Productivité globale et comptes de surplus de la S.N.C.F
In: Revue économique, Band 22, Heft 2, S. 349
ISSN: 1950-6694
29963 Ergebnisse
Sortierung:
In: Revue économique, Band 22, Heft 2, S. 349
ISSN: 1950-6694
In: Revue économique, Band 22, Heft 5, S. 843
ISSN: 1950-6694
In: Annals of public and cooperative economics, Band 72, Heft 2, S. 183-207
ISSN: 1467-8292
This paper focuses on the assessment of the economic performance of seven African railway enterprises using a Total Factor Productivity index decomposition. This method shows the role of these public enterprises in the production and distribution of added value. The analysis allows to identify the, positive or negative, contribution of each production factor to productivity growth. At the same time, it shows how the firm's partners do, or do not benefit from the added value created by these companies.
The French regions have since 1997 for some of them, and since 2002 for the others, to a sponsor of public service for regional travelers, faced with a monopoly of the SNCF. Economic theory and the first assessments show that the monopoly will receive an informational means. One wonders whether the regions are not provided a learning process. To test this hypothesis with a capacity of expertise growing regions, this paper applies to the "TER system" method of surplus accounts and focuses on developments border prices. The detailed examination of the 7 regions, which now have more than ten years experience of agreements with the SNCF, shows that they were able to control the evolution of border prices. But they could not avoid the shock, predictable, higher tolls. In total, travelers become, tendentiously, the main winners of the "TER system". ; Les Régions françaises sont, depuis 1997 pour certaines d'entre elles, et depuis 2002 pour les autres, en situation de commanditaire du service public de transport régional de voyageurs, face à un monopole, celui de la SNCF. La théorie économique et les premières évaluations montrent que le monopole profite alors d'une rente informationnelle. On peut se demander si les Régions ne bénéficient pas pour autant d'un processus d'apprentissage. Pour tester cette hypothèse d'une capacité d'expertise croissante des Régions, cet article applique au "système TER" la méthode des comptes de surplus et s'intéresse aux évolutions des frontières de prix. L'examen détaillé des 7 régions, qui ont maintenant plus de dix ans d'expérience du conventionnement avec la SNCF, montre qu'elles ont été en mesure de maîtriser l'évolution des frontières de prix. Mais elles n'ont pu éviter le choc, prévisible, de la hausse des péages. Au total, ce sont les voyageurs qui sont devenus, tendanciellement, les principaux gagnants du "système TER".
BASE
The French regions have since 1997 for some of them, and since 2002 for the others, to a sponsor of public service for regional travelers, faced with a monopoly of the SNCF. Economic theory and the first assessments show that the monopoly will receive an informational means. One wonders whether the regions are not provided a learning process. To test this hypothesis with a capacity of expertise growing regions, this paper applies to the "TER system" method of surplus accounts and focuses on developments border prices. The detailed examination of the 7 regions, which now have more than ten years experience of agreements with the SNCF, shows that they were able to control the evolution of border prices. But they could not avoid the shock, predictable, higher tolls. In total, travelers become, tendentiously, the main winners of the "TER system". ; Les Régions françaises sont, depuis 1997 pour certaines d'entre elles, et depuis 2002 pour les autres, en situation de commanditaire du service public de transport régional de voyageurs, face à un monopole, celui de la SNCF. La théorie économique et les premières évaluations montrent que le monopole profite alors d'une rente informationnelle. On peut se demander si les Régions ne bénéficient pas pour autant d'un processus d'apprentissage. Pour tester cette hypothèse d'une capacité d'expertise croissante des Régions, cet article applique au "système TER" la méthode des comptes de surplus et s'intéresse aux évolutions des frontières de prix. L'examen détaillé des 7 régions, qui ont maintenant plus de dix ans d'expérience du conventionnement avec la SNCF, montre qu'elles ont été en mesure de maîtriser l'évolution des frontières de prix. Mais elles n'ont pu éviter le choc, prévisible, de la hausse des péages. Au total, ce sont les voyageurs qui sont devenus, tendanciellement, les principaux gagnants du "système TER".
BASE
The French regions have since 1997 for some of them, and since 2002 for the others, to a sponsor of public service for regional travelers, faced with a monopoly of the SNCF. Economic theory and the first assessments show that the monopoly will receive an informational means. One wonders whether the regions are not provided a learning process. To test this hypothesis with a capacity of expertise growing regions, this paper applies to the "TER system" method of surplus accounts and focuses on developments border prices. The detailed examination of the 7 regions, which now have more than ten years experience of agreements with the SNCF, shows that they were able to control the evolution of border prices. But they could not avoid the shock, predictable, higher tolls. In total, travelers become, tendentiously, the main winners of the "TER system". ; Les Régions françaises sont, depuis 1997 pour certaines d'entre elles, et depuis 2002 pour les autres, en situation de commanditaire du service public de transport régional de voyageurs, face à un monopole, celui de la SNCF. La théorie économique et les premières évaluations montrent que le monopole profite alors d'une rente informationnelle. On peut se demander si les Régions ne bénéficient pas pour autant d'un processus d'apprentissage. Pour tester cette hypothèse d'une capacité d'expertise croissante des Régions, cet article applique au "système TER" la méthode des comptes de surplus et s'intéresse aux évolutions des frontières de prix. L'examen détaillé des 7 régions, qui ont maintenant plus de dix ans d'expérience du conventionnement avec la SNCF, montre qu'elles ont été en mesure de maîtriser l'évolution des frontières de prix. Mais elles n'ont pu éviter le choc, prévisible, de la hausse des péages. Au total, ce sont les voyageurs qui sont devenus, tendanciellement, les principaux gagnants du "système TER".
BASE
Thématique du numéro : Grandes questions urbaines et régionales ; International audience ; Ten years ago, the SRU law initiated an ambivalent reform of the railway system of passenger transport in France. It preserves the monopoly of operation of the historical operator, but transfers the political responsibility for organizing the regional railway system to the regions. The economic theory suggests that the monopoly led to a revenue capture. With the surplus accounts method, which will be displayed on the SNCF-TER billing account, we can show that, on this initial stage, the Infrastructure Manager (RFF) has been the main beneficiary of the total available surplus, far ahead from the passenger who might benefit from the rail regionalization. The effect on local communities is more equivocal. If the regions have been able to control the border price of the operating subsidy, tolls excepted, they had to yield significant benefits for the rolling stock modernization. A more detailed approach shows how each region is a particular "TER economic model" ruled by a specific mode of governance. ; Il y a dix ans, la loi SRU a ouvert une réforme ambivalente du système ferroviaire de transport de voyageurs en France. Elle préserve le monopole d'exploitation de l'opérateur historique, mais confie aux Régions la responsabilité d'autorité organisatrice. La théorie économique suggère que le monopole conduit à une capture de rente. Par la méthode des comptes de surplus, que nous déployons sur le compte de facturation SNCF-TER, nous montrons qu'en cette phase initiale, RFF est le principal bénéficiaire du surplus total disponible, loin devant les voyageurs tendanciellement bénéficiaires de la régionalisation ferroviaire. L'effet sur les collectivités publiques est plus équivoque. Si les Régions ont su maîtriser la frontière de prix de la subvention d'exploitation, hors péages, elles ont dû céder d'importants avantages au titre de la modernisation du matériel roulant. Une approche plus fine montre combien chaque Région constitue ...
BASE
Thématique du numéro : Grandes questions urbaines et régionales ; International audience ; Ten years ago, the SRU law initiated an ambivalent reform of the railway system of passenger transport in France. It preserves the monopoly of operation of the historical operator, but transfers the political responsibility for organizing the regional railway system to the regions. The economic theory suggests that the monopoly led to a revenue capture. With the surplus accounts method, which will be displayed on the SNCF-TER billing account, we can show that, on this initial stage, the Infrastructure Manager (RFF) has been the main beneficiary of the total available surplus, far ahead from the passenger who might benefit from the rail regionalization. The effect on local communities is more equivocal. If the regions have been able to control the border price of the operating subsidy, tolls excepted, they had to yield significant benefits for the rolling stock modernization. A more detailed approach shows how each region is a particular "TER economic model" ruled by a specific mode of governance. ; Il y a dix ans, la loi SRU a ouvert une réforme ambivalente du système ferroviaire de transport de voyageurs en France. Elle préserve le monopole d'exploitation de l'opérateur historique, mais confie aux Régions la responsabilité d'autorité organisatrice. La théorie économique suggère que le monopole conduit à une capture de rente. Par la méthode des comptes de surplus, que nous déployons sur le compte de facturation SNCF-TER, nous montrons qu'en cette phase initiale, RFF est le principal bénéficiaire du surplus total disponible, loin devant les voyageurs tendanciellement bénéficiaires de la régionalisation ferroviaire. L'effet sur les collectivités publiques est plus équivoque. Si les Régions ont su maîtriser la frontière de prix de la subvention d'exploitation, hors péages, elles ont dû céder d'importants avantages au titre de la modernisation du matériel roulant. Une approche plus fine montre combien chaque Région constitue un " modèle économique du TER " particulier régi par un mode de gouvernance spécifique.
BASE
Thématique du numéro : Grandes questions urbaines et régionales ; International audience ; Ten years ago, the SRU law initiated an ambivalent reform of the railway system of passenger transport in France. It preserves the monopoly of operation of the historical operator, but transfers the political responsibility for organizing the regional railway system to the regions. The economic theory suggests that the monopoly led to a revenue capture. With the surplus accounts method, which will be displayed on the SNCF-TER billing account, we can show that, on this initial stage, the Infrastructure Manager (RFF) has been the main beneficiary of the total available surplus, far ahead from the passenger who might benefit from the rail regionalization. The effect on local communities is more equivocal. If the regions have been able to control the border price of the operating subsidy, tolls excepted, they had to yield significant benefits for the rolling stock modernization. A more detailed approach shows how each region is a particular "TER economic model" ruled by a specific mode of governance. ; Il y a dix ans, la loi SRU a ouvert une réforme ambivalente du système ferroviaire de transport de voyageurs en France. Elle préserve le monopole d'exploitation de l'opérateur historique, mais confie aux Régions la responsabilité d'autorité organisatrice. La théorie économique suggère que le monopole conduit à une capture de rente. Par la méthode des comptes de surplus, que nous déployons sur le compte de facturation SNCF-TER, nous montrons qu'en cette phase initiale, RFF est le principal bénéficiaire du surplus total disponible, loin devant les voyageurs tendanciellement bénéficiaires de la régionalisation ferroviaire. L'effet sur les collectivités publiques est plus équivoque. Si les Régions ont su maîtriser la frontière de prix de la subvention d'exploitation, hors péages, elles ont dû céder d'importants avantages au titre de la modernisation du matériel roulant. Une approche plus fine montre combien chaque Région constitue un " modèle économique du TER " particulier régi par un mode de gouvernance spécifique.
BASE
Telematics of the number: Ten years ago, the SRU law opened an ambivalent reform of the rail passenger transport system in France. It preserves the operating monopoly of the incumbent operator, but entrusts the regions with the responsibility of organising authority. Economic theory suggests that the monopoly leads to a revenue capture. Using the surplus accounts method, which we use on the SNCF-TER billing account, we show that, at this initial stage, RFF is the main beneficiary of the total surplus available, far from the passengers who tend to benefit from rail regionalisation. The effect on public authorities is more ambiguous. Although the regions were able to control the price boundary of the operating subsidy, excluding tolls, they had to give up significant advantages in connection with the modernisation of rolling stock. A more detailed approach shows how each region is a particular "RER economic model" governed by a specific governance mode. ; International audience Ten years ago, the SRU law initiated an ambivalent reform of the railway system of passenger transport in France. It preserves the monopoly of operation of the historical operator, but transfers the political responsibility for organizing the regional railway system to the regions. The economic theory suggests that the monopoly led to a revenue capture. With the surplus accounts method, which will be displayed on the SNCF-TER billing account, we can show that, on this initial stage, the Infrastructure Manager (RFF) has been the main beneficiary of the total available surplus, far ahead from the passenger who might benefit from the rail regionalization. The effect on local communities is more equivocal. If the regions have been able to control the border price of the operating subsidy, tolls excepted, they had to yield significant benefits for the rolling stock modernization. A more detailed approach shows how each region is a particular "TER economic model" ruled by a specific mode of governance. ; Telematics of the number: Ten years ago, ...
BASE
This thesis, which fits the general economic issues on the research tools of regulation of network industries, questions the appropriateness of regionalization of French railways. The latter, since the reform introduced by Law SRU associates maintain the monopoly to operate the railway service for Transport Express Regional (TER) with decentralization to the regions of a prerogative hitherto ensured bureaucratic and centralized. In this institutional environment, original in comparison with the European movement, the French regions have they managed to write and to govern the "system SNCF-TER" ? To answer these two questions, the author engages the neo-institutional theory, from which it offers an array of interpretive economic architecture conventions TER and a transposition of this method accounts surplus (MAS) for study the economic performance of these contracts. The results obtained on the sample of seven regions that have experienced the regionalization can only partially confirm the usual deductions made from the standard theory of monopoly and capture the regulator by the regulated firm. If the contracting SNCF / regions far removed from the model "net cost", expresses the acceptance by the legislature of a broad insurance cover industrial, commercial, and more on investments by the Community, regionalization resulted a variety of employment contracts. A detailed analysis shows the hybrid modes of governance that the author calls "fiduciaro-authoritarian". The MAS found that while the effect of monopoly is present and needed to Regions, it does little to benefit the railway operator, but rather to RFF. The trend, travelers have become "winners" of regionalization rail. ; Cette thèse, qui s'inscrit dans le questionnement économique général sur la recherche d'outils de régulation des industries de réseaux, questionne la pertinence du choix français de régionalisation ferroviaire. Ce dernier, depuis la réforme introduite par la loi SRU, associe le maintien du monopole d'exploitation de la SNCF pour le Transport Express Régional (TER) avec la décentralisation aux Régions d'une prérogative jusqu'alors assurée de manière bureaucratique et centralisée. Dans cet environnement institutionnel, original au regard du mouvement européen, les Régions françaises ont-elles réussi à écrire et à gouverner le "système SNCF-TER" ? Pour répondre à cette double interrogation, l'auteur mobilise la théorie néo-institutionnelle, à partir de laquelle il propose une matrice interprétative de l'architecture économique des conventions TER et présente une transposition de la méthode des comptes de surplus (MCS), pour l'étude de la performance économique de ces contrats. Les résultats obtenus, sur l'échantillon des sept régions qui ont expérimenté la régionalisation, ne confirment que partiellement les déductions habituelles obtenues à partir de la théorie standard du monopole et de la capture du réglementateur par la firme régulée. Si la contractualisation SNCF / Régions, très éloignée du modèle « net cost », exprime l'acceptation par le Législateur d'une large couverture des risques industriels, commerciaux, et plus encore sur investissements, par la Collectivité, la régionalisation s'est traduite par une grande diversité contractuelle. Une analyse fine montre le caractère hybride des modes de gouvernance que l'auteur qualifie de « fiduciaro-autoritaires ». La MCS révèle que si l'effet du monopole est bien présent et s'impose aux Régions, il ne profite guère à la SNCF, mais plutôt à RFF. Tendanciellement, les voyageurs sont devenus « gagnants » de la régionalisation ferroviaire.
BASE
This thesis, which fits the general economic issues on the research tools of regulation of network industries, questions the appropriateness of regionalization of French railways. The latter, since the reform introduced by Law SRU associates maintain the monopoly to operate the railway service for Transport Express Regional (TER) with decentralization to the regions of a prerogative hitherto ensured bureaucratic and centralized. In this institutional environment, original in comparison with the European movement, the French regions have they managed to write and to govern the "system SNCF-TER" ? To answer these two questions, the author engages the neo-institutional theory, from which it offers an array of interpretive economic architecture conventions TER and a transposition of this method accounts surplus (MAS) for study the economic performance of these contracts. The results obtained on the sample of seven regions that have experienced the regionalization can only partially confirm the usual deductions made from the standard theory of monopoly and capture the regulator by the regulated firm. If the contracting SNCF / regions far removed from the model "net cost", expresses the acceptance by the legislature of a broad insurance cover industrial, commercial, and more on investments by the Community, regionalization resulted a variety of employment contracts. A detailed analysis shows the hybrid modes of governance that the author calls "fiduciaro-authoritarian". The MAS found that while the effect of monopoly is present and needed to Regions, it does little to benefit the railway operator, but rather to RFF. The trend, travelers have become "winners" of regionalization rail. ; Cette thèse, qui s'inscrit dans le questionnement économique général sur la recherche d'outils de régulation des industries de réseaux, questionne la pertinence du choix français de régionalisation ferroviaire. Ce dernier, depuis la réforme introduite par la loi SRU, associe le maintien du monopole d'exploitation de la SNCF pour le Transport Express Régional (TER) avec la décentralisation aux Régions d'une prérogative jusqu'alors assurée de manière bureaucratique et centralisée. Dans cet environnement institutionnel, original au regard du mouvement européen, les Régions françaises ont-elles réussi à écrire et à gouverner le "système SNCF-TER" ? Pour répondre à cette double interrogation, l'auteur mobilise la théorie néo-institutionnelle, à partir de laquelle il propose une matrice interprétative de l'architecture économique des conventions TER et présente une transposition de la méthode des comptes de surplus (MCS), pour l'étude de la performance économique de ces contrats. Les résultats obtenus, sur l'échantillon des sept régions qui ont expérimenté la régionalisation, ne confirment que partiellement les déductions habituelles obtenues à partir de la théorie standard du monopole et de la capture du réglementateur par la firme régulée. Si la contractualisation SNCF / Régions, très éloignée du modèle « net cost », exprime l'acceptation par le Législateur d'une large couverture des risques industriels, commerciaux, et plus encore sur investissements, par la Collectivité, la régionalisation s'est traduite par une grande diversité contractuelle. Une analyse fine montre le caractère hybride des modes de gouvernance que l'auteur qualifie de « fiduciaro-autoritaires ». La MCS révèle que si l'effet du monopole est bien présent et s'impose aux Régions, il ne profite guère à la SNCF, mais plutôt à RFF. Tendanciellement, les voyageurs sont devenus « gagnants » de la régionalisation ferroviaire.
BASE
This thesis, which fits the general economic issues on the research tools of regulation of network industries, questions the appropriateness of regionalization of French railways. The latter, since the reform introduced by Law SRU associates maintain the monopoly to operate the railway service for Transport Express Regional (TER) with decentralization to the regions of a prerogative hitherto ensured bureaucratic and centralized. In this institutional environment, original in comparison with the European movement, the French regions have they managed to write and to govern the "system SNCF-TER" ? To answer these two questions, the author engages the neo-institutional theory, from which it offers an array of interpretive economic architecture conventions TER and a transposition of this method accounts surplus (MAS) for study the economic performance of these contracts. The results obtained on the sample of seven regions that have experienced the regionalization can only partially confirm the usual deductions made from the standard theory of monopoly and capture the regulator by the regulated firm. If the contracting SNCF / regions far removed from the model "net cost", expresses the acceptance by the legislature of a broad insurance cover industrial, commercial, and more on investments by the Community, regionalization resulted a variety of employment contracts. A detailed analysis shows the hybrid modes of governance that the author calls "fiduciaro-authoritarian". The MAS found that while the effect of monopoly is present and needed to Regions, it does little to benefit the railway operator, but rather to RFF. The trend, travelers have become "winners" of regionalization rail. ; Cette thèse, qui s'inscrit dans le questionnement économique général sur la recherche d'outils de régulation des industries de réseaux, questionne la pertinence du choix français de régionalisation ferroviaire. Ce dernier, depuis la réforme introduite par la loi SRU, associe le maintien du monopole d'exploitation de la SNCF pour le ...
BASE
In: http://hdl.handle.net/20.500.11794/55097
L'objectif général de cette recherche est de nous éclairer sur l'évolution des rapports économiques entre l'agriculture québécoise et le reste de l'économie, pour les décennies 60 et 70. Il s'agit essentiellement de décrire les changements survenus dans l'évolution du surplus économique de l'agriculture québécoise et de son partage dans l'agro-économie, suite à la rupture constatée dans l'évolution des économies occidentales du début des années 70. Le modèle utilise est celui du surplus économique de H.R. Wagstaff. Il est, en quelque sorte, une simplification des comptes de surplus. Le surplus économique s'y définit comme étant la différence entre la variation du produit réel et la variation du revenu réel, de l'agriculture. On a pu constater que la rupture du début des années 70 s'est manifestée au niveau des transferts de surplus dans l'agro-économie québécoise. Les transferts de surplus vers l'agriculture ont doublé d'une décennie à l'autre. Cet accroissement résulte d'une augmentation des transferts des acheteurs de produits agricoles, supérieure à la perte subie en amont et au ralentissement des transferts de l'État. Le surplus transfère s'est reparti inégalement entre les diverses productions et l'État pour l'aval et les consommations intermédiaires pour l'amont. Durant les années 60, la production laitière a été la seule parmi les principales productions, ou les transferts de l'aval vers l'agriculture étaient positifs. A la décennie 70, un changement s'est produit pour l'ensemble des productions agricoles. Les transferts vers l'agriculture dans la production laitière ont diminué. Pour la production du bétail et de la volaille, ces transferts se sont faits vers l'agriculture alors que l'on avait l'inversé pour les années 60.D'autre part, notons que d'importantes fluctuations dans les transferts ont caractérisé les années 70. Ces fluctuations ont été beaucoup plus importantes pour les productions qui ont évolué sur un marché libre que pour celles régies par un plan conjoint de mise en marché. Ainsi les ...
BASE
In: Revue économique, Band 28, Heft 2, S. 252-261
ISSN: 1950-6694