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Abstract. A good knowledge of rainfall is essential for hydrological operational purposes such as flood forecasting. The objective of this paper was to analyze, on a relatively large sample of flood events, how rainfall-runoff modeling using an event-based model can be sensitive to the use of spatial rainfall compared to mean areal rainfall over the watershed. This comparison was based not only on the model's efficiency in reproducing the flood events but also through the estimation of the initial conditions by the model, using different rainfall inputs. The initial conditions of soil moisture are indeed a key factor for flood modeling in the Mediterranean region. In order to provide a soil moisture index that could be related to the initial condition of the model, the soil moisture output of the Safran-Isba-Modcou (SIM) model developed by Météo-France was used. This study was done in the Gardon catchment (545 km2) in South France, using uniform or spatial rainfall data derived from rain gauge and radar for 16 flood events. The event-based model considered combines the SCS runoff production model and the Lag and Route routing model. Results show that spatial rainfall increases the efficiency of the model. The advantage of using spatial rainfall is marked for some of the largest flood events. In addition, the relationship between the model's initial condition and the external predictor of soil moisture provided by the SIM model is better when using spatial rainfall, in particular when using spatial radar data with R2 values increasing from 0.61 to 0.72.

International audience ; L'étude porte sur l'évaluation de la qualité environnementale par des habitants sollicités à l'échelle résidentielle dans trois contextes urbains – à Paris, Marseille et Toulouse – retenus pour leur mixité sociale et typo-morphologique ainsi que pour leur exposition avérée à des nuisances. L'analyse qualitative repose sur 60 parcours commentés de résidents, suivis d'entretiens approfondis. À travers leur énonciation de la qualité environnementale, les habitants expriment une expertise fine qui reflète l'hétérogénéité des contextes socioterritoriaux. On observe d'une part différentes manières d'énoncer et de hiérarchiser les composantes de la qualité environnementale (bruit, pollution de l'air et climat urbain), et d'autre part des attitudes contrastées face aux nuisances (occultation, acceptation et engagement). Différents prismes (effet de lieu, fragmentation urbaine, satisfaction résidentielle, attachement, rapports sociaux) infléchissent les perceptions, les besoins et les attentes des habitants en matière de qualité du cadre de vie et d'urbanité. Ils produisent un « effet de quartz » que les politiques de requalification environnementale devraient prendre en compte en complément d'une évaluation des nuisances fondée sur la mesure.

International audience ; L'étude porte sur l'évaluation de la qualité environnementale par des habitants sollicités à l'échelle résidentielle dans trois contextes urbains – à Paris, Marseille et Toulouse – retenus pour leur mixité sociale et typo-morphologique ainsi que pour leur exposition avérée à des nuisances. L'analyse qualitative repose sur 60 parcours commentés de résidents, suivis d'entretiens approfondis. À travers leur énonciation de la qualité environnementale, les habitants expriment une expertise fine qui reflète l'hétérogénéité des contextes socioterritoriaux. On observe d'une part différentes manières d'énoncer et de hiérarchiser les composantes de la qualité environnementale (bruit, pollution de l'air et climat urbain), et d'autre part des attitudes contrastées face aux nuisances (occultation, acceptation et engagement). Différents prismes (effet de lieu, fragmentation urbaine, satisfaction résidentielle, attachement, rapports sociaux) infléchissent les perceptions, les besoins et les attentes des habitants en matière de qualité du cadre de vie et d'urbanité. Ils produisent un « effet de quartz » que les politiques de requalification environnementale devraient prendre en compte en complément d'une évaluation des nuisances fondée sur la mesure.

International audience ; L'étude porte sur l'évaluation de la qualité environnementale par des habitants sollicités à l'échelle résidentielle dans trois contextes urbains – à Paris, Marseille et Toulouse – retenus pour leur mixité sociale et typo-morphologique ainsi que pour leur exposition avérée à des nuisances. L'analyse qualitative repose sur 60 parcours commentés de résidents, suivis d'entretiens approfondis. À travers leur énonciation de la qualité environnementale, les habitants expriment une expertise fine qui reflète l'hétérogénéité des contextes socioterritoriaux. On observe d'une part différentes manières d'énoncer et de hiérarchiser les composantes de la qualité environnementale (bruit, pollution de l'air et climat urbain), et d'autre part des attitudes contrastées face aux nuisances (occultation, acceptation et engagement). Différents prismes (effet de lieu, fragmentation urbaine, satisfaction résidentielle, attachement, rapports sociaux) infléchissent les perceptions, les besoins et les attentes des habitants en matière de qualité du cadre de vie et d'urbanité. Ils produisent un « effet de quartz » que les politiques de requalification environnementale devraient prendre en compte en complément d'une évaluation des nuisances fondée sur la mesure.

International audience ; L'étude porte sur l'évaluation de la qualité environnementale par des habitants sollicités à l'échelle résidentielle dans trois contextes urbains – à Paris, Marseille et Toulouse – retenus pour leur mixité sociale et typo-morphologique ainsi que pour leur exposition avérée à des nuisances. L'analyse qualitative repose sur 60 parcours commentés de résidents, suivis d'entretiens approfondis. À travers leur énonciation de la qualité environnementale, les habitants expriment une expertise fine qui reflète l'hétérogénéité des contextes socioterritoriaux. On observe d'une part différentes manières d'énoncer et de hiérarchiser les composantes de la qualité environnementale (bruit, pollution de l'air et climat urbain), et d'autre part des attitudes contrastées face aux nuisances (occultation, acceptation et engagement). Différents prismes (effet de lieu, fragmentation urbaine, satisfaction résidentielle, attachement, rapports sociaux) infléchissent les perceptions, les besoins et les attentes des habitants en matière de qualité du cadre de vie et d'urbanité. Ils produisent un « effet de quartz » que les politiques de requalification environnementale devraient prendre en compte en complément d'une évaluation des nuisances fondée sur la mesure.

International audience ; L'étude porte sur l'évaluation de la qualité environnementale par des habitants sollicités à l'échelle résidentielle dans trois contextes urbains – à Paris, Marseille et Toulouse – retenus pour leur mixité sociale et typo-morphologique ainsi que pour leur exposition avérée à des nuisances. L'analyse qualitative repose sur 60 parcours commentés de résidents, suivis d'entretiens approfondis. À travers leur énonciation de la qualité environnementale, les habitants expriment une expertise fine qui reflète l'hétérogénéité des contextes socioterritoriaux. On observe d'une part différentes manières d'énoncer et de hiérarchiser les composantes de la qualité environnementale (bruit, pollution de l'air et climat urbain), et d'autre part des attitudes contrastées face aux nuisances (occultation, acceptation et engagement). Différents prismes (effet de lieu, fragmentation urbaine, satisfaction résidentielle, attachement, rapports sociaux) infléchissent les perceptions, les besoins et les attentes des habitants en matière de qualité du cadre de vie et d'urbanité. Ils produisent un « effet de quartz » que les politiques de requalification environnementale devraient prendre en compte en complément d'une évaluation des nuisances fondée sur la mesure.