Ethnies
In: Civilisations: revue internationale d'anthropologie et de sciences humaines, Heft 42-2, S. 33-43
ISSN: 2032-0442
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In: Civilisations: revue internationale d'anthropologie et de sciences humaines, Heft 42-2, S. 33-43
ISSN: 2032-0442
In: Collection Axes / Savoir, 7
World Affairs Online
In: International affairs, Band 41, Heft 4, S. 719-719
ISSN: 1468-2346
In: Études internationales: revue trimestrielle, Band 25, Heft 1, S. 166-167
ISSN: 0014-2123
In: Internationales Asien-Forum: international quarterly for Asian studies, Band 30, Heft 1-2, S. 27-46
ISSN: 0020-9449
World Affairs Online
In: Sciences humaines: SH, Band 110, Heft 11, S. 28-28
The Hazara are one of the several ethnic groups in Afghanistan. Traditionally they inhabited the Hazarajat, the land of the Hazara, which comprises the mountainous central areas of Afghanistan. Since the majority of them are adherents of Shiite Islam and have a distinctly Mongoloid appearance, it is easy to distinguish them from the neighbouring populations. The name "Hazara" has been interpreted as meaning the Persian word for "one thousand", standing for one thousand soldiers of the Mongolian army of Dschinghis Khan. Estimations regarding the Hazara population differ greatly, ranging from 1,000,000 to 7,000,000. With support from the British, the Emir Abdur Rahman occupied the Hazarajat in the second part of the 19th century and with the incorporation in the Afghan state a marginalization of the Hazara people began. In the modem Afghan state the Hazara were underprivileged politically, socially and economically and suppressed by the Pashtun rulers. During the resistance against the Soviet-backed regime in Kabul a development took place that led to several changes within Hazara society and enabled the Hazara to play an important role in post-Soviet Afghanistan. Since the appearance of the Taliban movement in 1994 the Hazara, organized in the Hezb-e Wahdat (Unity Party), offer resistance. They are no longer willing to subordinate themselves to a Pashtun-dominated state.
BASE
In: Kölner Zeitschrift für Soziologie und Sozialpsychologie: KZfSS, Band 68, Heft 2, S. 397-399
ISSN: 1861-891X
In: Cahiers de recherche sociologique, Heft 20, S. 157-167
ISSN: 1923-5771
Les concepts d'ethnie et de nation sont à ce point chargés de valeurs et de passions qu'il importe de les définir pour les utiliser dans les travaux sociologiques. L'ethnie désigne une communauté historique, qui a la conscience d'être unique et la volonté de le rester. Mais contrairement à la nation, elle n'a pas nécessairement d'expression politique. La nation, elle, est une organisation politique. Une double pensée de la nation politique moderne s'est élaborée, l'une fondée sur la légitimité de la volonté des citoyens (nation « à la française » ou « à l'américaine »), l'autre sur des critères ethniques et linguistiques (nation « à l'allemande »). Il faut dépasser ces oppositions historiques et idéologiques et proposer une définition proprement sociologique de la nation moderne, à partir du processus d'intégration politique des populations, diverses par leurs origines et leurs caractéristiques, autour d'un projet politique commun.
In: Multikulturelle Demokratien im Vergleich, S. 289-308
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 38, Heft 1, S. 61-76
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
Résumé Breton Roland. — L'évolution des ethnies soviétiques. Les statistiques soviétiques recensent chaque citoyen selon sa nationalité, sa langue maternelle, et la seconde langue parlée. Ces données sont publiées lors des recensements et permettent de se faire une idée de la répartition des nationalités et de leur dynamisme, idée plus exacte que pour les données classées par République. La différence entre ethnies européennes et asiatiques est plus nette encore. Partout sauf en Europe, les populations russes voient leur représentation diminuer. Les langues maternelles encouragées dès les débuts de la République sont en pleine vitalité à l'exception de petites nationalités ou de nationalités étrangères (allemands, polonais, coréens). Seul facteur d'unification, la langue russe se répand assez rapidement comme deuxième langue. Elle est déjà comprise par plus de la moitié de la population dans de nombreuses républiques.
In: Peuples méditerranéens: revue trimestrielle = Mediterranean peoples, Heft 64-65, S. 87-94
ISSN: 0399-1253