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Master ; Aujourd'hui, à cause de la quantité de nitrate issu des engrais ou fertilisant utilisés pour augmenter le rendement des cultures, l'utilisation de pesticides, et aussi le nitrate issu des déchets des élevages, l'agriculture est entre les principales sources de pollution de l'eau en France. Les objectifs définis normalement au niveau de l'Union Européenne ou de l'État pour gérer cette pollution sont mise en oeuvre par des services déconcentrés, de structures foncières ou d'organisation politique, économique et sociale qui s'organisent entre eux. Le but de ce travail est de caractériser la diversité des formes d'organisation collective pour la gestion collective de la pollution de l'eau considérant les démarches volontaires ; et de caractériser de la dynamique de ces démarches et leur(s) mécanisme(s) d'action. Pour atteindre cet objectif, une revue bibliographique et des enquêtes ont été mené pour 7 cas différents : Plaine de Niort, Ammertzwiller, Seine Maritime, Evian, Vittel, Hauts-Prés et finalement le cas e Naples qui, bien qu'il ne soit pas dans le territoire agricole ni ne porte sur une problématique de pollution de l'eau, est un cas dans lequel existe une vraie dynamique collective pour la gestion de l'eau. Le premier résultat de cette étude est une description, parfois narration de chaque cas permettant d'identifier la démarche, les acteurs, la relation entre eux et leurs outils dans le temps. Ensuite, les mécanismes d'action des démarches collectives volontaires pour la gestion de la qualité de l'eau. Finalement, la caractérisation de la dynamique d'action et de construction des démarches collectives pour la gestion de la qualité de l'eau.

Master ; Aujourd'hui, à cause de la quantité de nitrate issu des engrais ou fertilisant utilisés pour augmenter le rendement des cultures, l'utilisation de pesticides, et aussi le nitrate issu des déchets des élevages, l'agriculture est entre les principales sources de pollution de l'eau en France. Les objectifs définis normalement au niveau de l'Union Européenne ou de l'État pour gérer cette pollution sont mise en oeuvre par des services déconcentrés, de structures foncières ou d'organisation politique, économique et sociale qui s'organisent entre eux. Le but de ce travail est de caractériser la diversité des formes d'organisation collective pour la gestion collective de la pollution de l'eau considérant les démarches volontaires ; et de caractériser de la dynamique de ces démarches et leur(s) mécanisme(s) d'action. Pour atteindre cet objectif, une revue bibliographique et des enquêtes ont été mené pour 7 cas différents : Plaine de Niort, Ammertzwiller, Seine Maritime, Evian, Vittel, Hauts-Prés et finalement le cas e Naples qui, bien qu'il ne soit pas dans le territoire agricole ni ne porte sur une problématique de pollution de l'eau, est un cas dans lequel existe une vraie dynamique collective pour la gestion de l'eau. Le premier résultat de cette étude est une description, parfois narration de chaque cas permettant d'identifier la démarche, les acteurs, la relation entre eux et leurs outils dans le temps. Ensuite, les mécanismes d'action des démarches collectives volontaires pour la gestion de la qualité de l'eau. Finalement, la caractérisation de la dynamique d'action et de construction des démarches collectives pour la gestion de la qualité de l'eau.

Master ; Aujourd'hui, à cause de la quantité de nitrate issu des engrais ou fertilisant utilisés pour augmenter le rendement des cultures, l'utilisation de pesticides, et aussi le nitrate issu des déchets des élevages, l'agriculture est entre les principales sources de pollution de l'eau en France. Les objectifs définis normalement au niveau de l'Union Européenne ou de l'État pour gérer cette pollution sont mise en oeuvre par des services déconcentrés, de structures foncières ou d'organisation politique, économique et sociale qui s'organisent entre eux. Le but de ce travail est de caractériser la diversité des formes d'organisation collective pour la gestion collective de la pollution de l'eau considérant les démarches volontaires ; et de caractériser de la dynamique de ces démarches et leur(s) mécanisme(s) d'action. Pour atteindre cet objectif, une revue bibliographique et des enquêtes ont été mené pour 7 cas différents : Plaine de Niort, Ammertzwiller, Seine Maritime, Evian, Vittel, Hauts-Prés et finalement le cas e Naples qui, bien qu'il ne soit pas dans le territoire agricole ni ne porte sur une problématique de pollution de l'eau, est un cas dans lequel existe une vraie dynamique collective pour la gestion de l'eau. Le premier résultat de cette étude est une description, parfois narration de chaque cas permettant d'identifier la démarche, les acteurs, la relation entre eux et leurs outils dans le temps. Ensuite, les mécanismes d'action des démarches collectives volontaires pour la gestion de la qualité de l'eau. Finalement, la caractérisation de la dynamique d'action et de construction des démarches collectives pour la gestion de la qualité de l'eau.

Aujourd'hui, à cause de la quantité de nitrate issu des engrais ou fertilisant utilisés pour augmenter le rendement des cultures, l'utilisation de pesticides, et aussi le nitrate issu des déchets des élevages, l'agriculture est entre les principales sources de pollution de l'eau en France. Les objectifs définis normalement au niveau de l'Union Européenne ou de l'État pour gérer cette pollution sont mise en oeuvre par des services déconcentrés, de structures foncières ou d'organisation politique, économique et sociale qui s'organisent entre eux. Le but de ce travail est de caractériser la diversité des formes d'organisation collective pour la gestion collective de la pollution de l'eau considérant les démarches volontaires ; et de caractériser de la dynamique de ces démarches et leur(s) mécanisme(s) d'action. Pour atteindre cet objectif, une revue bibliographique et des enquêtes ont été mené pour 7 cas différents : Plaine de Niort, Ammertzwiller, Seine Maritime, Evian, Vittel, Hauts-Prés et finalement le cas e Naples qui, bien qu'il ne soit pas dans le territoire agricole ni ne porte sur une problématique de pollution de l'eau, est un cas dans lequel existe une vraie dynamique collective pour la gestion de l'eau. Le premier résultat de cette étude est une description, parfois narration de chaque cas permettant d'identifier la démarche, les acteurs, la relation entre eux et leurs outils dans le temps. Ensuite, les mécanismes d'action des démarches collectives volontaires pour la gestion de la qualité de l'eau. Finalement, la caractérisation de la dynamique d'action et de construction des démarches collectives pour la gestion de la qualité de l'eau.

Master ; Aujourd'hui, à cause de la quantité de nitrate issu des engrais ou fertilisant utilisés pour augmenter le rendement des cultures, l'utilisation de pesticides, et aussi le nitrate issu des déchets des élevages, l'agriculture est entre les principales sources de pollution de l'eau en France. Les objectifs définis normalement au niveau de l'Union Européenne ou de l'État pour gérer cette pollution sont mise en oeuvre par des services déconcentrés, de structures foncières ou d'organisation politique, économique et sociale qui s'organisent entre eux. Le but de ce travail est de caractériser la diversité des formes d'organisation collective pour la gestion collective de la pollution de l'eau considérant les démarches volontaires ; et de caractériser de la dynamique de ces démarches et leur(s) mécanisme(s) d'action. Pour atteindre cet objectif, une revue bibliographique et des enquêtes ont été mené pour 7 cas différents : Plaine de Niort, Ammertzwiller, Seine Maritime, Evian, Vittel, Hauts-Prés et finalement le cas e Naples qui, bien qu'il ne soit pas dans le territoire agricole ni ne porte sur une problématique de pollution de l'eau, est un cas dans lequel existe une vraie dynamique collective pour la gestion de l'eau. Le premier résultat de cette étude est une description, parfois narration de chaque cas permettant d'identifier la démarche, les acteurs, la relation entre eux et leurs outils dans le temps. Ensuite, les mécanismes d'action des démarches collectives volontaires pour la gestion de la qualité de l'eau. Finalement, la caractérisation de la dynamique d'action et de construction des démarches collectives pour la gestion de la qualité de l'eau.

International audience ; There is currently an increasing interest to recover community management of resources, or even to (re-) create them as "new commons" (Ruiz-Ballesteros and Gual, 2012). The purpose of this communication is to explore, through the case-study of water management in the city of Naples (Italy) , how new commons emerge. This purpose is composed on two sub questions: how does the commons concept perform? What are the actors and the processes that make the emergence of a new common effective? The story of the institutionalisation of water as a Common in the city of Naples started with citizen movements. These movements blossomed after a general trend of privatisation during the 90s: this allowed a private agency to get the management of the integrated water services of Naples. After a series of political struggles lasting more than 10 years, a great numbers of stakeholders involved and a tremendously successful referendum, the movements succeeded in transforming the private water agency, S.p.A., into a special compan , ABC (which stands for "Acqua Bene Comune", in English "Water as a Common Good") . This was done in order to eliminate the incentives to the pursuit of economic short-term profit, and in order to guarantee water as a human right. Naples is the first city in Italy to have re-municipalized its water service and this case study is not only the story of an organisational innovation, but also the story of a larger scale legal tools innovation (Lucarelli, 2010; Bailey and Mattei, 2013) .This study contributes to the overcoming of the apparent dichotomy between material and immaterial commons by focusing on the social construction of the commons. By examining this social construction phenomenon, this paper underlines the struggles around the commons and pinpoints some pathways and recipes that can foster the setting up and the resilience of commons management systems.

International audience ; There is currently an increasing interest to recover community management of resources, or even to (re-) create them as "new commons" (Ruiz-Ballesteros and Gual, 2012). The purpose of this communication is to explore, through the case-study of water management in the city of Naples (Italy) , how new commons emerge. This purpose is composed on two sub questions: how does the commons concept perform? What are the actors and the processes that make the emergence of a new common effective? The story of the institutionalisation of water as a Common in the city of Naples started with citizen movements. These movements blossomed after a general trend of privatisation during the 90s: this allowed a private agency to get the management of the integrated water services of Naples. After a series of political struggles lasting more than 10 years, a great numbers of stakeholders involved and a tremendously successful referendum, the movements succeeded in transforming the private water agency, S.p.A., into a special compan , ABC (which stands for "Acqua Bene Comune", in English "Water as a Common Good") . This was done in order to eliminate the incentives to the pursuit of economic short-term profit, and in order to guarantee water as a human right. Naples is the first city in Italy to have re-municipalized its water service and this case study is not only the story of an organisational innovation, but also the story of a larger scale legal tools innovation (Lucarelli, 2010; Bailey and Mattei, 2013) .This study contributes to the overcoming of the apparent dichotomy between material and immaterial commons by focusing on the social construction of the commons. By examining this social construction phenomenon, this paper underlines the struggles around the commons and pinpoints some pathways and recipes that can foster the setting up and the resilience of commons management systems.

International audience ; There is currently an increasing interest to recover community management of resources, or even to (re-) create them as "new commons" (Ruiz-Ballesteros and Gual, 2012). The purpose of this communication is to explore, through the case-study of water management in the city of Naples (Italy) , how new commons emerge. This purpose is composed on two sub questions: how does the commons concept perform? What are the actors and the processes that make the emergence of a new common effective? The story of the institutionalisation of water as a Common in the city of Naples started with citizen movements. These movements blossomed after a general trend of privatisation during the 90s: this allowed a private agency to get the management of the integrated water services of Naples. After a series of political struggles lasting more than 10 years, a great numbers of stakeholders involved and a tremendously successful referendum, the movements succeeded in transforming the private water agency, S.p.A., into a special compan , ABC (which stands for "Acqua Bene Comune", in English "Water as a Common Good") . This was done in order to eliminate the incentives to the pursuit of economic short-term profit, and in order to guarantee water as a human right. Naples is the first city in Italy to have re-municipalized its water service and this case study is not only the story of an organisational innovation, but also the story of a larger scale legal tools innovation (Lucarelli, 2010; Bailey and Mattei, 2013) .This study contributes to the overcoming of the apparent dichotomy between material and immaterial commons by focusing on the social construction of the commons. By examining this social construction phenomenon, this paper underlines the struggles around the commons and pinpoints some pathways and recipes that can foster the setting up and the resilience of commons management systems.

International audience ; There is currently an increasing interest to recover community management of resources, or even to (re-) create them as "new commons" (Ruiz-Ballesteros and Gual, 2012). The purpose of this communication is to explore, through the case-study of water management in the city of Naples (Italy) , how new commons emerge. This purpose is composed on two sub questions: how does the commons concept perform? What are the actors and the processes that make the emergence of a new common effective? The story of the institutionalisation of water as a Common in the city of Naples started with citizen movements. These movements blossomed after a general trend of privatisation during the 90s: this allowed a private agency to get the management of the integrated water services of Naples. After a series of political struggles lasting more than 10 years, a great numbers of stakeholders involved and a tremendously successful referendum, the movements succeeded in transforming the private water agency, S.p.A., into a special compan , ABC (which stands for "Acqua Bene Comune", in English "Water as a Common Good") . This was done in order to eliminate the incentives to the pursuit of economic short-term profit, and in order to guarantee water as a human right. Naples is the first city in Italy to have re-municipalized its water service and this case study is not only the story of an organisational innovation, but also the story of a larger scale legal tools innovation (Lucarelli, 2010; Bailey and Mattei, 2013) .This study contributes to the overcoming of the apparent dichotomy between material and immaterial commons by focusing on the social construction of the commons. By examining this social construction phenomenon, this paper underlines the struggles around the commons and pinpoints some pathways and recipes that can foster the setting up and the resilience of commons management systems.

There is currently an increasing interest to recover community management of resources, or even to (re-) create them as "new commons" (Ruiz-Ballesteros and Gual, 2012). The purpose of this communication is to explore, through the case-study of water management in the city of Naples (Italy) , how new commons emerge. This purpose is composed on two sub questions: how does the commons concept perform? What are the actors and the processes that make the emergence of a new common effective? The story of the institutionalisation of water as a Common in the city of Naples started with citizen movements. These movements blossomed after a general trend of privatisation during the 90s: this allowed a private agency to get the management of the integrated water services of Naples. After a series of political struggles lasting more than 10 years, a great numbers of stakeholders involved and a tremendously successful referendum, the movements succeeded in transforming the private water agency, S.p.A., into a special compan , ABC (which stands for "Acqua Bene Comune", in English "Water as a Common Good") . This was done in order to eliminate the incentives to the pursuit of economic short-term profit, and in order to guarantee water as a human right. Naples is the first city in Italy to have re-municipalized its water service and this case study is not only the story of an organisational innovation, but also the story of a larger scale legal tools innovation (Lucarelli, 2010; Bailey and Mattei, 2013) .This study contributes to the overcoming of the apparent dichotomy between material and immaterial commons by focusing on the social construction of the commons. By examining this social construction phenomenon, this paper underlines the struggles around the commons and pinpoints some pathways and recipes that can foster the setting up and the resilience of commons management systems.