Sept pays du Sud sont régulièrement cités pour avoir mis en place une politique de population accompagnant le processus de transition démographique : le Bangladesh, le Mexique, la Tunisie, l'Éthiopie, le Kenya, le Malawi et le Rwanda. Comparer leurs politiques publiques permet à la fois de présenter leurs spécificités mais également de mettre en avant des bonnes pratiques partagées en matière de planification familiale.
A partir d'une base de données concernant 192 pays de 1990 à 2015, l'analyse empirique menée vise à mesurer la qualité de la dépense publique dans les pays en développement. La méthodologie proposée ici comprend trois étapes : (1) la construction et le calcul d'un indicateur unidimensionnel de résultats des dépenses publiques, (2) la mesure de l'efficience des dépenses publiques fondée sur une approche à frontières stochastiques et utilisant l'indicateur unidimensionnel de résultats comme output dans l'estimation et (3) une analyse de quelques effets de certains facteurs sur les scores d'efficience obtenus, avec une attention particulière portée à l'endettement. Une application en ligne a été élaborée, disponible à l'adresse : https://data.cerdi.uca.fr/afd-pubexp/. Elle permet de télécharger les données, répliquer les résultats et d'en développer d'autres en modifiant certaines pondérations, la période ou les pays étudiés ou en intégrant des données complémentaires.L'Afrique et l'Asie du Sud accusent un certain retard avec respectivement des scores d'efficience de 0,55 et 0,66, tandis que l'efficience moyenne sur la période est de 0,71. L'Asie du Sud, le Moyen Orient et l'Amérique latine sont au même niveau tandis que le classement est dominé par des pays européens et d'Amérique du Nord. L'analyse par niveau de revenu montre une amélioration de l'efficience à mesure que le niveau de revenu du pays augmente : les pays à faible revenu sont ceux qui ont le niveau d'efficience les plus faibles. Les pays de l'OCDE sont caractérisés par une dispersion faible en général. Les pays à revenu élevé non-membre de l'OCDE ont également de bons scores mais sont caractérisés par une plus grande hétérogénéité, en particulier pour les pays du Moyen Orient, de l'Amérique Latine et des Caraïbes. Dans toutes les régions du monde et quel que soit le niveau de revenu, l'indicateur de résultats s'est amélioré depuis 1990.
A partir d'une base de données concernant 192 pays de 1990 à 2015, l'analyse empirique menée vise à mesurer la qualité de la dépense publique dans les pays en développement. La méthodologie proposée ici comprend trois étapes : (1) la construction et le calcul d'un indicateur unidimensionnel de résultats des dépenses publiques, (2) la mesure de l'efficience des dépenses publiques fondée sur une approche à frontières stochastiques et utilisant l'indicateur unidimensionnel de résultats comme output dans l'estimation et (3) une analyse de quelques effets de certains facteurs sur les scores d'efficience obtenus, avec une attention particulière portée à l'endettement. Une application en ligne a été élaborée, disponible à l'adresse : https://data.cerdi.uca.fr/afd-pubexp/. Elle permet de télécharger les données, répliquer les résultats et d'en développer d'autres en modifiant certaines pondérations, la période ou les pays étudiés ou en intégrant des données complémentaires.L'Afrique et l'Asie du Sud accusent un certain retard avec respectivement des scores d'efficience de 0,55 et 0,66, tandis que l'efficience moyenne sur la période est de 0,71. L'Asie du Sud, le Moyen Orient et l'Amérique latine sont au même niveau tandis que le classement est dominé par des pays européens et d'Amérique du Nord. L'analyse par niveau de revenu montre une amélioration de l'efficience à mesure que le niveau de revenu du pays augmente : les pays à faible revenu sont ceux qui ont le niveau d'efficience les plus faibles. Les pays de l'OCDE sont caractérisés par une dispersion faible en général. Les pays à revenu élevé non-membre de l'OCDE ont également de bons scores mais sont caractérisés par une plus grande hétérogénéité, en particulier pour les pays du Moyen Orient, de l'Amérique Latine et des Caraïbes. Dans toutes les régions du monde et quel que soit le niveau de revenu, l'indicateur de résultats s'est amélioré depuis 1990.
A partir d'une base de données concernant 192 pays de 1990 à 2015, l'analyse empirique menée vise à mesurer la qualité de la dépense publique dans les pays en développement. La méthodologie proposée ici comprend trois étapes : (1) la construction et le calcul d'un indicateur unidimensionnel de résultats des dépenses publiques, (2) la mesure de l'efficience des dépenses publiques fondée sur une approche à frontières stochastiques et utilisant l'indicateur unidimensionnel de résultats comme output dans l'estimation et (3) une analyse de quelques effets de certains facteurs sur les scores d'efficience obtenus, avec une attention particulière portée à l'endettement. Une application en ligne a été élaborée, disponible à l'adresse : https://data.cerdi.uca.fr/afd-pubexp/. Elle permet de télécharger les données, répliquer les résultats et d'en développer d'autres en modifiant certaines pondérations, la période ou les pays étudiés ou en intégrant des données complémentaires.L'Afrique et l'Asie du Sud accusent un certain retard avec respectivement des scores d'efficience de 0,55 et 0,66, tandis que l'efficience moyenne sur la période est de 0,71. L'Asie du Sud, le Moyen Orient et l'Amérique latine sont au même niveau tandis que le classement est dominé par des pays européens et d'Amérique du Nord. L'analyse par niveau de revenu montre une amélioration de l'efficience à mesure que le niveau de revenu du pays augmente : les pays à faible revenu sont ceux qui ont le niveau d'efficience les plus faibles. Les pays de l'OCDE sont caractérisés par une dispersion faible en général. Les pays à revenu élevé non-membre de l'OCDE ont également de bons scores mais sont caractérisés par une plus grande hétérogénéité, en particulier pour les pays du Moyen Orient, de l'Amérique Latine et des Caraïbes. Dans toutes les régions du monde et quel que soit le niveau de revenu, l'indicateur de résultats s'est amélioré depuis 1990.