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In: Agricultures et défis du monde
L'agriculture, l'activité humaine probablement la plus dépendante du climat, est à la fois victime et responsable du changement climatique mais elle peut aussi être une solution à la crise du changement climatique. C'est dans les pays en développement, particulièrement vulnérables, que les effets du changement climatique seront les plus violents. L'agriculture émet des gaz à effet de serre, mais il est possible de diminuer ces émissions par des pratiques agro écologiques favorisant l'augmentation de la matière organique du sol. Il est également possible, grâce à ces pratiques, d'augmenter la capture de carbone atmosphérique en fixant du carbone dans le sol et ainsi contribuer à l'atténuation du changement climatique, tout en améliorant les propriétés du sol, ce qui permet simultanément d'améliorer l'adaptation de l'agriculture au changement climatique. Une augmentation de la teneur en carbone de tous les sols du monde de 4 ‰ par an permettrait de compenser toutes les émissions de gaz à effet de serre d'origine anthropique. L'initiative internationale d'origine française " 4 ‰, Les Sols pour la Sécurité Alimentaire et le Climat " se donne pour objectif de mettre en oeuvre des projets permettant de montrer qu'il est possible d'augmenter la teneur en carbone du sol dans ces proportions et de répondre aux questions de recherche que cela pose, notamment en matière de mesure du taux de carbone dans le sol, de pratiques agronomiques pertinentes, du contexte socio-économique favorable à cette démarche et enfin du suivi dans le temps des changements induits.
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L'agriculture intelligente face au climat (climate-smart agriculture – CSA) a comme objectifs d'être adaptée au changement climatique et de l'atténuer, tout en contribuant de manière durable à la sécurité alimentaire. Né en 2010 à l'initiative de la FAO, le concept a fait école et se décline désormais en diverses pratiques qui prennent en compte ces objectifs de manière différente. Les pratiques agroécologiques de couverture permanente du sol, par des arbres ou des cultures, sont parmi les plus courantes. Mais la CSA prétend aussi être une approche plus large permettant de répondre aux enjeux du changement climatique par des politiques publiques et des financements innovants. Défini par des objectifs et non pas par les moyens d'atteindre ces objectifs, le concept de CSA pose aussi question, notamment sur la possibilité d'assurer simultanément ses trois objectifs et sur le risque d'encourager un productivisme déguisé qui ne respecterait ni l'environnement ni les agriculteurs. L'initiative " 4 ‰, les sols pour la sécurité alimentaire et le climat " reprend les objectifs de la CSA en insistant sur l'atténuation du changement climatique par l'augmentation de la teneur en carbone du sol. Tout en étant un concept qui demande encore à faire ses preuves, la CSA est une approche de l'agriculture originale et compatible avec les enjeux du changement climatique.
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Les articles de ce numéro spécial des Cahiers Agricultures proviennent d'une sélection de communications présentées lors du colloque " Organisation spatiale et gestion des ressources et des territoires ruraux ", organisé par l'unité mixte de recherche " Systèmes agraires, gestion des ressources et territoires " (UMR SAGERT) à Montpellier du 25 au 27 février 2003. Choisies pour leur pertinence à traiter de ressources et territoires sous un angle original, ces communications ont été reprises par leurs auteurs sous la forme d'articles illustrant quatre grandes thématiques : évolution des pratiques et dynamique des territoires; organisation sociale et usage des ressources par les acteurs; sociétés, territoires et rôles des politiques publiques; organisation sociale et usage des ressources par les acteurs; sociétés, territoires et rôles des politiques publiques; outils et méthodes. Des pratiques d'acteurs à l'organisation sociale et aux politiques publiques, nous pensons qu'existe un fil directeur explicitant le lien entre ressources et territoires. Peut-il s'agir de plusieurs fils ? Celui qui mène des pratiques individuelles aux dynamiques boserupiennes en passant par l'action collective ? Ou celui qui, de la structuration sociale de l'espace, conduit à la négociation autour d'un plan de développement et à l'aide à la décision ? Ou, tout simplement, celui que chaque lecteur aura repéré dans la maïeutique interdisciplinaire qui constitue le fondement de notre réflexion sur la gestion durable des ressources et des territoires ? Si chacun, à la lecture de ce numéro thématique des Cahiers Agricultures, pouvait repérer un cheminement lui permettant de construire sa propre analyse de la gestion territoriale des ressources dans les pays du Sud, nous aurions atteint une partie non négligeable de nos objectifs.
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International audience ; L'adaptation au changement climatique et son atténuation comptent parmi les principaux défis que doit relever l'agriculture. Au Sud, ces défis s'associent à un impératif de sécurité alimentaire. L'arrivée du changement climatique sur l'agenda international a favorisé le recyclage d'une multitude d'initiatives visant à y faire face avec, en corolaire, l'apparition de nombreuses controverses. Or, même si les échelles et les acteurs visés peuvent différer, toutes ces initiatives tentent d'une façon ou d'une autre de fournir des options techniques, sociales, économiques et politiques pour accroitre la résilience de l'agriculture face au changement climatique. Trois approches sont fortement débattues et portent sur ces relations entre l'agriculture et le climat : l'agriculture climato-intelligente, l'agroécologie et l'initiative 4 pour 1000 relative au carbone du sol. Au-delà des divergences conceptuelles et des interprétations parfois partisanes entre ces trois approches, l'agriculture des pays du Sud doit pouvoir bénéficier de leurs synergies potentielles.
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International audience ; Adaptation to climate change and its mitigation are some of the biggest challenges facing agriculture. In the global South, these challenges are associated with the need for food security. The arrival of climate change on the international agenda has prompted the recycling of a multitude of initiatives to address this problem, leading inevitably to the emergence of numerous controversies. However, although the scales and actors targeted may differ, all of these initiatives are trying in one way or another to provide technical, social, economic and political options to increase the climate resilience of agriculture. There is heated debate about three approaches, which focus on these relationships between agriculture and climate: climate-smart agriculture, agroecology and the 4 per 1000 Initiative on soil carbon. Beyond the conceptual differences and the sometimes partisan interpretations of these three approaches, agriculture in the Southern countries needs to take advantage of their potential synergies.
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International audience ; L'adaptation au changement climatique et son atténuation comptent parmi les principaux défis que doit relever l'agriculture. Au Sud, ces défis s'associent à un impératif de sécurité alimentaire. L'arrivée du changement climatique sur l'agenda international a favorisé le recyclage d'une multitude d'initiatives visant à y faire face avec, en corolaire, l'apparition de nombreuses controverses. Or, même si les échelles et les acteurs visés peuvent différer, toutes ces initiatives tentent d'une façon ou d'une autre de fournir des options techniques, sociales, économiques et politiques pour accroitre la résilience de l'agriculture face au changement climatique. Trois approches sont fortement débattues et portent sur ces relations entre l'agriculture et le climat : l'agriculture climato-intelligente, l'agroécologie et l'initiative 4 pour 1000 relative au carbone du sol. Au-delà des divergences conceptuelles et des interprétations parfois partisanes entre ces trois approches, l'agriculture des pays du Sud doit pouvoir bénéficier de leurs synergies potentielles.
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International audience ; Adaptation to climate change and its mitigation are some of the biggest challenges facing agriculture. In the global South, these challenges are associated with the need for food security. The arrival of climate change on the international agenda has prompted the recycling of a multitude of initiatives to address this problem, leading inevitably to the emergence of numerous controversies. However, although the scales and actors targeted may differ, all of these initiatives are trying in one way or another to provide technical, social, economic and political options to increase the climate resilience of agriculture. There is heated debate about three approaches, which focus on these relationships between agriculture and climate: climate-smart agriculture, agroecology and the 4 per 1000 Initiative on soil carbon. Beyond the conceptual differences and the sometimes partisan interpretations of these three approaches, agriculture in the Southern countries needs to take advantage of their potential synergies.
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International audience ; L'adaptation au changement climatique et son atténuation comptent parmi les principaux défis que doit relever l'agriculture. Au Sud, ces défis s'associent à un impératif de sécurité alimentaire. L'arrivée du changement climatique sur l'agenda international a favorisé le recyclage d'une multitude d'initiatives visant à y faire face avec, en corolaire, l'apparition de nombreuses controverses. Or, même si les échelles et les acteurs visés peuvent différer, toutes ces initiatives tentent d'une façon ou d'une autre de fournir des options techniques, sociales, économiques et politiques pour accroitre la résilience de l'agriculture face au changement climatique. Trois approches sont fortement débattues et portent sur ces relations entre l'agriculture et le climat : l'agriculture climato-intelligente, l'agroécologie et l'initiative 4 pour 1000 relative au carbone du sol. Au-delà des divergences conceptuelles et des interprétations parfois partisanes entre ces trois approches, l'agriculture des pays du Sud doit pouvoir bénéficier de leurs synergies potentielles.
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L'adaptation au changement climatique et son atténuation comptent parmi les principaux défis que doit relever l'agriculture. Au Sud, ces défis s'associent à un impératif de sécurité alimentaire. L'arrivée du changement climatique sur l'agenda international a favorisé le recyclage d'une multitude d'initiatives visant à y faire face avec, en corollaire, l'apparition de nombreuses controverses. Or, même si les échelles et les acteurs visés peuvent différer, toutes ces initiatives tentent d'une façon ou d'une autre de fournir des options techniques, sociales, économiques et politiques pour accroître la résilience de l'agriculture face au changement climatique. Trois approches sont fortement débattues et portent sur ces relations entre l'agriculture et le climat : l'agriculture climato-intelligente, l'agroécologie et l'initiative 4 pour 1000 relative au carbone du sol. Au-delà des divergences conceptuelles et des interprétations parfois partisanes entre ces trois approches, l'agriculture des pays du Sud doit pouvoir bénéficier de leurs synergies potentielles.
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Adaptation to climate change and its mitigation are some of the biggest challenges facing agriculture. In the global South, these challenges are associated with the need for food security. The arrival of climate change on the international agenda has prompted the recycling of a multitude of initiatives to address this problem, leading inevitably to the emergence of numerous controversies. However, although the scales and actors targeted may differ, all of these initiatives are trying in one way or another to provide technical, social, economic and political options to increase the climate resilience of agriculture. There is heated debate about three approaches, which focus on these relationships between agriculture and climate: climate-smart agriculture, agroecology and the 4 per 1000 Initiative on soil carbon. Beyond the conceptual differences and the sometimes partisan interpretations of these three approaches, agriculture in the Southern countries needs to take advantage of their potential synergies.
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International audience ; Adaptation to climate change and its mitigation are some of the biggest challenges facing agriculture. In the global South, these challenges are associated with the need for food security. The arrival of climate change on the international agenda has prompted the recycling of a multitude of initiatives to address this problem, leading inevitably to the emergence of numerous controversies. However, although the scales and actors targeted may differ, all of these initiatives are trying in one way or another to provide technical, social, economic and political options to increase the climate resilience of agriculture. There is heated debate about three approaches, which focus on these relationships between agriculture and climate: climate-smart agriculture, agroecology and the 4 per 1000 Initiative on soil carbon. Beyond the conceptual differences and the sometimes partisan interpretations of these three approaches, agriculture in the Southern countries needs to take advantage of their potential synergies.
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N° ISBN - 978-2-7380-1284-5 ; International audience ; In order to achieve biodiversity conservation and agricultural production goals at the same time and in the same space, there is a need to assess the functioning of rural land at the landscape level. This paper reports on the outcome of a landscape performance assessment in northern KwaZulu-Natal province of South Africa. Performance assessment is a way of keeping track of the status of a particular landscape and is useful for planners and other stakeholders when deciding which goals to pursue for improving the landscape's performance. We facilitated three group meetings for farmers and a fourth one for practitioners from key stakeholder institutions operating in the community. The landscape was rated on four aspects, namely conservation, production, livelihood and institutions goals. The overall mean rating was 2.97 out of a maximum rating of 5 implying that the landscape was generally performing fairly well. For various reasons however, the mean ratings for individual goals and sub-goals varied, both between and within stakeholder groups. We found the area to be an informal ecoagriculture landscape with a good potential for transformation into formal landscape-level management processes involving farmers and other stakeholders to support more ecosystem services and better living standards for its inhabitants.
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