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International audience ; Chronology is a crucial issue given the specific settlement patterns of the Río Bec region located on the northern fringe of the Maya central lowlands. Fine-resolution chronology of the local residential occupation in its many spatial and temporal forms is one of the main proxies available to reconstruct social organization and dynamics, in the absence of a nucleated center with the typical Maya political monuments usually investigated. Variability can be traced in residential morphologies and evolution that must be dated. The scope of the paper aims to describe the construction of the Río Bec chronology in its multiple dimensions, based on a diversity of methods from ceramic Type-Variety classification up to seriation of building sequences defining the evolution of the famous Río Bec architectural style. Epigraphic evidence exists, albeit limited and ambiguous. The general sequence of occupation for the targeted micro-region stretches from the Middle Preclassic to the end of the Terminal Classic period. (source éditeur)

International audience ; Chronology is a crucial issue given the specific settlement patterns of the Río Bec region located on the northern fringe of the Maya central lowlands. Fine-resolution chronology of the local residential occupation in its many spatial and temporal forms is one of the main proxies available to reconstruct social organization and dynamics, in the absence of a nucleated center with the typical Maya political monuments usually investigated. Variability can be traced in residential morphologies and evolution that must be dated. The scope of the paper aims to describe the construction of the Río Bec chronology in its multiple dimensions, based on a diversity of methods from ceramic Type-Variety classification up to seriation of building sequences defining the evolution of the famous Río Bec architectural style. Epigraphic evidence exists, albeit limited and ambiguous. The general sequence of occupation for the targeted micro-region stretches from the Middle Preclassic to the end of the Terminal Classic period. (source éditeur)

National audience ; Les sociétés mayas des hautes terres ont connu un déclin culturel marqué à la fin du Préclassique (vers 100-250 apr. JC) au moment où, pour la plupart, les cités mayas des basses terres prenaient leur essor au début du Classique (250-300 apr. J.C.). Environ 600 ans plus tard, celles du Petén (Guatemala) étaient presque toutes abandonnées alors que celles des basses terres du nord connaissaient leur apogée jusqu'au début du Postclassique. En termes géographiques, il s'agit d'analyser l'évolution d'anthropo-systèmes formés en forêt tropicale humide de mousson, soit une des rares zones où s'est développée dans le passé une civilisation puissante, agricole et urbaine sur une longue durée. Le projet Petén nord-ouest La Joyanca a pour objet l'étude d'une communauté socio-politique de rang moyen, d'époque classique, située dans une région des basses terres jusqu'à présent quasiment inconnue du point de vue archéologique. Ce projet est particulier, d'une part car il associe une approche archéologique et géographique, cherchant à restituer l'histoire des hommes en même temps que l'histoire du milieu, d'autre part parce que l'initiative de cette recherche et son financement proviennent d'une compagnie pétrolière. Ce site de la Joyanca apporte des éléments nouveaux dans le corpus des "cités" mayas classiques des basses terres du Petén : désintégration du centre politico-religieux et des ensembles de palais, association étroite au centre, dans le temps et dans l'espace, des lieux de culte et d'un grand édifice politique complexe, faible densité de l'habitat.

National audience ; Les sociétés mayas des hautes terres ont connu un déclin culturel marqué à la fin du Préclassique (vers 100-250 apr. JC) au moment où, pour la plupart, les cités mayas des basses terres prenaient leur essor au début du Classique (250-300 apr. J.C.). Environ 600 ans plus tard, celles du Petén (Guatemala) étaient presque toutes abandonnées alors que celles des basses terres du nord connaissaient leur apogée jusqu'au début du Postclassique. En termes géographiques, il s'agit d'analyser l'évolution d'anthropo-systèmes formés en forêt tropicale humide de mousson, soit une des rares zones où s'est développée dans le passé une civilisation puissante, agricole et urbaine sur une longue durée. Le projet Petén nord-ouest La Joyanca a pour objet l'étude d'une communauté socio-politique de rang moyen, d'époque classique, située dans une région des basses terres jusqu'à présent quasiment inconnue du point de vue archéologique. Ce projet est particulier, d'une part car il associe une approche archéologique et géographique, cherchant à restituer l'histoire des hommes en même temps que l'histoire du milieu, d'autre part parce que l'initiative de cette recherche et son financement proviennent d'une compagnie pétrolière. Ce site de la Joyanca apporte des éléments nouveaux dans le corpus des "cités" mayas classiques des basses terres du Petén : désintégration du centre politico-religieux et des ensembles de palais, association étroite au centre, dans le temps et dans l'espace, des lieux de culte et d'un grand édifice politique complexe, faible densité de l'habitat.

National audience ; Les sociétés mayas des hautes terres ont connu un déclin culturel marqué à la fin du Préclassique (vers 100-250 apr. JC) au moment où, pour la plupart, les cités mayas des basses terres prenaient leur essor au début du Classique (250-300 apr. J.C.). Environ 600 ans plus tard, celles du Petén (Guatemala) étaient presque toutes abandonnées alors que celles des basses terres du nord connaissaient leur apogée jusqu'au début du Postclassique. En termes géographiques, il s'agit d'analyser l'évolution d'anthropo-systèmes formés en forêt tropicale humide de mousson, soit une des rares zones où s'est développée dans le passé une civilisation puissante, agricole et urbaine sur une longue durée. Le projet Petén nord-ouest La Joyanca a pour objet l'étude d'une communauté socio-politique de rang moyen, d'époque classique, située dans une région des basses terres jusqu'à présent quasiment inconnue du point de vue archéologique. Ce projet est particulier, d'une part car il associe une approche archéologique et géographique, cherchant à restituer l'histoire des hommes en même temps que l'histoire du milieu, d'autre part parce que l'initiative de cette recherche et son financement proviennent d'une compagnie pétrolière. Ce site de la Joyanca apporte des éléments nouveaux dans le corpus des "cités" mayas classiques des basses terres du Petén : désintégration du centre politico-religieux et des ensembles de palais, association étroite au centre, dans le temps et dans l'espace, des lieux de culte et d'un grand édifice politique complexe, faible densité de l'habitat.

National audience ; Les sociétés mayas des hautes terres ont connu un déclin culturel marqué à la fin du Préclassique (vers 100-250 apr. JC) au moment où, pour la plupart, les cités mayas des basses terres prenaient leur essor au début du Classique (250-300 apr. J.C.). Environ 600 ans plus tard, celles du Petén (Guatemala) étaient presque toutes abandonnées alors que celles des basses terres du nord connaissaient leur apogée jusqu'au début du Postclassique. En termes géographiques, il s'agit d'analyser l'évolution d'anthropo-systèmes formés en forêt tropicale humide de mousson, soit une des rares zones où s'est développée dans le passé une civilisation puissante, agricole et urbaine sur une longue durée. Le projet Petén nord-ouest La Joyanca a pour objet l'étude d'une communauté socio-politique de rang moyen, d'époque classique, située dans une région des basses terres jusqu'à présent quasiment inconnue du point de vue archéologique. Ce projet est particulier, d'une part car il associe une approche archéologique et géographique, cherchant à restituer l'histoire des hommes en même temps que l'histoire du milieu, d'autre part parce que l'initiative de cette recherche et son financement proviennent d'une compagnie pétrolière. Ce site de la Joyanca apporte des éléments nouveaux dans le corpus des "cités" mayas classiques des basses terres du Petén : désintégration du centre politico-religieux et des ensembles de palais, association étroite au centre, dans le temps et dans l'espace, des lieux de culte et d'un grand édifice politique complexe, faible densité de l'habitat.

National audience ; Les sociétés mayas des hautes terres ont connu un déclin culturel marqué à la fin du Préclassique (vers 100-250 apr. JC) au moment où, pour la plupart, les cités mayas des basses terres prenaient leur essor au début du Classique (250-300 apr. J.C.). Environ 600 ans plus tard, celles du Petén (Guatemala) étaient presque toutes abandonnées alors que celles des basses terres du nord connaissaient leur apogée jusqu'au début du Postclassique. En termes géographiques, il s'agit d'analyser l'évolution d'anthropo-systèmes formés en forêt tropicale humide de mousson, soit une des rares zones où s'est développée dans le passé une civilisation puissante, agricole et urbaine sur une longue durée. Le projet Petén nord-ouest La Joyanca a pour objet l'étude d'une communauté socio-politique de rang moyen, d'époque classique, située dans une région des basses terres jusqu'à présent quasiment inconnue du point de vue archéologique. Ce projet est particulier, d'une part car il associe une approche archéologique et géographique, cherchant à restituer l'histoire des hommes en même temps que l'histoire du milieu, d'autre part parce que l'initiative de cette recherche et son financement proviennent d'une compagnie pétrolière. Ce site de la Joyanca apporte des éléments nouveaux dans le corpus des "cités" mayas classiques des basses terres du Petén : désintégration du centre politico-religieux et des ensembles de palais, association étroite au centre, dans le temps et dans l'espace, des lieux de culte et d'un grand édifice politique complexe, faible densité de l'habitat.

National audience ; Les sociétés mayas des hautes terres ont connu un déclin culturel marqué à la fin du Préclassique (vers 100-250 apr. JC) au moment où, pour la plupart, les cités mayas des basses terres prenaient leur essor au début du Classique (250-300 apr. J.C.). Environ 600 ans plus tard, celles du Petén (Guatemala) étaient presque toutes abandonnées alors que celles des basses terres du nord connaissaient leur apogée jusqu'au début du Postclassique. En termes géographiques, il s'agit d'analyser l'évolution d'anthropo-systèmes formés en forêt tropicale humide de mousson, soit une des rares zones où s'est développée dans le passé une civilisation puissante, agricole et urbaine sur une longue durée. Le projet Petén nord-ouest La Joyanca a pour objet l'étude d'une communauté socio-politique de rang moyen, d'époque classique, située dans une région des basses terres jusqu'à présent quasiment inconnue du point de vue archéologique. Ce projet est particulier, d'une part car il associe une approche archéologique et géographique, cherchant à restituer l'histoire des hommes en même temps que l'histoire du milieu, d'autre part parce que l'initiative de cette recherche et son financement proviennent d'une compagnie pétrolière. Ce site de la Joyanca apporte des éléments nouveaux dans le corpus des "cités" mayas classiques des basses terres du Petén : désintégration du centre politico-religieux et des ensembles de palais, association étroite au centre, dans le temps et dans l'espace, des lieux de culte et d'un grand édifice politique complexe, faible densité de l'habitat.