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In: Studies in science, technology and culture 12
Champ de la persuasion politique - Histoire de persuasion politique (le Parti communiste chinois de 1962 à 1969, l'Organisation de libération de la Palestine de 1964 à 1974, le Parti québécois de 1968 à 1976 et la Conscience noire de 1969 à 1976) - Dialectique du persuadeur et du destinataire. Idéologie et démographie - Limites de la persuasion politique
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 19, Heft 2, S. 217
ISSN: 1918-7475
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 19, Heft 1, S. 75
ISSN: 1918-7475
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 16, Heft 2, S. 201-236
ISSN: 1918-7475
Cet article interroge la possibilité d'une interdisciplinarité qui serait pratiquée en dehors du champ scientifique. Pour apporter quelque réponse, il montre comment la philosophie est intrinsèquement associée à la subjectivité, comment la science se détache progressivement de la philosophie, comment cette distanciation favorise la division du savoir, comment la division du savoir appelle l'interdisciplinarité. Cela posé, il présente quelques requêtes d'une interdisciplinarité non scientifique puis montre que ses aspirations sont davantage celles de la philosophie que celles de l'interdisciplinarité.
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 14, Heft 1, S. 23-41
ISSN: 1918-7475
Les théories de l'action s'appuient souvent sur la thèse de la rationalité procédurale ou limitée, thèse qu'elles ont intégrée, pour rejeter tout reproche que l'on adresse à leur modélisation, notamment pour se protéger contre l'objection de ne pas pouvoir prendre en compte les émotions. Or quand on soumet cette thèse à la critique, on s'aperçoit rapidement qu'elle n'est pas en mesure de servir de bouclier, car la modélisation demeure centrée sur la raison et sur ses corollaires : la conscience, l'intention, la stratégie, la liberté et l'intérêt. On découvre, en effet, que les théories de l'action n'ont pas accès à ces caractéristiques fondamentales de l'humanité que sont les dialectiques de la raison et de l'émotion, de la conscience et de l'inconscient, de la liberté et de la détermination.
In: Revue européenne des sciences sociales: cahiers Vilfredo Pareto = European journal of social sciences, Heft 54-2, S. 308-310
ISSN: 1663-4446
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 11, Heft 2, S. 303-321
ISSN: 1918-7475
Le postulat d'un acteur rationnel, autonome, conscient, intentionnel et intéressé a maintes fois été dénoncé, notamment par les approches relationnelles. Les critiques ont rappelé l'importance de l'inconscient et de l'émotion dans la psyché humaine, l'impossibilité de comprendre l'action humaine en dehors d'un rapport aux structures sociales, le caractère illégitime d'une subjectivité qui délibère de façon monadique. À elles seules, ces critiques auraient dû évacuer depuis longtemps l'axiomatique rationalisante. Pourtant, cette axiomatique ne perd rien de sa vigueur; elle continue à dominer les modélisations en sciences humaines. La question se pose de savoir comment elle fait pour s'éterniser. Il faut bien qu'elle justifie son existence.
Dans un travail récent, nous avons repéré sept manières par lesquelles les spécialistes des sciences humaines parviennent à légitimer cette axiomatique, qui est au mieux une demi-vérité (NPSS, 2015). Or, aucune de ces justifications ne représente réellement une réponse à la critique relationnelle. Et si l'on peut relever ces justifications et montrer qu'elles n'en sont pas réellement, c'est forcément qu'il y a quelque chose de sécurisant pour les spécialistes des sciences humaines à rester sourds à ces démonstrations.
Notre intention, dans ce texte, est de mettre en évidence cet aspect sécurisant des modélisations rationalisantes et ce qu'il y a de terrifiant dans les autres, qu'il s'agisse de celles qui n'ont pas d'acteur rationnel ou de celles qui ne se fondent pas sur l'acteur en lui-même. Nous montrons que les sciences humaines sont attachées à un anthropocentrisme qui nuit à leur aptitude à produire de l'abstraction, que cet anthropocentrisme est beaucoup plus un idéalisme que le résultat d'une analyse, ce qui accentue la difficulté à générer des abstractions opérationnalisables, et même à donner cours à un relationalisme empirique dans lequel les échanges ne seraient pas que les rapports entre les acteurs sociaux. Nous montrons en outre que l'anthropocentrisme agit comme obstacle au relationalisme dès lors que cette approche veut s'élever dans l'ordre de l'abstraction pour générer de la science de l'humain.
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 11, Heft 1, S. 355-375
ISSN: 1918-7475
Le postulat d'un acteur rationnel, autonome, conscient, intentionnel et intéressé a maintes fois été dénoncé, notamment par les approches relationnelles. Les critiques ont rappelé l'importance de l'inconscient et de l'émotion dans la psyché humaine, l'impossibilité de comprendre l'action humaine en dehors d'un rapport aux structures sociales, le caractère illégitime d'une subjectivité qui délibère de façon monadique. À elles seules, ces critiques auraient dû évacuer depuis longtemps l'axiomatique rationalisante. Pourtant, cette axiomatique ne perd rien de sa vigueur; elle continue à dominer les modélisations en sciences humaines. La question se pose de savoir comment elle fait pour s'éterniser. Il faut bien qu'elle justifie son existence. Nous avons repéré sept manières par lesquelles les spécialistes des sciences humaines parviennent à légitimer cette axiomatique, qui est au mieux une demi-vérité. Nous relevons et dépeignons chacune de ces justifications et montrons qu'aucune d'elles ne représente réellement une réponse à la critique relationnelle.
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 12, Heft 1, S. 15
ISSN: 1918-7475
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 9, Heft 2, S. 95-113
ISSN: 1918-7475
Quel rôle joue la notion d'échange dans les sciences humaines? C'est la question à laquelle cet article tente de répondre. Pour y parvenir, il écarte au point de départ les épistémologies qui ne se positionnent pas entre subjectivité et objectivation puis il distingue divers usages qui vont d'un échange plutôt empirique à un autre, plutôt analytique, tous compris à une intersection mobile d'une science productrice de sens et d'une empirie active.
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 8, Heft 2, S. 29-50
ISSN: 1918-7475
La culture, dans son sens sociologique, est le résultat d'une dialectique toujours en cours entre des symboliques et des ensembles d'individus, d'une part, et entre des individus entre eux et des collectifs entre eux, d'autre part; elle est information et communication. Dans les sociétés hautement définies par les moyens de communication de masse, cette dialectique non seulement est-elle mouvement continu, mais elle est encore pluralité. Cette pluralité remet en cause la possibilité même de l'identité sociale. S'opère ainsi une autre dialectique, celle-ci entre homogénéisation et différenciation. Les médias constituent l'un des facteurs les plus déterminants des symboliques, et donc des identités. Les messages qu'ils émettent sont soumis aux diverses contraintes de la concurrence, notamment à celles de l'économie et de la démographie, mais aussi à celles de la représentation et de la dialectique entre les producteurs de message et leurs destinataires. Une collectivité, dans la contemporanéité, ne peut se reproduire que dans la mesure où elle évolue dans ce complexe. C'est ce dont nous tenterons de rendre compte en mettant l'accent sur la francophonie canadienne.
In: Nouvelles perspectives en sciences sociales: revue internationale de systémique complexe et d'études relationnelles, Band 8, Heft 1, S. 15-33
ISSN: 1918-7475
Deux grandes visions s'affrontent au XXe siècle : l'une veut que les sociétés humaines évoluent en se diversifiant, l'autre maintient que ces sociétés tendent vers la similitude. Mais ces visions sont nourries beaucoup plus par l'observation sommaire et l'autoréflexion que par l'analyse empirique. Les travaux empiriques qui se penchent sur cette problématique inclinent à relever une évolution double. Dans cet article, nous faisons état du positionnement contradictoire des visions en sciences humaines, nous tentons de fournir une explication de la double tendance que mettent en relief les travaux empiriques en en dialectisant les éléments et nous reprenons quelques-uns de nos travaux qui témoignent par l'observation de cette dialectique.
In: Reflets: revue ontaroise d'intervention sociale et communautaire, Band 19, Heft 2, S. 212
ISSN: 1712-8498