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THE SECOND CONGRESS OF COPWE (COMMISSION FOR ORGANISING THE PARTY OF THE WORKING PEOPLE OF ETHIOPIA) TOOK PLACE IN JANUARY, 1983. WHILST THE CONGRESS DEALT WITH THE ENTIRE RANGE OF PERSPECTIVES AND PROBLEMS ASSOCIATED WITH THE REVOLUTIONARY TRANSFORMATION OF ETHIOPIA A CENTRAL ISSUE WAS THE ESTABLISHMENT OF A MARXIST LENINIST PARTY OF THE WORKING PEOPLE. THIS IS IN LINE WITH THE DOMINANT POLITICAL LINE OF ETHIOPIAN REVOLUTIONARIES THAT THE COMPLEX TASKS OF SOCIALIST CONSTRUCTION CANNOT BE ACHIEVED WITHOUT A VANGUARD PARTY, A MARXIST LENINIST PARTY WHICH WILL STRENGTHEN NATIONAL INDEPENDENCE, POPULAR DEMOCRACY AND THE ECONOMIC POLITICAL AND IDEOLOGICAL BASIS OF THE DEVELOPING SOCIALIST FORMATION. THE PROCESS OF PARTY BUILDING IN ETHIOPIA HAS GONE THROUGH A NUMBER OF UNIQUE STAGES.

This article considers how governance can transform relationships of power between Francophone minority communities and the state through a case study of the Fransaskois. Using a multi-methods framework that combines historical institutionalism and empowerment theory, this study draws attention to the transformative and constitutive power of governance in shaping relationships between Francophone communities and the state. By examining how the Fransaskois claim power from above and build power from below through governance, the study posits governance as a tool for the collective empowerment of Francophone minority communities in their quest to faire communauté. In so doing, it draws attention to the Fransaskois as active agents in generating gradual change through ongoing struggles within and over institutional arrangements.

"Laying down the foundations of a critical sociological approach to the interdisciplinary domain of public policy, this insightful book presents the first systematic reflection on the use of Bourdieu's theory of social fields to analyse policy processes. Engaging with theoretical dimensions, it provides innovative methodological tools, both quantitative and qualitative in nature, to be used in the wider field of policy studies. Bringing together expert contributors from across the globe, the book explores a diverse range of case studies on various policy sectors and processes such as international policy circulation and policy implementation. Offering a wealth of critical analysis, chapters highlight the unsatisfactory nature of mainstream policy approaches and advocate for the use of Bourdieu's sociological theory to account for the social milieus, structures of relationships and power dynamics in which public policies are made. Encompassing numerous actors and groups, this theory enables a critical sociological understanding of policy orientations by unveiling the structures of relationships in policymaking. Innovative and perceptive in its approach, this book will prove to be an important resource for scholars and students interested in the fields of critical policy studies, public policy, public administration and management, and sociology"--

"Laying down the foundations of a critical sociological approach to the interdisciplinary domain of public policy, this insightful book presents the first systematic reflection on the use of Bourdieu's theory of social fields to analyse policy processes. Engaging with theoretical dimensions, it provides innovative methodological tools, both quantitative and qualitative in nature, to be used in the wider field of policy studies. Bringing together expert contributors from across the globe, the book explores a diverse range of case studies on various policy sectors and processes such as international policy circulation and policy implementation. Offering a wealth of critical analysis, chapters highlight the unsatisfactory nature of mainstream policy approaches and advocate for the use of Bourdieu's sociological theory to account for the social milieus, structures of relationships and power dynamics in which public policies are made. Encompassing numerous actors and groups, this theory enables a critical sociological understanding of policy orientations by unveiling the structures of relationships in policymaking. Innovative and perceptive in its approach, this book will prove to be an important resource for scholars and students interested in the fields of critical policy studies, public policy, public administration and management, and sociology"--

Ce manuscrit offre un voyage au cœur de la production des couleurs du monde occidental contemporain à travers l'exemple de la fabrication d'objets de l'art contemporain.0Quelles relations observe-t-on entre les techniques de production des couleurs et les pratiques artistiques modernes ? Entretiennent-elles des rapports de configuration réciproque ? Doit-on considérer la dimension matérielle de la couleur pour illuminer son caractère proprement social ? Voici quelques questions qui sont débattues dans ce manuscrit qui a pour ambition d'offrir un voyage au cœur de la production des couleurs du monde occidental contemporain à travers l'exemple de la fabrication d'objets de l'art contemporain. Dans ce travail, Arnaud Dubois déploie une nouvelle proposition analytique pour l'étude de la couleur en recourant à la notion "d'actes de couleur" - avec celles de "processus d'agglutination" et "d'actions sur la matière chromatique" - comme un nouvel outil théorique et méthodologique pour étudier les procédés de coloration. Penser la couleur comme un acte consiste à s'intéresser aux pratiques de colorisation et à décrire les situations de travail dans lesquelles sont effectués ces actes de couleur. Analyser les actes de couleur c'est donc en premier lieu s'intéresser aux moyens d'actions mis en œuvre par des acteurs multiples dans la coloration d'artefacts et repérer s'il existe des logiques d'actions chromatiques. Les 17 objets de couleurs qui sont étudiés dans cet ouvrage et les acteurs multiples liés de façon hétérogène à ces artefacts déploient alors un spectre large de pratiques et d'usages de la couleur fort utile pour comprendre, à partir d'un travail historique et ethnographique, la construction sociale de la couleur en Europe

Référendum sur le Brexit au Royaume-Uni en juin 2016, votation sur l' « immigration de masse » en février 2014 en Suisse, vives discussions sur les frontaliers à Genève ou au Tessin, crispations générales en Occident sur la thématique des migrations, remises en cause multiples du libre-échange : tous ces évènements récents ont remis la question des frontières sur le devant de la scène, après plusieurs décennies d'ouverture grandissante des frontières. Cet ouvrage aborde la thématique des frontières sous un angle individuel, en s'intéressant aux modes de vie des habitants d'une agglomération transfrontalière, en l'occurrence celle de Bâle. Ici, ce sont les pratiques du quotidien de part et d'autre de la frontière – le travail, les achats quotidiens ou encore les loisirs –, mais aussi les liens sociaux et affectifs des habitants de la métropole bâloise qui sont au coeur de l'analyse. Travail frontalier, tourisme d'achats, identité (transfrontalière), rapports linguistiques, mais aussi usages des modes et perception de la mobilité sont autant de thématiques traitées dans cet ouvrage. La métropole bâloise, au coeur de l'Europe, et en tant que pionnière en matière de coopération transfrontalière et de réseaux de transport transfrontaliers offre un cadre idoine pour explorer la question des frontières et de leurs implications dans la vie quotidienne des habitants. Différences territoriales entre les habitants des trois pays, différences sociales entre frontaliers et non-frontaliers, différences entre jeunes et moins jeunes, etc., les rapports à la frontière apparaissent largement individuels. Ainsi, l'un des points forts de cet ouvrage réside dans l'utilisation du concept de motilité, c'est-à-dire du potentiel individuel de mobilité, pour la compréhension des modes de vie dans les agglomérations transfrontalières.