La multibancarité des entreprises: Choix du nombre de banques et choix du nombre de banques principales
In: Revue économique, Band 54, Heft 3, S. 649
ISSN: 1950-6694
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In: Revue économique, Band 54, Heft 3, S. 649
ISSN: 1950-6694
In: Mondes en développement, Band 173, Heft 1, S. 131-147
ISSN: 1782-1444
Cet article étudie les conséquences pour les banques des exigences de transparence prévues par les accords de Bâle, dans le cadre du débat sur leur application aux pays en développement, dont les pays émergents. Les effets attendus sont ambigus : une transparence accrue implique une augmentation des coûts supportés par les banques, mais le niveau des fonds propres exigés peut diminuer, si le cadre institutionnel le permet. Celui-ci joue donc un rôle primordial dans l'effet global pour les banques d'une transparence accrue.
Nous analysons l'impact que les exigences de transparence inscrites dans les accords de Bâle ont sur le profit des banques. Leur mise en application au sein des pays en développement fait débat, car les effets attendus sont ambigus. Ainsi, une transparence accrue, impliquant une augmentation des coûts associés - en particulier les coûts opérationnels - pourrait réduire les profits bancaires, même si le niveau des capitaux requis peut diminuer. Le cadre institutionnel joue alors un rôle primordial.
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Nous analysons l'impact que les exigences de transparence inscrites dans les accords de Bâle ont sur le profit des banques. Leur mise en application au sein des pays en développement fait débat, car les effets attendus sont ambigus. Ainsi, une transparence accrue, impliquant une augmentation des coûts associés - en particulier les coûts opérationnels - pourrait réduire les profits bancaires, même si le niveau des capitaux requis peut diminuer. Le cadre institutionnel joue alors un rôle primordial.
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Nous analysons l'impact que les exigences de transparence inscrites dans les accords de Bâle ont sur le profit des banques. Leur mise en application au sein des pays en développement fait débat, car les effets attendus sont ambigus. Ainsi, une transparence accrue, impliquant une augmentation des coûts associés - en particulier les coûts opérationnels - pourrait réduire les profits bancaires, même si le niveau des capitaux requis peut diminuer. Le cadre institutionnel joue alors un rôle primordial.
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Nous analysons l'impact que les exigences de transparence inscrites dans les accords de Bâle ont sur le profit des banques. Leur mise en application au sein des pays en développement fait débat, car les effets attendus sont ambigus. Ainsi, une transparence accrue, impliquant une augmentation des coûts associés - en particulier les coûts opérationnels - pourrait réduire les profits bancaires, même si le niveau des capitaux requis peut diminuer. Le cadre institutionnel joue alors un rôle primordial.
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Nous analysons l'impact que les exigences de transparence inscrites dans les accords de Bâle ont sur le profit des banques. Leur mise en application au sein des pays en développement fait débat, car les effets attendus sont ambigus. Ainsi, une transparence accrue, impliquant une augmentation des coûts associés - en particulier les coûts opérationnels - pourrait réduire les profits bancaires, même si le niveau des capitaux requis peut diminuer. Le cadre institutionnel joue alors un rôle primordial.
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SSRN
Working paper
SSRN
The transparency of credit institutions is currently an issue of crucial importance not only with regard to the adaptation of regulatory tools (Basle II, IAS-IFRS international norms etc.)but also to the banking, financial and economic consequences. The current crisis places the importance of information about all banking activities centre stage in any debate. At a time when banks are controlled more than ever before, it is surprising to see them being swamped with criticism about their opaqueness and their reluctance to communicate, especially about the risks they are taking. This paper therefore, presents state of the art works on disclosure and bank transparency.It deals with questioning whether it is beneficial or not to increase disclosure levels in order to improve the discipline that the regulators and the markets exert on the banks.
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The transparency of credit institutions is currently an issue of crucial importance not only with regard to the adaptation of regulatory tools (Basle II, IAS-IFRS international norms etc.)but also to the banking, financial and economic consequences. The current crisis places the importance of information about all banking activities centre stage in any debate. At a time when banks are controlled more than ever before, it is surprising to see them being swamped with criticism about their opaqueness and their reluctance to communicate, especially about the risks they are taking. This paper therefore, presents state of the art works on disclosure and bank transparency.It deals with questioning whether it is beneficial or not to increase disclosure levels in order to improve the discipline that the regulators and the markets exert on the banks.
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The transparency of credit institutions is currently an issue of crucial importance not only with regard to the adaptation of regulatory tools (Basle II, IAS-IFRS international norms etc.)but also to the banking, financial and economic consequences. The current crisis places the importance of information about all banking activities centre stage in any debate. At a time when banks are controlled more than ever before, it is surprising to see them being swamped with criticism about their opaqueness and their reluctance to communicate, especially about the risks they are taking. This paper therefore, presents state of the art works on disclosure and bank transparency.It deals with questioning whether it is beneficial or not to increase disclosure levels in order to improve the discipline that the regulators and the markets exert on the banks.
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The transparency of credit institutions is currently an issue of crucial importance not only with regard to the adaptation of regulatory tools (Basle II, IAS-IFRS international norms etc.)but also to the banking, financial and economic consequences. The current crisis places the importance of information about all banking activities centre stage in any debate. At a time when banks are controlled more than ever before, it is surprising to see them being swamped with criticism about their opaqueness and their reluctance to communicate, especially about the risks they are taking. This paper therefore, presents state of the art works on disclosure and bank transparency.It deals with questioning whether it is beneficial or not to increase disclosure levels in order to improve the discipline that the regulators and the markets exert on the banks.
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In: Revue économique, Band 67, Heft 5, S. 1007-1035
ISSN: 1950-6694
Nous étudions l'impact de la transparence des banques sur l'évolution des spreads de leurs credit default swaps (CDS) pendant la crise de la dette souveraine au sein de l'Union européenne. La transparence aide les investisseurs à fonder leurs anticipations et peut réduire la prime de risque informationnelle ainsi que les spreads de CDS. Nous calculons la variation anormale cumulée du spread (VACS) lors de seize annonces de dégradation de notation souveraine, de 2011 à mi-2013. Nous construisons deux indices de transparence : l'un mesure la transparence globale de la banque, l'autre mesure sa transparence vis-à-vis de l'exposition au risque souverain. Nous montrons que l'exposition au risque souverain accroît la VACS, alors que la transparence de la banque vis-à-vis de ce risque réduit la VACS ; l'information tend donc à réduire la prime de risque. Cependant, la transparence globale augmente la VACS ; les investisseurs semblent désapprouver une communication trop large et trop abondante.
This paper reviews the literature on corporate disclosure. Policymakers often support corporate disclosure but more contrasted views have emerged in the academic literature, showing that even if disclosure can actually benefits to shareholders, it is costly and it may trigger pernicious effects. Disclosing information is expensive (communication and audit costs, competitors access strategic information, and induced managers' suboptimal behavior). It also generates informational costs, as firms can disclose false, manipulated, too complex or too extensive information. And disclosure can reduce actors' incentives to look for information about the firm, and therefore can lead to an (potentially destabilizing) illusion of knowledge. ; Cet article présente la littérature relative à la transparence des entreprises. La transparence apparaît souvent comme souhaitable voire nécessaire dans les discours des responsables politiques. La littérature académique est néanmoins plus nuancée : elle montre que même si une divulgation d'informations accrue de la part des entreprises a souvent des effets bénéfiques, notamment pour les actionnaires, elle engendre néanmoins des coûts et peut avoir des effets pervers. Divulguer de l'information est coûteux (coûts d'audit et de diffusion, comportement sous-optimal des dirigeants). La transparence induit aussi des coûts informationnels : les entreprises peuvent divulguer des informations fausses, manipulées, trop complexes ou trop nombreuses. Et la transparence peut réduire les incitations des acteurs en présence à chercher de l'information relative à l'entreprise, pouvant ainsi créer une illusion de connaissance potentiellement déstabilisatrice.
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