales et politiques en réunissant les diverses disciplines et les porteurs d'enjeux.
Cet article tente de caractériser les recherches relevant de la problématique de la gouvernance dans le cadre des politiques de gestion intégrée et concertée du littoral (GIZC). Ces politiques visent à appliquer les principes du développement durable aux espaces littoraux. A partir d'un cadre d'analyse distinguant la nature des questions et les types de méthodes mobilisées, les auteures effectuent une revue des travaux relatifs à la gouvernance à propos du littoral. Une attention particulière est portée aux travaux qui s'inscrivent dans une logique de gestion intégrée du littoral français. On note une partition des problématiques selon qu'elles appréhendent la gouvernance comme un " outil " pour l'efficacité des politiques publiques ou comme une finalité contribuant à un processus de démocratisation. Il apparaît aussi une focalisation des travaux sur les questions de mobilisation, participation et concertation et un besoin de dépasser des approches locales et souvent empiriques pour proposer des recommandations plus génériques sur la mise en oeuvre de la GIZC.
National audience ; Comment passer de la construction des barrages à une logique de gestion intégrée ? Tel est le problème de l'Institution Adour, un Etablissement Public Territorial de Bassin1 (EPTB), qui se trouve placé, bien malgré lui, en situation d'apprentissage. L'analyse de cette difficile transition va nous permettre de réfléchir aux modalités du changement institutionnel qui pourraient permettre à une structure d'aménagement de s'ouvrir à la question environnementale sans renier totalement ses compétences initiales. L'Institution interdépartementale pour l'aménagement du bassin de l'Adour ou Institution Adour a été créée en 1978 par les quatre départements du bassin de l'Adour : Hautes- Pyrénées, Gers, Landes, et Pyrénées-Atlantiques. Ses missions fondatrices étaient la gestion et l'augmentation de la ressource en eau, la protection contre les crues, la lutte contre la pollution. Pour mener à bien ces missions, l'Institution Adour construisit de nombreux barrages, dont les 23 réservoirs de soutien d'étiage en service, mis en place dans les années 80 et 90 sur les rivières déficitaires, qui atteignent une capacité totale de 59 millions de m3. En dépit de son indéniable réussite, cette logique équipementière est remise en cause depuis la loi sur l'eau de 1992. L'Institution Adour subit alors une injonction de durabilité de la part de ses tutelles et de ses financeurs (chapitre I). Elle doit satisfaire des objectifs qualitatifs de gestion intégrée. La gestion intégrée de la ressource en eau est une notion utilisée en France qui constitue la déclinaison du développement durable dans le champ de la politique de l'eau. Elle vise à prendre en compte l'ensemble des problématiques (milieux, qualité, quantité, etc.) et des usages liés à l'eau (agriculture, pêche, industrie, usage domestique, etc.) pour aboutir à une gestion concertée et équilibrée de la ressource et des milieux aquatiques. Les réussites passées de la logique équipementière qui sous-tendait son action antérieure expliquent les réticences des ...
National audience ; Comment passer de la construction des barrages à une logique de gestion intégrée ? Tel est le problème de l'Institution Adour, un Etablissement Public Territorial de Bassin1 (EPTB), qui se trouve placé, bien malgré lui, en situation d'apprentissage. L'analyse de cette difficile transition va nous permettre de réfléchir aux modalités du changement institutionnel qui pourraient permettre à une structure d'aménagement de s'ouvrir à la question environnementale sans renier totalement ses compétences initiales. L'Institution interdépartementale pour l'aménagement du bassin de l'Adour ou Institution Adour a été créée en 1978 par les quatre départements du bassin de l'Adour : Hautes- Pyrénées, Gers, Landes, et Pyrénées-Atlantiques. Ses missions fondatrices étaient la gestion et l'augmentation de la ressource en eau, la protection contre les crues, la lutte contre la pollution. Pour mener à bien ces missions, l'Institution Adour construisit de nombreux barrages, dont les 23 réservoirs de soutien d'étiage en service, mis en place dans les années 80 et 90 sur les rivières déficitaires, qui atteignent une capacité totale de 59 millions de m3. En dépit de son indéniable réussite, cette logique équipementière est remise en cause depuis la loi sur l'eau de 1992. L'Institution Adour subit alors une injonction de durabilité de la part de ses tutelles et de ses financeurs (chapitre I). Elle doit satisfaire des objectifs qualitatifs de gestion intégrée. La gestion intégrée de la ressource en eau est une notion utilisée en France qui constitue la déclinaison du développement durable dans le champ de la politique de l'eau. Elle vise à prendre en compte l'ensemble des problématiques (milieux, qualité, quantité, etc.) et des usages liés à l'eau (agriculture, pêche, industrie, usage domestique, etc.) pour aboutir à une gestion concertée et équilibrée de la ressource et des milieux aquatiques. Les réussites passées de la logique équipementière qui sous-tendait son action antérieure expliquent les réticences des ...
National audience ; Comment passer de la construction des barrages à une logique de gestion intégrée ? Tel est le problème de l'Institution Adour, un Etablissement Public Territorial de Bassin1 (EPTB), qui se trouve placé, bien malgré lui, en situation d'apprentissage. L'analyse de cette difficile transition va nous permettre de réfléchir aux modalités du changement institutionnel qui pourraient permettre à une structure d'aménagement de s'ouvrir à la question environnementale sans renier totalement ses compétences initiales. L'Institution interdépartementale pour l'aménagement du bassin de l'Adour ou Institution Adour a été créée en 1978 par les quatre départements du bassin de l'Adour : Hautes- Pyrénées, Gers, Landes, et Pyrénées-Atlantiques. Ses missions fondatrices étaient la gestion et l'augmentation de la ressource en eau, la protection contre les crues, la lutte contre la pollution. Pour mener à bien ces missions, l'Institution Adour construisit de nombreux barrages, dont les 23 réservoirs de soutien d'étiage en service, mis en place dans les années 80 et 90 sur les rivières déficitaires, qui atteignent une capacité totale de 59 millions de m3. En dépit de son indéniable réussite, cette logique équipementière est remise en cause depuis la loi sur l'eau de 1992. L'Institution Adour subit alors une injonction de durabilité de la part de ses tutelles et de ses financeurs (chapitre I). Elle doit satisfaire des objectifs qualitatifs de gestion intégrée. La gestion intégrée de la ressource en eau est une notion utilisée en France qui constitue la déclinaison du développement durable dans le champ de la politique de l'eau. Elle vise à prendre en compte l'ensemble des problématiques (milieux, qualité, quantité, etc.) et des usages liés à l'eau (agriculture, pêche, industrie, usage domestique, etc.) pour aboutir à une gestion concertée et équilibrée de la ressource et des milieux aquatiques. Les réussites passées de la logique équipementière qui sous-tendait son action antérieure expliquent les réticences des ...
National audience ; Comment passer de la construction des barrages à une logique de gestion intégrée ? Tel est le problème de l'Institution Adour, un Etablissement Public Territorial de Bassin1 (EPTB), qui se trouve placé, bien malgré lui, en situation d'apprentissage. L'analyse de cette difficile transition va nous permettre de réfléchir aux modalités du changement institutionnel qui pourraient permettre à une structure d'aménagement de s'ouvrir à la question environnementale sans renier totalement ses compétences initiales. L'Institution interdépartementale pour l'aménagement du bassin de l'Adour ou Institution Adour a été créée en 1978 par les quatre départements du bassin de l'Adour : Hautes- Pyrénées, Gers, Landes, et Pyrénées-Atlantiques. Ses missions fondatrices étaient la gestion et l'augmentation de la ressource en eau, la protection contre les crues, la lutte contre la pollution. Pour mener à bien ces missions, l'Institution Adour construisit de nombreux barrages, dont les 23 réservoirs de soutien d'étiage en service, mis en place dans les années 80 et 90 sur les rivières déficitaires, qui atteignent une capacité totale de 59 millions de m3. En dépit de son indéniable réussite, cette logique équipementière est remise en cause depuis la loi sur l'eau de 1992. L'Institution Adour subit alors une injonction de durabilité de la part de ses tutelles et de ses financeurs (chapitre I). Elle doit satisfaire des objectifs qualitatifs de gestion intégrée. La gestion intégrée de la ressource en eau est une notion utilisée en France qui constitue la déclinaison du développement durable dans le champ de la politique de l'eau. Elle vise à prendre en compte l'ensemble des problématiques (milieux, qualité, quantité, etc.) et des usages liés à l'eau (agriculture, pêche, industrie, usage domestique, etc.) pour aboutir à une gestion concertée et équilibrée de la ressource et des milieux aquatiques. Les réussites passées de la logique équipementière qui sous-tendait son action antérieure expliquent les réticences des ...
L'article s'inscrit dans le cadre de l'expertise collective de l'INRA intitulée ATEPE (Agriculture, territoire, environnement dans les politiques européennes), conduite à la demande des ministères de l'Agriculture et de l'Environnement. Pour trois secteurs agricoles (arboriculture, grandes cultures et bovins), il propose, dans une première partie, une analyse synthétique de la situation environnementale actuelle et de ses principaux déterminants. Dans une seconde partie, il présente une synthèse des solutions économiques à mettre en oeuvre, via les marchés et/ou les politiques publiques, pour aller dans le sens d'une amélioration de la relation agriculture-environnement.
International audience ; La gestion intégrée de la ressource en eau oblige les politiques publiques à se réinventer en proposant des outils de régulation tenant davantage compte du fonctionnement des milieux naturels et des services qu'ils rendent, en privilégiant des solutions plus concertées, construites à l'échelle des bassins versants, et en cherchant à concilier les intérêts parfois divergents de l'ensemble des acteurs du territoire. L'économie fournit ainsi des méthodes pour aider les décideurs publics à arbitrer entre des options ou à concevoir des outils innovants tenant compte de cette nouvelle approche ainsi que de la spécificité de l'agriculture, notamment le caractère diffus des émissions polluantes.