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Dans toute technique il faut considérer l'instrument et la manière de s'en servir. Un perfectionnement du premier peut rendre possible une évolution de la seconde. La mécanographie électronique n'échappe pas à cette règle. Les machines ont été d'abord les ordinateurs dits de la première « génération », engins volumineux et lents équipés de lampes de T.S.F. La génération suivante a utilisé les transistors et nombre d'autres perfectionnements. Il en est résulté un abaissement important des prix de revient. Les premiers exemplaires d'une troisième « génération » de machines sortent actuellement des usines ; ils permettent des gains impressionnants. De plus leurs caractères techniques autorisent des travaux jusqu'à présent difficiles ou même impossibles.