Das Faschismus-Syndrom: zur Psychoanalyse der Neuen Rechten in Europa
In: Bibliothek der Psychoanalyse
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In: Freie Assoziation: Zeitschrift für psychoanalytische Sozialpsychologie, Band 21, Heft 2, S. 110-111
ISSN: 1434-7849, 2699-1519
In: Freie Assoziation: Zeitschrift für psychoanalytische Sozialpsychologie, Band 20, Heft 1, S. 109-115
ISSN: 1434-7849, 2699-1519
Der Autor vertritt die Ansicht, dass Psychologie und Psychotherapie nicht in der Lage sind, die ökonomischen Gegebenheiten zu erklären. Sie können aber die sozialpsychologischen Faktoren verstehen, die Einfluss darauf haben, wie sich Menschen in einer gegebenen Situation voraussichtlich verhalten werden. Nach einer kurzen Darstellung der Freud'schen Theorie des anal-sadistischen Charakters und der Parin'schen Lehre von den Anpassungsmechanismen wird unter Rekurs auf die 30-jährige Geschichte neoliberaler Indoktrination und auf den massenwirksamen Erfolg des Rechtspopulismus sowie anhand dreier Vignetten von typischen Psychotherapiepatient(inn)en, die Opfer der Wirtschaftskrise geworden sind, die Meinung vertreten, dass kaum ein positiver Ausgang aus dieser erwartet werden kann. Gleichwohl können Psychotherapeut(inn)en mit ihrer Arbeit als Fachleute und ihrem Engagement als citoyens zu einer besseren Zukunft beitragen. Schlüsselwörter Anal-sadistischer Charakter; Anpassungsmechanismen; Neoliberalismus; Neutralität; Parteilichkeit; Psychotherapie und Wirtschaftskrise; Rechts-Populismus; Sozialpsychologie. ; The author is of the opinion that neither psychology nor psychotherapy are able to explain the economic events. However, they can understand the socio-psychological factors that influence the way mankind might react. Below is a short presentation of the theory by Freud of the anal-sadistic character and of Parin's theory regarding the mechanisms of adaptation. Referring back to the 30-year history of neo-liberal indoctrination, as well as to the success of the rightist populism, and based on three vignettes of typical patients in psychotherapy who have become victims of the economic crisis, the opinion is mostly, that it is hardly possible that there will be a positive result. Nevertheless, psychotherapists, as experts in their field, and with their active engagement as citizens, will contribute to a better future. Keywords Anal-sadistic character; mechanisms of adaptation; neo-liberalism; neutrality; partiality; psychotherapy and economic crisis; rightist populism; social psychology. ; Le système financier international s'est presque effondré en 2008. Cela a permis à des millions de personnes de mieux comprendre les modes de fonctionnement de l'économie capitaliste et le rôle de l'État, le plus grand des capitalistes. Selon l'auteur, même si la psychologie et la psychothérapie ne peuvent pas expliquer les régularités économiques, elles peuvent cerner les facteurs socio-psychologiques qui influent sur la manière dont on peut prédire le comportement humain.Sigmund Freud a montré comment, sous l'influence de la culture, les pulsions se transforment en traits de caractère, chaque société créant les schémas (Marx) qui conviennent le mieux à ses conditions de production. Dans la théorie classique du capitalisme, c'est le caractère anal et sadique qui joue un rôle déterminant au niveau de l'accumulation de richesses et de tendances à la cruauté. Les individus dotés de telles qualités occupent de préférence les positions dominantes au sein de l'économie et de la politique, alors que la majorité des travailleurs sont contraints de gérer en eux-mêmes leurs sentiments d'impuissance et qu'ils développent un ressentiment chronique. Paul Parin a complété la caractérologie freudienne en y ajoutant une théorie des mécanismes d'adaptation. La « conscience de clan » et « l'identification avec des rôles » permettent aux individus de se comporter selon leur propre idéologie, en ne tenant pas compte de la morale du sur-moi, et donc de poursuivre leurs intérêts égoïstes.Concernant le présent et le proche avenir, deux idéologies sont devenues déterminantes : le néolibéralisme a nourri l'illusion d'une croissance économique linéaire et continue et a encouragé l'établissement d'une éthique du succès et de l'enrichissement à n'importe quel prix, abandonnant ainsi les notions de solidarité et de responsabilité sociale. De plus, le populisme de droite n'a fait qu'attiser la flamme nationaliste et raciste qui commençait à s'allumer dans les têtes de larges segments de la population ; il a choisi des boucs émissaires (les étrangers, les « profiteurs de l'aide sociale », les « terroristes »). Dans le cadre de la crise économique, tous ces mécanismes font des victimes car les exigences posées au niveau professionnel augmentant, certaines personnes sont exclues sur le plan social et d'autres perdent leur travail. La frustration et l'agressivité qu'elles provoquent sont dirigées contre les boucs émissaires, ce qui tend à conduire à une attitude plus fasciste de la société et à une mise en danger des institutions démocratiques.Dans la pratique de la psychothérapie, le nombre de patients victimes de ce système est donc en augmentation. L'auteur présente trois exemples, tout en demandant aux psychothérapeutes de ne pas se comporter de manière neutre envers ce type de patients, mais de prendre parti et d'agir en conséquence. C'est en le faisant et en s'engageant en tant que citoyens pour lutter contre la désintégration des mœurs sociales qu'ils peuvent contribuer à ce que l'avenir soit meilleur. Comme l'écrit André Gorz, le défi sera finalement de trouver une nouvelle forme d'économie et d'élaborer une nouvelle civilisation à la mesure globale (Gorz, A 2008 : Écologica, Éditions Galilée, Paris).
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Ich führe die in psychoanalytischen Vereinigungen häufig zu beobachtende Tatsache der Infantilisierung ihrer Mitglieder auf die strukturellen Bedingungen der psychoanalytischen Ausbildung zurück. In den persönlichen Analysen, den Supervisionen und der theoretischen Ausbildung entwickeln sich regelmässig Identifikationen und Idealisierungen, die in einer hierarchisch gegliederten Institution, die von einer Gruppe von LehranalytikerInnen beherrscht wird, in der Regel nicht bewusst werden können und nicht aufzulösen sind. Am PSZ wurden nach der 1977 erfolgten Trennung von der SGP diese Mechanismen erfolgreich durch einen basisdemokratischen Prozess der Selbstverwaltung, der Selbstautorisierung und der Des-Institutionalisierung der Machtstrukturen (wie der Institution der «Lehranalyse») aufgehoben. Der Preis, der für den Zuwachs an Autonomie zu bezahlen war, war allerdings eine Einbusse an Sicherheit und das Erfordernis der kontinuierlichen Teilnahme am demokratischen Prozess in den Teilnehmerversammlungen.
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Ich führe die in psychoanalytischen Vereinigungen häufig zu beobachtende Tatsache der Infantilisierung ihrer Mitglieder auf die strukturellen Bedingungen der psychoanalytischen Ausbildung zurück. In den persönlichen Analysen, den Supervisionen und der theoretischen Ausbildung entwickeln sich regelmässig Identifikationen und Idealisierungen, die in einer hierarchisch gegliederten Institution, die von einer Gruppe von LehranalytikerInnen beherrscht wird, in der Regel nicht bewusst werden können und nicht aufzulösen sind. Am PSZ wurden nach der 1977 erfolgten Trennung von der SGP diese Mechanismen erfolgreich durch einen basisdemokratischen Prozess der Selbstverwaltung, der Selbstautorisierung und der Des-Institutionalisierung der Machtstrukturen (wie der Institution der «Lehranalyse») aufgehoben. Der Preis, der für den Zuwachs an Autonomie zu bezahlen war, war allerdings eine Einbusse an Sicherheit und das Erfordernis der kontinuierlichen Teilnahme am demokratischen Prozess in den Teilnehmerversammlungen.
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Ausgehend von der Darstellung der psychoanalytischen Arbeit wird die Dialektik zwischen subjektiven und objektiven Faktoren diskutiert. Es ergeben sich drei grundlegende Schwierigkeiten beim Versuch, die Realität zu erkennen und die psychoanalytischen Erkenntnisse auf die Politik anzuwenden: Bestimmung der jeweiligen Ergänzungsreihen, Einbezug des Unbewussten und Feststellung der Hauptseite des Widerspruchs in der konkreten historischen Situation.Schlüsselwörter Dialektik; Ergänzungsreihe; Hauptseite des Widerspruchs; Psychoanalyse und Politik; Subjektivität; Unbewusstes ; Based on a short discription of the psychoanalytic work, there is a discussion of the dialectics between subjectiv and objectiv factors. There are three main difficulties trying to observe reality and to transfer psychoanalytic knowledge on politics: Definition of the interplay of subjectiv and accidental factors, inclusion of the unconsciousness and defining the focus of contradiction in the special historical situation.Keywords Dialectics; Interplay of subjectivity and accidental factors; Focus of contradiction; Psychoanalysis and politics; Subjectivity; Unconsciousness ; Je pars d'une description du travail psychanalytique pour traiter des rapports dialectiques entre facteurs subjectifs et facteurs objectifs. Le discours psychanalytique a un aspect manifeste et un aspect latent : tous deux, conscient et inconscient, sont importants. Il est également important de cerner la dialectique concrète présente aujourd'hui et maintenant, ainsi que le transfert et les distorsions émotionnelles de la réalité. Dans ce sens, la psychanalyse est aussi une critique de la société. Or, une difficulté méthodologique se présente : pour pouvoir appliquer des notions psychanalytiques aux phénomènes sociaux, il faut d'abord savoir quelles sont les convictions politiques et la théorie critique de la société qui sont à leur base. Une seconde difficulté méthodologique est due au fait qu'il n'est pas facile d'évaluer l'influence des facteurs inconscients. Quant au troisième problème, il résulte d'une difficulté méthodologique à définir l'aspect principal de chaque contradiction. J'utilise un exemple pour illustrer la dialectique concrète opposant subjectivité et conditions réelles de vie. S'il est vrai que « l'existence fait la conscience », les hommes « font eux-mêmes leur histoire ». Mieux on réussit à saisir cette contradiction, plus la liberté a de possibilités de s'établir.
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In: Widerspruch: Beiträge zu sozialistischer Politik, Band 24, Heft 46, S. 125-132
ISSN: 1420-0945
In: Widerspruch: Beiträge zu sozialistischer Politik, Band 13, Heft 26, S. 132-142
ISSN: 1420-0945
In: Psychologie und Gesellschaftskritik, Band 9, Heft 4, S. 59-80
Vor dem Hintergrund der Entwicklung und Bedeutung der Psychoanalyse in der Wissenschaft und ihrer Anwendung beschreibt der Autor den inhaltlichen und methodischen Rahmen des psychoanalytischen Projekts 'Arbeiterbewußtsein' und erste Ergebnisse der Voruntersuchung. Sie basiert auf psychoanalytischen Interviews mit vier Metallarbeitern, die von 1982 bis 1983 durchgeführt wurden, und soll zur Enttabuisierung der psychoanalytischen Wissenschaft beitragen. Die unter den Gesichtspunkten: Genetik, Dynamik, Konfliktneigungen, Alltags- und Klassenbewußtsein der Arbeiter durchgeführte Interpretation zeigt allgemein ein klares Bild der Arbeiter von betrieblichen und gesellschaftlichen Realitäten mit wenig defensiven Strukturen des Alltagsbewußtseins und auffällig vielen Elementen von Klassenbewußtsein bei den Jugendlichen. (HD)
In: Widerspruch: Beiträge zu sozialistischer Politik, Band 31, Heft 60, S. 199-204
ISSN: 1420-0945
In: Serie Piper 565
Liebe Leserinnen und Leserdie Zeiten ändern sich … Als die Redaktion im Frühjahr 2006 den Herausgebervertrag mit dem Psychosozial-Verlag auf Ende des Jahres kündigte, konnte sie nicht ahnen, was in diesem Jahr noch alles auf sie zukommen würde. Von unseren Freunden von Psychosozial haben wir uns im Guten getrennt, da in den vorausgegangenen Jahren klar geworden war, dass der Verlag nicht in der Lage war, im deutschsprachigen Raum wirksam für die Zeitschrift zu werben (wie vertraglich vereinbart worden war). Damit stimmte das Preis-Leistungs-Verhältnis nicht mehr.Dann kam es schlimmer: Die letztjährige neue Seminarleitung entdeckte für das gesamte Seminar ein dringendes Sparbedürfnis und setzte an der Budget-Teilnehmerversammlung im Sommer als erste Massnahme die Kürzung des Zeitschriftenbudgets auf die Hälfte durch. Die Redaktion rekurrierte gegen diesen Beschluss an das gesamte Seminarkollektiv in einer Urabstimmung – und sah sich im Herbst in die Minderheit versetzt. Der Schock war gross. War es ein Misstrauensvotum? Sollten wir gesamthaft zurücktreten? Doch merkwürdigerweise wurde nicht unsere redaktionelle Arbeit kritisiert oder gar in Frage gestellt (ausser von vereinzelten Stimmen), im Gegenteil: Gerade das zuletzt erschienene Schwerpunktheft zum Morgenthaler-Kongress (Nr. 45/46) stiess auf breite Zustimmung. Und auch mit dem nachfolgenden Heft zur Ethnopsychoanalyse (Paul Parin zum 90. Geburtstag gewidmet) war man zufrieden. Nein, der Mehrheit war schlicht und ergreifend der Preis für ein zwei Mal jährlich erscheinendes Heft zu hoch (16 000 Euro bei einem sich zu Ungunsten des Frankens entwickelnden Wechselkurs plus weiteren Spesen). Man wollte und man sollte sparen.Wir fragten uns: Hatte der neoliberale Zeitgeist nunmehr auch das letzte Bollwerk der psychoanalytischen Linken geschleift? Wie dem auch sei, die Redaktion wollte weiterhin ein lebendiges Heft und kein museales Jahrbuch produzieren. Aber wie? Ausserdem hatten wir auf Ende 2006 noch zwei weitere Probleme zu verkraften. Unser Kollege der ersten Stunde, Thomas Merki (der unter anderem unsere Website eingerichtet und betreut hatte – vielen Dank!), fand im Vorstand des Schweizerischen Psychotherapie-Verbandes keine Zeit mehr zur Mitarbeit am «Journal für Psychoanalyse» und sah sich zum Rücktritt gezwungen. Und es war absehbar geworden, dass unser als nächster vorgesehener Schwerpunkt – zur Psychoanalyse in den Übergangsgesellschaften Osteuropas – nicht fristgerecht zu Stande kommen würde.Wir machten uns nach dem ersten Schock auf die Suche nach neuen Partnern und stiessen rundum auf Interesse. So bei den anderen selbstverwalteten Seminarien in Bern und Luzern und bei der Europäischen Föderation für Psychoanalytische Psychotherapie (EFPP) in Basel. So auch beim Seminar für Gruppenanalyse Zürich, dem SGAZ. Und wir fanden einen neuen Verlag, einen ganz besonderen: den Seismo Verlag in Zürich. Seismo ist zwar als eine Aktiengesellschaft strukturiert, befindet sich aber mehrheitlich im Besitz der Schweizerischen Gesellschaft für Soziologie, ist wissenschaftlich und gesellschaftskritisch ausgerichtet und nicht profitorientiert. Neben einer ansehnlichen Buchproduktion gibt er bereits drei andere Zeitschriften heraus: die Schweiz. Zeitschrift für Soziologie, die Schweiz. Zeitschrift für Soziale Arbeit und TSAnTSA, die Zeitschrift der Schweiz. Ethnologischen Gesellschaft. Wir fühlten uns in diesem weniger psychoanalytisch und mehr kulturkritisch orientierten Umfeld am richtigen Platz. Und last but not least: Wir fanden eine neue Redaktions-kollegin: Sonja Wuhrmann – herzlich willkommen!Zu diesem Jubiläums-HeftDer Dialektik von Institutionalisierung und Des-Institutionalisierung, bzw. umgekehrt, verdankt das Psychoanalytische Seminar Zürich (PSZ) seine Existenz, seit es sich 1977 von der Schweizerischen Gesellschaft für Psychoanalyse (SGP) losgelöst hat. Ein basisdemokratischer Verein – pardon, immer noch eine «einfache Gesellschaft» – mit an die 450 zahlenden TeilnehmerInnen, das grösste und wohl wichtigste psychoanalytische Seminar in der Schweiz, weltweit das vermutlich einzige selbstverwaltete psychoanalytische Kollektiv dieser Grössenordnung – immer noch ohne Zulassungsbeschränkungen und Prüfungsordnungen für das Studium der Freud'schen Psychoanalyse. Spieglein, Spieglein an der Wand … Die Redaktion hält dem PSZ als Geschenk zu seinem 30. Geburtstag den ewig gleichen Spiegel vor: Institutionalisierung/Des-Institutionalisierung! Wird es sich darin erkennen? Die Ängste sind angesichts der vergangenen Dekaden mit ihrem Freud-Bashing, dem unaufhaltsamen Aufstieg der Neurowissenschaften und der Etablierung der Psychotherapeutengesetze gross. Wir haben uns deswegen entschlossen, drei «alte» Texte aus unserem Archiv (diejenigen von Erdheim, Modena und Weilenmann, die uns aber weiterhin als brandneu erscheinen) mit vier neuen Arbeiten und einer in ihrer Suche nach Wahrheit und in ihrer Direktheit fast schmerzlich berührenden Diskussion über Vergangenheit und Zukunft des PSZ zu konfrontieren.Mario Erdheim erinnert an das jederzeit mögliche verenden einer Institution, wenn ihr der kulturkritische Stachel abhanden kommt, Berthold Rothschild analysiert schonungslos die derzeitige psychiatrische Institution (in welcher die psychotherapeutische immer noch eingebettet ist), Emilio Modena zeichnet anhand einer kritischen Auseinandersetzung mit den strukturellen Bedingungen der psychoanaly-tischen Ausbildung die Erfolgsgeschichte der Des-Institutionalisierung nach, Sonja Wuhrmann untersucht die Wahlverwandtschaften von individuell- und gruppenanalytischer Institution sowie von Institutionalisierung und Basisdemokratie, Christian Geiger diagnostiziert einen Wiederholungszwang, den er auf die traumatisierende Abspaltung des PSZ von der SGP zurückführt, Markus Weilenmann untersucht in einer Streitschrift die Ursachen der Entpolitisierung am PSZ und geht auf die verbreitete Neigung ein, institutionelle Regeln als etwas dem Wesen der Psychoanalyse Fremdes darzustellen, und Thomas Kurz führt seine historische Spurensuche weiter, wie es in der SGP wirklich war, bevor das PSZ 1958 gegründet worden ist. Sylvia von Arx, Olaf Knellessen, Monika Leuzinger und Peter Passett diskutieren endlich über Perspektiven und Chancen einer radikal verstandenen Psychoanalyse in Zeiten ihrer Hegemonisierung durch die Psychotherapie.Im Forum finden Sie nebst zwei Buchbesprechungen das Grundlagenpapier der Akkreditierungsgruppe für die psychotherapeutische Weiterbildung, einen Text zum Jubiläums-Preisausschreiben des PSZ und zwei Kurzbeiträge zu den Verhältnis-sen an den psychoanalytischen Seminarien in Bern.Insgesamt keine leichte oder bequeme Lektüre, aber vielleicht doch ein not-wendiger selbst- und kulturkritischer Stachel. Viel Vergnügen! Das rauschende Seminarfest zum 30. Jubiläum und die Preisverleihung finden am 1. Dezember statt.Die Redaktion
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Liebe Leserinnen und Leserdie Zeiten ändern sich … Als die Redaktion im Frühjahr 2006 den Herausgebervertrag mit dem Psychosozial-Verlag auf Ende des Jahres kündigte, konnte sie nicht ahnen, was in diesem Jahr noch alles auf sie zukommen würde. Von unseren Freunden von Psychosozial haben wir uns im Guten getrennt, da in den vorausgegangenen Jahren klar geworden war, dass der Verlag nicht in der Lage war, im deutschsprachigen Raum wirksam für die Zeitschrift zu werben (wie vertraglich vereinbart worden war). Damit stimmte das Preis-Leistungs-Verhältnis nicht mehr.Dann kam es schlimmer: Die letztjährige neue Seminarleitung entdeckte für das gesamte Seminar ein dringendes Sparbedürfnis und setzte an der Budget-Teilnehmerversammlung im Sommer als erste Massnahme die Kürzung des Zeitschriftenbudgets auf die Hälfte durch. Die Redaktion rekurrierte gegen diesen Beschluss an das gesamte Seminarkollektiv in einer Urabstimmung – und sah sich im Herbst in die Minderheit versetzt. Der Schock war gross. War es ein Misstrauensvotum? Sollten wir gesamthaft zurücktreten? Doch merkwürdigerweise wurde nicht unsere redaktionelle Arbeit kritisiert oder gar in Frage gestellt (ausser von vereinzelten Stimmen), im Gegenteil: Gerade das zuletzt erschienene Schwerpunktheft zum Morgenthaler-Kongress (Nr. 45/46) stiess auf breite Zustimmung. Und auch mit dem nachfolgenden Heft zur Ethnopsychoanalyse (Paul Parin zum 90. Geburtstag gewidmet) war man zufrieden. Nein, der Mehrheit war schlicht und ergreifend der Preis für ein zwei Mal jährlich erscheinendes Heft zu hoch (16 000 Euro bei einem sich zu Ungunsten des Frankens entwickelnden Wechselkurs plus weiteren Spesen). Man wollte und man sollte sparen.Wir fragten uns: Hatte der neoliberale Zeitgeist nunmehr auch das letzte Bollwerk der psychoanalytischen Linken geschleift? Wie dem auch sei, die Redaktion wollte weiterhin ein lebendiges Heft und kein museales Jahrbuch produzieren. Aber wie? Ausserdem hatten wir auf Ende 2006 noch zwei weitere Probleme zu verkraften. Unser Kollege der ersten Stunde, Thomas Merki (der unter anderem unsere Website eingerichtet und betreut hatte – vielen Dank!), fand im Vorstand des Schweizerischen Psychotherapie-Verbandes keine Zeit mehr zur Mitarbeit am «Journal für Psychoanalyse» und sah sich zum Rücktritt gezwungen. Und es war absehbar geworden, dass unser als nächster vorgesehener Schwerpunkt – zur Psychoanalyse in den Übergangsgesellschaften Osteuropas – nicht fristgerecht zu Stande kommen würde.Wir machten uns nach dem ersten Schock auf die Suche nach neuen Partnern und stiessen rundum auf Interesse. So bei den anderen selbstverwalteten Seminarien in Bern und Luzern und bei der Europäischen Föderation für Psychoanalytische Psychotherapie (EFPP) in Basel. So auch beim Seminar für Gruppenanalyse Zürich, dem SGAZ. Und wir fanden einen neuen Verlag, einen ganz besonderen: den Seismo Verlag in Zürich. Seismo ist zwar als eine Aktiengesellschaft strukturiert, befindet sich aber mehrheitlich im Besitz der Schweizerischen Gesellschaft für Soziologie, ist wissenschaftlich und gesellschaftskritisch ausgerichtet und nicht profitorientiert. Neben einer ansehnlichen Buchproduktion gibt er bereits drei andere Zeitschriften heraus: die Schweiz. Zeitschrift für Soziologie, die Schweiz. Zeitschrift für Soziale Arbeit und TSAnTSA, die Zeitschrift der Schweiz. Ethnologischen Gesellschaft. Wir fühlten uns in diesem weniger psychoanalytisch und mehr kulturkritisch orientierten Umfeld am richtigen Platz. Und last but not least: Wir fanden eine neue Redaktions-kollegin: Sonja Wuhrmann – herzlich willkommen!Zu diesem Jubiläums-HeftDer Dialektik von Institutionalisierung und Des-Institutionalisierung, bzw. umgekehrt, verdankt das Psychoanalytische Seminar Zürich (PSZ) seine Existenz, seit es sich 1977 von der Schweizerischen Gesellschaft für Psychoanalyse (SGP) losgelöst hat. Ein basisdemokratischer Verein – pardon, immer noch eine «einfache Gesellschaft» – mit an die 450 zahlenden TeilnehmerInnen, das grösste und wohl wichtigste psychoanalytische Seminar in der Schweiz, weltweit das vermutlich einzige selbstverwaltete psychoanalytische Kollektiv dieser Grössenordnung – immer noch ohne Zulassungsbeschränkungen und Prüfungsordnungen für das Studium der Freud'schen Psychoanalyse. Spieglein, Spieglein an der Wand … Die Redaktion hält dem PSZ als Geschenk zu seinem 30. Geburtstag den ewig gleichen Spiegel vor: Institutionalisierung/Des-Institutionalisierung! Wird es sich darin erkennen? Die Ängste sind angesichts der vergangenen Dekaden mit ihrem Freud-Bashing, dem unaufhaltsamen Aufstieg der Neurowissenschaften und der Etablierung der Psychotherapeutengesetze gross. Wir haben uns deswegen entschlossen, drei «alte» Texte aus unserem Archiv (diejenigen von Erdheim, Modena und Weilenmann, die uns aber weiterhin als brandneu erscheinen) mit vier neuen Arbeiten und einer in ihrer Suche nach Wahrheit und in ihrer Direktheit fast schmerzlich berührenden Diskussion über Vergangenheit und Zukunft des PSZ zu konfrontieren.Mario Erdheim erinnert an das jederzeit mögliche verenden einer Institution, wenn ihr der kulturkritische Stachel abhanden kommt, Berthold Rothschild analysiert schonungslos die derzeitige psychiatrische Institution (in welcher die psychotherapeutische immer noch eingebettet ist), Emilio Modena zeichnet anhand einer kritischen Auseinandersetzung mit den strukturellen Bedingungen der psychoanaly-tischen Ausbildung die Erfolgsgeschichte der Des-Institutionalisierung nach, Sonja Wuhrmann untersucht die Wahlverwandtschaften von individuell- und gruppenanalytischer Institution sowie von Institutionalisierung und Basisdemokratie, Christian Geiger diagnostiziert einen Wiederholungszwang, den er auf die traumatisierende Abspaltung des PSZ von der SGP zurückführt, Markus Weilenmann untersucht in einer Streitschrift die Ursachen der Entpolitisierung am PSZ und geht auf die verbreitete Neigung ein, institutionelle Regeln als etwas dem Wesen der Psychoanalyse Fremdes darzustellen, und Thomas Kurz führt seine historische Spurensuche weiter, wie es in der SGP wirklich war, bevor das PSZ 1958 gegründet worden ist. Sylvia von Arx, Olaf Knellessen, Monika Leuzinger und Peter Passett diskutieren endlich über Perspektiven und Chancen einer radikal verstandenen Psychoanalyse in Zeiten ihrer Hegemonisierung durch die Psychotherapie.Im Forum finden Sie nebst zwei Buchbesprechungen das Grundlagenpapier der Akkreditierungsgruppe für die psychotherapeutische Weiterbildung, einen Text zum Jubiläums-Preisausschreiben des PSZ und zwei Kurzbeiträge zu den Verhältnis-sen an den psychoanalytischen Seminarien in Bern.Insgesamt keine leichte oder bequeme Lektüre, aber vielleicht doch ein not-wendiger selbst- und kulturkritischer Stachel. Viel Vergnügen! Das rauschende Seminarfest zum 30. Jubiläum und die Preisverleihung finden am 1. Dezember statt.Die Redaktion
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In: Psyche und Gesellschaft
"Im Seelenleben des Einzelnen kommt ganz regelmäßig der Andere als Vorbild, als Objekt, als Helfer und als Gegner in Betracht, und die Individualpsychologie ist daher von Anfang an auch gleichzeitig Sozialpsychologie in diesem erweiterten, aber durchaus berechtigten Sinne." Sigmund Freud, Massenpsychologie und Ich-Analyse Freuds kultur- und gesellschaftstheoretische Überlegungen gehören zu den einflussreichsten Konzepten des 20. Jahrhunderts. Psychoanalytiker, Philosophen und Soziologen haben sich immer wieder davon inspirieren lassen. In dieser Tradition stehen auch die Beiträge des vorliegenden Bandes, in dem klassische Texte von Freud, Mitscherlich, Fenichel und Adorno mit zeitgenössischen Positionen konfrontiert werden. Damit bietet der Band vielfältige Anregungen für den sozialpsychologischen Diskurs. Mit Beiträgen von Hans-Joachim Busch, Angelika Ebrecht-Laermann, Rolf Haubl, Robert Heim, Hans-Dieter König, Angela Kühner, Emilio Modena, Johann August Schülein und Hans-Jürgen Wirth