Chemical and Biological Weapons
In: Forthcoming in R Liivoja & T McCormack (eds), Routledge Handbook of the Law of Armed Conflict, Routledge
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In: Forthcoming in R Liivoja & T McCormack (eds), Routledge Handbook of the Law of Armed Conflict, Routledge
SSRN
In: Verification yearbook, S. 103-124
ISSN: 1477-3759
In: Verification yearbook, S. 53-74
ISSN: 1477-3759
In: Yearbook of international humanitarian law, Band 4, S. 406-418
ISSN: 1574-096X
The 1980 Convention on Certain Conventional Weapons (CCW) was opened for signature on 10 October 1980 and entered into force on 2 December 1983 (six months after the deposit of the twentieth ratification). Following several years of virtual obscurity, interest in the CCW increased in the early 1990s, partly as a consequence of greater interest in the potential of the CCW in reducing the inhumane consequences of anti-personnel landmines (APLs). This led to the convening of the First Review Conference (Revcon) in 1995/6. One of the decisions taken by the first Revcon was that a second Revcon should be convened within five years to review the operation of the CCW. This indicated that for many states the CCW had come to assume a greater importance than they had accorded it during the preceding 15 years, as well as their acceptance that APLs and other weapons covered by the CCW warranted closer attention. In the lead-up to the second Revcon, which was convened in December 2001, major issues under consideration included the scope of the CCW and Explosive Remnants of War (ERW), including cluster bombs and other forms of unexploded ordnance not covered by existing international law, and strengthened provisions relating to antivehicle landmines (AVMs).
In: Revue internationale de la Croix-Rouge: débat humanitaire, droit, politiques, action = International Review of the Red Cross, Band 83, Heft 844, S. 991-1012
ISSN: 1607-5889
Résumé
La Convention sur l'interdiction ou la limitation de l'emploi de
certaines armes classiques qui peuvent être considérées comme produisant des
effets traumatiques excessifs ou comme frappant sans discrimination (du 10
octobre 1980) a établi le cadre juridique pour non seulement interdire
certaines armes particulièrement cruelles mais encore, et surtout, en
limiter l'emploi. l'article retrace l'histoire de ce traité et rappelle
l'évolution qu'il a connue depuis 1980 à travers, notamment, l'adoption d'un
nouveau protocole sur les armes à laser aveuglantes et le renforcement du
Protocole II (relatif aux mines terrestres). Toutefois, après l'interdiction
complète des mines antipersonnel par le traité d'Ottawa en 1997, peut-on
encore justifier l'approche choisie par la Convention de 1980, à savoir la
limitation dans l'emploi ? L'auteur répond par l'affirmative.
In: Verification yearbook, S. 71-86
ISSN: 1477-3759
In: Security dialogue, Band 26, S. 93-107
ISSN: 0967-0106
World Affairs Online
In: Revista internacional de la Cruz Roja, Band 24, Heft 150, S. 193-216
En este centenario de la I Conferencia Internacional de la Paz de La Haya, es oportuno reflexionar sobre la influencia de los principios humanitarios en la negociación de tratados multilaterales sobre control de armamentos. Dos de los tres temas de la conferencia de 1899 fueron las leyes de la guerra (o derecho internacional humanitario) y el control de armas y el desarme. No cabe duda de que parte de la motivación de 1899, y ciertamente de la II Conferencia Internacional de la Paz de La Haya de 1907, al considerar estos dos temas, fue la preocupación humanitaria por aliviar el sufrimiento de las víctimas del conflicto armado2. Tras 100 años de elaboratión de leyes en ambos émbitos, el aniversario de 1999 es oportuno para evaluar hasta qué punto los principios humanitarios han seguido influyendo en los esfuerzos para regular los efectos de determinadas armas.
In: Revue internationale de la Croix-Rouge: débat humanitaire, droit, politiques, action = International Review of the Red Cross, Band 81, Heft 834, S. 331-352
ISSN: 1607-5889
Résumé
La Conférence de la Paix de La Haye (1899) a tenté de rendre la guerre
moins cruelle par deux sortes de mesures: l'adoption de règles
internationales qui protègent les victimes de la guerre, d'une part, et
l'interdiction de certaines armes particulièrement cruelles ou la limitation
de leur emploi, d'autre part. Les auteurs examinent l'impact de ces mesures
— qu'ils qualifient d'« approche humanitaire » — sur les négociations pour
un contrôle de l'armement par le désarmement. Souvent, l'interdiction pure
et simple d'une arme ou la limitation de son emploi n'ont pas réussi à faire
disparaître l'arme en question (par exemple, l'arme chimique). Ceci a amené
la communauté internationale à chercher une solution dans le cadre des
négociations pour le désarmement. Cependant, celles-ci obéissent
principalement à des considérations politiques et de sécurité. Mais les
auteurs font la démonstration que des réflexions d'ordre humanitaire puent
parfois un rôle important dans l'élaboration de mesures de désarmement. Des
chapitres sur les décisions internationales prises en matière d'armes
chimiques, biologiques et nucléaires, ou encore par rapport aux mines
antipersonnel et à quelques autres armes particulièrement cruelles, mettent
cette thèse en évidence.
In: Security dialogue, Band 26, Heft 1, S. 93-107
ISSN: 1460-3640
In: Security dialogue, Band 26, Heft 1, S. 93-108
ISSN: 0967-0106
In: Journal of Conflict and Security Law, Band 11, Heft 1, S. 93-118
SSRN
In: Contemporary security policy, Band 16, Heft 3, S. 396-420
ISSN: 1743-8764
In: Contemporary security policy, Band 16, Heft 3, S. 396-420
ISSN: 1352-3260, 0144-0381
In: La convention sur l'interdiction et l'élimination des armes chimiques: une percée dans l'entreprise multilatérale du désarmement / The convention on the prohibition and elimination of chemical weapons: a breakthrough in multilateral disarmament, S. 509-536