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Le dépassement du marxisme
In: La Revue du MAUSS, Band 34, Heft 2, S. 153-160
ISSN: 1776-3053
Résumé Le marxisme n'est pas mort. Prétendre le dépasser ne signifie pas qu'il faudrait s'en débarrasser. Le socialisme doit aujourd'hui corriger son matérialisme, son déterminisme et son économisme. Ce qu'il s'agit de dépasser, c'est avant tout le « démon utilitariste » qu'il n'a pas su chasser. D'où l'urgence à renouveler ses éléments moraux et idéaux. Car la question essentielle n'est-elle pas celle-ci : transformation des choses ou transformation des consciences ?
Féminisme : Dépassement du léninisme ?
In: Cahiers du féminisme, Band 21, Heft 1, S. 40-42
Actualité et dépassement du « Manifeste »
In: Recma: revue internationale de l' économie sociale, Band 361, Heft 3, S. 12-20
ISSN: 2261-2599
Le dépassement de l'art
In: L Homme et la société, Band 26, Heft 1, S. 83-97
L'Europe comme dépassement de l'Etat ?
In: Swiss political science review: SPSR = Schweizerische Zeitschrift für Politikwissenschaft : SZPW = Revue suisse de science politique : RSSP, Band 4, Heft 4, S. 57-79
ISSN: 1662-6370
RésuméLes rapports entre l'Europe et l'Etat ne doivent pas être conçus dans les termes d'une opposition théorique. L'Union européenne ne constitue pas un espace public et valorise la légitimité économique de l'action publique. Mais les réformes managériales comme l'évolution de l'échange politique ont provoqué de profondes transformations dans les Etats membres eux‐mêmes depuis une quinzaine d'années. L'évolution des Etats‐nations et de l'Europe paraît donc convergente et semble produire une nouvelle théorie du pouvoir. Cette évolution commune s'appuie sur des valeurs universalistes et sur la multiplication des réseaux et des corporatismes. Les arrangements contractuels prennent le pas sur l'ordre hiérarchique ou les marchés. Cette évolution ne débouche pas nécessairement sur une gouvernance démocratique. Développant une logique artificialiste, elle suscite l'opposition des partisans des valeurs naturalistes et communautaires. Elle exige également des individus un capital social important.
Du système des inégalités à son dépassement
International audience ; Centrale au sein du débat politique au cours des années 1960 et jusqu'au début des années 1970, la question de l'art et de la manière de réduire les inégalités sociales en a été chassée au cours des années 1980. C'est précisément au moment où, sous l'effet de la crise structurelle dans laquelle était entré le capitalisme mondial au cours des années 1970 et surtout des politiques néo-libérales, soi-disant destinées à la résoudre, qui ont été menées à partir de la fin de cette décennie, que ces inégalités ont connu une brutale aggravation. Ces politiques ont été appliquées de façon variable selon les pays. En France, après des tentatives inabouties sous l'égide de Raymond Barre à la fin des années 1970, le tournant néo-libéral a été pris en trois temps au début du premier septennat de François Mitterrand, plus précisément en 1982, 1983 et 1984. Cette inflexion a été approfondie par la suite. Il y avait plus qu'une simple coïncidence entre la montée des inégalités sociales et les politiques d'inspiration libérale qui ont été menées. Pendant plus d'une dizaine d'années, alors que les indices et signes de cette aggravation s'accumulaient, la montée des inégalités sociales était considérée comme la rançon de l'«efficacité économique», quand ce n'était pas le prix à payer pour jouir des bienfaits de la «démocratie politique». Le débat politique comme les recherches universitaires se sont alors focalisés sur les seuls phénomènes de «l'exclusion» ou de la «nouvelle pauvreté», l'attention ainsi accordée à ce qui se passait à l'un des pôles du spectre social ayant essentiellement pour effet de rejeter dans l'ombre ce qui se passait à l'autre pôle — la concentration de la richesse et du pouvoir entre les mains des «privilégiés» — et, en même temps l'ouverture du spectre dans son ensemble, métaphore optique pour exprimer cette même aggravation des inégalités sociales, c'est-à-dire l'augmentation de la distance entre les différents échelons de la hiérarchie sociale. Au cours des années récentes, sous ...
BASE
Le dépassement des conflits entre groupes
In: Revue française de sociologie, Band 9, Heft 1, S. 89
Le dépassement du salariat, sur l'exemple suisse
In: Revue économique, Band 10, Heft 3, S. 388-403
ISSN: 1950-6694
La victoire aujourd'hui, de l'évanescence au dépassement
In: Politique étrangère: revue trimestrielle publiée par l'Institut Français des Relations Internationales, Band Automne, Heft 3, S. 25-37
ISSN: 1958-8992
La victoire est une notion plus compliquée à définir qu'il n'y paraît. Elle suppose l'atteinte d'objectifs militaires et politiques, mais aussi la perception et l'acceptation d'une nouvelle réalité par l'adversaire. Les guerres asymétriques du début du XXI e siècle – de l'Afghanistan à l'Irak en passant par le Sahel – montrent que la supériorité militaire ne garantit pas la victoire. Il ne faut pas en conclure que l'emploi de la force armée serait nécessairement vain.
« Dépassement » ou effacement du parti socialiste (2012-2017) ?
In: Mouvements: des idées et des luttes, Band 89, Heft 1, S. 11-21
ISSN: 1776-2995
Avec l'élection d'un ancien premier secrétaire du parti à l'Elysée et d'une majorité socialiste à l'Assemblée, l'année 2012 a marqué l'apogée du parti socialiste, qui dirigeait alors la quasi-totalité des régions, 60 % des départements et les deux tiers des villes. À l'approche de la fin du quinquennat, le PS semble menacé de mort. Incapable d'infléchir la ligne sociale-libérale choisie par François Hollande, le parti a dû assumer les choix de l'exécutif, dont les effets ont été dévastateurs sur le plan interne comme d'un point de vue électoral. Dépolitisé et désidéologisé, le PS a vu son appareil, largement construit autour des collectivités, se décomposer avec la perte de nombreuses villes, agglomérations et régions. Rémi Lefebvre retrace ici cinq années d'effacement du parti socialiste, au cours desquelles il est passé d'une position dominante à une situation de déshérence, sinon encore de disparition.
Le développement durable: une logique de dépassement
In: Revue politique et parlementaire, Band 1, S. 201-216
ISSN: 0035-385X