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High spatial resolution imagery provided by unmanned aerial vehicles (UAVs) can yield accurate and efficient estimation of tree dimensions and canopy structural variables at the local scale. We flew a low-cost, lightweight UAV over an experimental Pinus pinea L. plantation (290 trees distributed over 16 ha with different fertirrigation treatments) to determine the tree positions and to estimate individual tree height (h), diameter (d), biomass (wa), as well as changes in these variables between 2015 and 2017. We used Structure from Motion (SfM) and 3D point cloud filtering techniques to generate the canopy height model and object-based image analysis to delineate individual tree crowns (ITC). ITC results were validated using accurate field measurements over a subsample of 50 trees. Comparison between SfM-derived and field-measured h yielded an R2 value of 0.96. Regressions using SfM-derived variables as explanatory variables described 79% and 86–87% of the variability in d and wa, respectively. The height and biomass growth estimates across the entire study area for the period 2015–2017 were 0.45 m ± 0.12 m and 198.7 ± 93.9 kg, respectively. Significant differences (t-test) in height and biomass were observed at the end of the study period. The findings indicate that the proposed method could be used to derive individual-tree variables and to detect spatio-temporal changes, highlighting the potential role of UAV-derived imagery as a forest management tool ; We thank the Portuguese Science Foundation (SFRH/BD/52408/2013) for funding the research activities of Juan Guerra and the Galician Government and European Social Fund (Official Journal of Galicia—DOG No. 52, 17/03/2014 p. 11343, exp: POS-A/2013/049) for funding the postdoctoral research stays of Eduardo González-Ferreiro. This research was supported by SuFoRun project "Models and decision Support tools for integrated Forest policy development under global change and associated Risk and Uncertaint" funded by the European Union's H2020 research and innovation ...

This study aimed to develop ALS-based models for estimating stem, crown and aboveground biomass in three types of Mediterranean forest, based on low density ALS data. Two different modelling approaches were used: (i) linear models with different variable selection methods (Stepwise Selection [SS], Clustering/Exhaustive search [CE] and Genetic Algorithm [GA]), and (ii) previously Published Models (PM) applicable to diverse types of forest. Results indicated more accurate estimations of biomass components for pure Pinus pinea L. (rRMSE = 25.90-26.16%) than for the mixed (30.86-36.34%) and Quercus pyrenaica Willd. forests (32.78-34.84%). All the tested approaches were valuable, but SS and GA performed better than CE and PM in most cases ; The study was supported by the ForEadapt project 'Knowledge exchange between Europe and America on forest growth models and optimization for adaptive forestry' (PIRSES-GA-2010-269257). The authors thank (i) the foresters of the Extremadura Forest Service for assistance with data collection, (ii) the Portuguese Science Foundation (SFRH/BD/52408/2013) for funding the research activities of Juan Guerra and (iii) the Galician Government and European Social Fund (Official Journal of Galicia – DOG nº 52, 17/03/2014 p. 11343, exp: POS-A/2013/049) for funding the postdoctoral research stays of Eduardo González-Ferreiro and iv) the anonymous Reviewers of the European Journal of Remote Sensing for their helpful feedback. The research was carried out in the Centro de Estudos Florestais: a research unit funded by Fundação para a Ciência e a Tecnologia (Portugal) within UID/AGR/00239/2013. ; SI

Aims of study: To evaluate the potential use of canopy height and intensity distributions, determined by airborne LiDAR, for the estimation of crown, stem and aboveground biomass fractions To assess the effects of a reduction in LiDAR pulse densities on model precision Area of study: The study area is located in Galicia, NW Spain. The forests are representative of Eucalyptus globules stands in NW Spain, characterized by low-intensity silvicultural treatments and by the presence of tall shrub Material and methods: Linear, multiplicative power and exponential models were used to establish empirical relationships between field measurements and LiDAR metrics A random selection of LiDAR returns and a comparison of the prediction errors by LiDAR pulse density factor were performed to study a possible loss of fit in these models Main results: Models showed similar goodness-of-fit statistics to those reported in the international literature. R2 ranged from 0.52 to 0.75 for stand crown biomass, from 0.64 to 0.87 for stand stem biomass, and from 0.63 to 0.86 for stand aboveground biomass. The RMSE/MEAN · 100 of the set of fitted models ranged from 17.4% to 28.4% Models precision was essentially maintained when 87.5% of the original point cloud was reduced, i.e. a reduction from 4 pulses m–2 to 0.5 pulses m–2 Research highlights: Considering the results of this study, the low-density LiDAR data that are released by the Spanish National Geographic Institute will be an excellent source of information for reducing the cost of forest inventories ; Galician Government, Xunta de Galicia, Dirección Xeral de Montes (09MRU022291PR); Norvento (Multinational energy company) (PGIDT09REM023E); Galician Government, Dirección Xeral de Ordenación e Calidade do Sistema Universitario de Galicia (Consellería de Educación e Ordenación Universitaria) and European Social Fund (Official Journal of Galicia –DOG nº 9, p. 2246, exp. 2011/14) ; SI

National audience ; La forêt, en plus de ses fonctions économiques reconnues par tous les acteurs du milieu rural tels que le développement de l'emploi rural et le marché local du bois pour la transformation ou pour l'énergie, rend de nombreux autres services. Cependant, de multiples risques sont identifiables et doivent être gérés dans et pourront éventuellement être aggravés par les changements climatiques: futures sécheresses favorables aux pathogènes et ravageurs ainsi qu'à la propagation des incendies, et le risque de la modification du vent. Le projet FORRISK se focalisera ainsi sur les risques en forêt dont l'intensité est modulée par le changement climatique. L'histoire des forêts du sud de l'Europe nous rappelle que pour de nombreux problèmes, une approche seulement nationale n'a pas de sens. C'est-à-dire, les risques concernés, les réponses à apporter peuvent être soit au niveau technique soit au niveau de l'organisation des institutions. Pour cette raison, FORRISK vise à coordonner et mettre en réseau trois communautés différentes que sont les acteurs politiques, les gestionnaires et les scientifiques, dans le but d'obtenir que la gestion des risques soit partie intégrante des décisions prises à tous les niveaux du secteur forestier. Cela permettra d'initier une plateforme européenne sur les risques forestiers en facilitant des recommandations et des informations pertinentes à tous les niveaux. Pour y parvenir, le projet analysera et comparera les outils institutionnels, les systèmes et organisations liés à la gestion de risques dans les régions étudiées. Ensuite, FORRISK développera sur le terrain des techniques de lutte écologique, génétique et sylvicole, dont les résultats feront l'objet de guides de bonne pratique. Les outils produits consisteront à des cartes de risques à l'échelle régionale ou subrégionale, ainsi que à des modèles informatiques permettant de faire des diagnostics sur le terrain et de modéliser la propagation du fomès dans les peuplements de pin maritime. Ainsi, décideurs ...

National audience ; La forêt, en plus de ses fonctions économiques reconnues par tous les acteurs du milieu rural tels que le développement de l'emploi rural et le marché local du bois pour la transformation ou pour l'énergie, rend de nombreux autres services. Cependant, de multiples risques sont identifiables et doivent être gérés dans et pourront éventuellement être aggravés par les changements climatiques: futures sécheresses favorables aux pathogènes et ravageurs ainsi qu'à la propagation des incendies, et le risque de la modification du vent. Le projet FORRISK se focalisera ainsi sur les risques en forêt dont l'intensité est modulée par le changement climatique. L'histoire des forêts du sud de l'Europe nous rappelle que pour de nombreux problèmes, une approche seulement nationale n'a pas de sens. C'est-à-dire, les risques concernés, les réponses à apporter peuvent être soit au niveau technique soit au niveau de l'organisation des institutions. Pour cette raison, FORRISK vise à coordonner et mettre en réseau trois communautés différentes que sont les acteurs politiques, les gestionnaires et les scientifiques, dans le but d'obtenir que la gestion des risques soit partie intégrante des décisions prises à tous les niveaux du secteur forestier. Cela permettra d'initier une plateforme européenne sur les risques forestiers en facilitant des recommandations et des informations pertinentes à tous les niveaux. Pour y parvenir, le projet analysera et comparera les outils institutionnels, les systèmes et organisations liés à la gestion de risques dans les régions étudiées. Ensuite, FORRISK développera sur le terrain des techniques de lutte écologique, génétique et sylvicole, dont les résultats feront l'objet de guides de bonne pratique. Les outils produits consisteront à des cartes de risques à l'échelle régionale ou subrégionale, ainsi que à des modèles informatiques permettant de faire des diagnostics sur le terrain et de modéliser la propagation du fomès dans les peuplements de pin maritime. Ainsi, décideurs politiques, gestionnaires et scientifiques auront entre leurs mains des outils adaptés à la gestion de nombreux risques menaçant la forêt dans leurs régions.

La forêt, en plus de ses fonctions économiques reconnues par tous les acteurs du milieu rural tels que le développement de l'emploi rural et le marché local du bois pour la transformation ou pour l'énergie, rend de nombreux autres services. Cependant, de multiples risques sont identifiables et doivent être gérés dans et pourront éventuellement être aggravés par les changements climatiques: futures sécheresses favorables aux pathogènes et ravageurs ainsi qu'à la propagation des incendies, et le risque de la modification du vent. Le projet FORRISK se focalisera ainsi sur les risques en forêt dont l'intensité est modulée par le changement climatique. L'histoire des forêts du sud de l'Europe nous rappelle que pour de nombreux problèmes, une approche seulement nationale n'a pas de sens. C'est-à-dire, les risques concernés, les réponses à apporter peuvent être soit au niveau technique soit au niveau de l'organisation des institutions. Pour cette raison, FORRISK vise à coordonner et mettre en réseau trois communautés différentes que sont les acteurs politiques, les gestionnaires et les scientifiques, dans le but d'obtenir que la gestion des risques soit partie intégrante des décisions prises à tous les niveaux du secteur forestier. Cela permettra d'initier une plateforme européenne sur les risques forestiers en facilitant des recommandations et des informations pertinentes à tous les niveaux. Pour y parvenir, le projet analysera et comparera les outils institutionnels, les systèmes et organisations liés à la gestion de risques dans les régions étudiées. Ensuite, FORRISK développera sur le terrain des techniques de lutte écologique, génétique et sylvicole, dont les résultats feront l'objet de guides de bonne pratique. Les outils produits consisteront à des cartes de risques à l'échelle régionale ou subrégionale, ainsi que à des modèles informatiques permettant de faire des diagnostics sur le terrain et de modéliser la propagation du fomès dans les peuplements de pin maritime. Ainsi, décideurs politiques, gestionnaires et scientifiques auront entre leurs mains des outils adaptés à la gestion de nombreux risques menaçant la forêt dans leurs régions.