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Thiam, Mamadou: Discours d'ouverture. - S. 1-4. Rapport general du Seminaire. - S. 5-29. Guide du Programme des Privatisations au Maroc. Ministere de la Privatisation charge des Entreprises d'Etat. - S. 31-67. Sessouma, Gaoussou el-Hadj: Approche de la privatisaion au Burkina Faso. - S. 69-81. Oumarou, Ahmadou: La privatisation au Cameroun. - S. 83-87 Bangoura, Aboubacar: Diverses approches de la privatisation en Afrique: communication de la Guinee. - S. 89-91. Dembele, Mamadou: Communication relative a l'experience malienne en matiere de la privatisation d'entreprises publiques. - S. 93-99. Kebe, Amadou: Le bilan de la privatisation au Senegal. - S. 101-112. Patoki, Badanam: Experience togolaise de la privatisation des entreprises publiques. - S. 113-128. L'experience de la Tunisie en matiere de la privatisation. - S. 129-137. Dhaoui, Mohamed Lamine: Experience de l'ONUDI en matiere de privatisation. - S. 139-143. Andic, Fuat M.: La privatisaion et les realites de l'Afrique subsaharienne. - S. 145-167. Guislain, Pierre: Les privatisations - un defi strategique, juridique et institutionnel. - S. 169-175. Liste des participants. - S. 176-177

Si l'expression « esthétique environnementale » signifie le plus souvent un champ de réflexions esthétiques relatif non seulement aux œuvres d'art mais encore aux formes et aux paysages de la nature, elle désigne aussi plus globalement la considération esthétique des environnements portant l'empreinte de l'action humaine ou construits par l'homme. Mais, aisthesis signifie plus originellement la sensibilité. Or la question est de savoir si l'une des racines essentielles de la crise environnementale actuelle ne tient pas à l'anesthésie de l'homme moderne occidental ou occidentalisé, et, dans ce cas, de savoir comment réveiller cette sensibilité. Dans une telle perspective, l'esthétique environnementale désigne la réflexion mais aussi les pratiques qui permettraient de revenir d'une telle anesthésie, d'éduquer la sensibilité, afin que puisse se transformer notre relation à la nature. La considération, dans ce volume, de la sensibilité chinoise à la nature permet de ne pas rester enfermé dans une approche eurocentrée de la question