Stock market fluctuations and consumption behaviour: some recent evidence
In: OECD working papers Vol. 6, No. 96
In: Economics Department working papers 208
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In: OECD working papers Vol. 6, No. 96
In: Economics Department working papers 208
In: Qui capture l’État ?, S. 41-41
In: Futuribles, Band 433, Heft 6, S. 5-17
Le vaste mouvement de mécontentement qui s'est manifesté en France au travers des manifestations des « gilets jaunes », initiées il y a un an maintenant, témoigne d'un fort sentiment d'abandon d'une partie de la société française. Si les situations des manifestants sont très diverses et leurs revendications parfois disparates, ce sentiment d'être acculé, de se trouver dans une sorte d'impasse socio-économique, est-il étayé par les observations statistiques ? À lire cet article de Laurence Boone et Antoine Goujard, il semble en effet que la France occupe une position particulière dans le monde développé, ne parvenant plus à faire fonctionner l'ascenseur social correctement ni à offrir une égalité des chances suffisante à chacun. S'appuyant sur des comparaisons internationales, cet article souligne la faible mobilité sociale au fil des générations et une inégalité des chances qui, en France, est perpétuée par le système éducatif et de formation. Autrement dit, ni l'École, ni le parcours dans l'emploi (quand on a la chance d'être actif) ne permettent aux personnes situées en bas de l'échelle sociale d'y progresser ; et si la redistribution et les transferts sociaux tempèrent un peu l'analyse, ils ne suffisent pas à rétablir une égalité des chances. Comme l'indiquent les auteurs dans leurs recommandations finales, seules des mesures substantielles de réforme dans le domaine de l'éducation tout au long de la vie seraient à même de changer la donne. S.D.
In: Futuribles: l'anticipation au service de l'action ; revue bimestrielle, Heft 433, S. 5-17
ISSN: 0183-701X, 0337-307X
World Affairs Online
In: Revue économique de l'OCDE, Band 2002, Heft 2, S. 197-224
ISSN: 1684-3444
In: OECD economic studies, Band 2002, Heft 2, S. 175-200
ISSN: 1609-7491
In: OECD journal: economic studies, Heft 2/35, S. 175-200
ISSN: 1995-2848, 0255-0822
World Affairs Online
In: Revue économique, Band 50, Heft 6, S. 1123-1137
ISSN: 1950-6694
Résumé La question de l'ancrage des monnaies des PECO à l'euro peut être envisagée sous l'angle de leur participation à une phase ultérieure de l'Union économique et monétaire (UEM). L'avantage de cette approche est de tenir compte de manière explicite du processus d'élargissement qui s'est traduit, lors du sommet de Copenhague, en juin 1993, par la désignation des pays susceptibles d'entrer dans l'UE. La discipline, imposée dans certains cas par la référence implicite à l'UEM, a accompagné favorablement le processus de transition. Mais c'est seulement lorsque la croissance redevient positive, et que l'inflation ne résulte plus essentiellement de l'ajustement des prix relatifs, que l'on peut se demander si l'ancrage des monnaies peut contribuer à la stabiliser encore davantage. L'analyse de la corrélation des cycles, qui s'inspire de la théorie des zones monétaires optimales (ZMO), fournit le cadre théorique pour répondre à cette question. Mesurée à partir de taux de chômage ou d'indices de production industrielle, elle souligne une proximité des PECO avec l'Allemagne, plus importante qu'avec l'Union européenne, et conclut que l'ancrage des monnaies est une option souhaitable pour les pays d'Europe centrale.
In: Revue économique, Band 50, Heft 6, S. 1123-1137
ISSN: 1950-6694
In: Journal of policy modeling: JPMOD ; a social science forum of world issues, Band 18, Heft 2, S. 141-155
ISSN: 0161-8938
In: Journal of policy modeling: JPMOD ; a social science forum of world issues, Band 18, Heft 2, S. 141-156
ISSN: 0161-8938
In: OECD economic studies, Band 2001, Heft 2, S. 171-216
ISSN: 1609-7491
In: Revue économique de l'OCDE, Band 2001, Heft 2, S. 185-232
ISSN: 1684-3444
In: OECD journal: economic studies, Band 33, S. 171-216
ISSN: 1995-2848, 0255-0822
Les auteurs font partie de l'équipe MIMOSA, commune au CEPII et à l'OFCE. ; Au moment où la Communauté s'apprête à définir les règles du futur pacte de stabilité, il est utile de recevoir sur l'ensemble du dispositif qui régira la politique économique dans l'Union monétaire. Tel qu'il se dessine actuellement, dans le cadre d'une union restreinte aux pays les plus "vertueux", il s'avère en effet fortement contraignant : les pays élus perdront non seulement la maîtrise de la politique monétaire, mais aussi, une part importante de leur marge de manœuvre budgétaire ; ceux, parmi les exclus, qui souhaiteront poursuivre la marche vers l'union monétaire, resteront quant à eux contraints par les critères du Traité, et se trouveront liés par un mécanisme de change inspiré du SMR (.).
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