Colette Leinman, Les Catalogues d'expositions surréalistes à Paris. 1924-1939
In: Idées ećonomiques et sociales
ISSN: 2116-5289
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In: Idées ećonomiques et sociales
ISSN: 2116-5289
In: Contemporary European history, Band 14, Heft 3, S. 391-402
ISSN: 1469-2171
The time has come for researchers into innovative movements in art and literature in the first half of the twentieth century to break free from traditional investigative frameworks. The works reviewed here belong to different disciplines – art history, literary history, literary criticism, history – but all show a shift of perspectives in the history of culture. They point to a reassessment of the theoretical models we use to understand modern art and literature. Those models are – in this case as they relate to the avant-garde – nuanced, refined, developed and sometimes even invalidated. Though some of these works are not wholly devoted to the European avant-gardes, they do deal with the international circulation of modern art in, to or from Europe, studied here in its lesser-known aspects. Moreover, they all to some extent examine the artist's responsibility to the community, or the state's responsibility to art. This theme of responsibility runs through all these works, either in its ethical dimension or as an aspect of the social function of art, especially when art has to confront an entertainment culture or is roped in as part of cultural policy.
In: Actes de la recherche en sciences sociales, Band 88, Heft 3, S. 48-60
ISSN: 1955-2564
In: Actes de la recherche en sciences sociales, Band 88, Heft 1, S. 48-60
ISSN: 1955-2564
Man Ray, los surrealistas y el cine de los años 20.
En el marco de un estudio sobre el grupo surrealista entre 1924 y 1929, este artículo se interroga acerca de la recepción, un tanto reservada que encuentran las películas de Man Ray entre los surrealistas. Ahora bien, este participa a las actividades del grupo como foógrafo y reivindica una inspiración surrealista para sus películas. El estudio de la carrera artística de Man Ray en esta época revela su posición dominada tanto al interior del grupo surrealista como en los medios artísticos en general : pintor sin éxito, reconvertido a pesar suyo a la fotografía, actividad sin valor artistico reconocido, trata de hacer una carrera de cineasta de vanguardia reclamándose del Surrealismo, y muy particularmente del "automatismo", de- fendido por los surrealistas como método de creación. Esta tentativa fracasará por dos razones : primero, va en contra de la estrategia de ruptura estética, puramente literaria, de los surrealistas que rechazan el "cine de arte" al provecho del cine popular percibido como un soporte espontaneo de poesía; segundo, reivindica la utilización del "automatismo" en el momento en que los surrealistas vuelven a acusarla.
Financement de la numérisation : fonds propres IIAC UMR8177 CNRS/EHESS. Tous mes remerciements à Jean-François Gossiaux, directeur du IIAC, pour sa générosité. ; La première Université d'été sur les musiques des jeunes a eu lieu du 7 au 11 juillet 1986 dans les locaux de l'Université de Haute-Bretagne (Rennes Il) où l'accueil et l'organisation furent remarquables. Conçue dans le cadre des développements de l'action culturelle dans les universités et des enseignements artistiques, ses organisateurs (J.-M. Lucas, assisté de Pierre Mayol, puis de Norbert Bandier, Gérard Bourgeat, Eliane Daphy, Jean-Rémi Julien et Patrick Mignon) l'ont voulu centrée sur le rock considérant qu'il est le genre musical le plus (ce qui ne signifie pas le seul) pratiqué par les jeunes, comme le montrent des chiffres cités plus loin. La passion de quelques-uns, multipliée par l'intérêt de tous et conjuguée à quelques brillantes démonstrations sonores (vidéo, disques, concerts.) ont permis d'accroître la connaissance d'un genre musical fréquemment entendu ou écouté,. mais peu connu dans les linéaments historiques, sociologiques, esthétiques ou économiques. Il convient de saluer tout particulièrement les commentaires chaleureux et érudits de Christophe Brault. D'autres Universités d'été, espérons-le, permettront une approche plus concrète et plus diversifiée des genres musicaux pratiqués par les jeunes (chant choral, pratique instrumentale, etc.). Ce document est donc un premier essai, assez complet tout de même puisqu'il contient des textes de chercheurs, des témoignages de professionnels, des compte-rendus d'expériences pédagogiques et d'ateliers techniques, ainsi que des éléments pour un débat politique et institutionnel. Les textes ont été corrigés par Eliane Daphy et, pour une bonne partie d'entre eux, réécrits par elle, surtout lorsqu'il s'agissait de documents enregistrés, tâche délicate, exigeant patience et compétence. Le Département des études et de la prospective du ministère de la Culture et de la Communication a accompagné ...
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Financement de la numérisation : fonds propres IIAC UMR8177 CNRS/EHESS. Tous mes remerciements à Jean-François Gossiaux, directeur du IIAC, pour sa générosité. ; La première Université d'été sur les musiques des jeunes a eu lieu du 7 au 11 juillet 1986 dans les locaux de l'Université de Haute-Bretagne (Rennes Il) où l'accueil et l'organisation furent remarquables. Conçue dans le cadre des développements de l'action culturelle dans les universités et des enseignements artistiques, ses organisateurs (J.-M. Lucas, assisté de Pierre Mayol, puis de Norbert Bandier, Gérard Bourgeat, Eliane Daphy, Jean-Rémi Julien et Patrick Mignon) l'ont voulu centrée sur le rock considérant qu'il est le genre musical le plus (ce qui ne signifie pas le seul) pratiqué par les jeunes, comme le montrent des chiffres cités plus loin. La passion de quelques-uns, multipliée par l'intérêt de tous et conjuguée à quelques brillantes démonstrations sonores (vidéo, disques, concerts.) ont permis d'accroître la connaissance d'un genre musical fréquemment entendu ou écouté,. mais peu connu dans les linéaments historiques, sociologiques, esthétiques ou économiques. Il convient de saluer tout particulièrement les commentaires chaleureux et érudits de Christophe Brault. D'autres Universités d'été, espérons-le, permettront une approche plus concrète et plus diversifiée des genres musicaux pratiqués par les jeunes (chant choral, pratique instrumentale, etc.). Ce document est donc un premier essai, assez complet tout de même puisqu'il contient des textes de chercheurs, des témoignages de professionnels, des compte-rendus d'expériences pédagogiques et d'ateliers techniques, ainsi que des éléments pour un débat politique et institutionnel. Les textes ont été corrigés par Eliane Daphy et, pour une bonne partie d'entre eux, réécrits par elle, surtout lorsqu'il s'agissait de documents enregistrés, tâche délicate, exigeant patience et compétence. Le Département des études et de la prospective du ministère de la Culture et de la Communication a accompagné cette Université d'été dès sa conception, contribuant à son élaboration, son organisation, son animation, ainsi qu'à la réalisation de ce document final. Nous remercions aussi la Direction de la musique et de la danse et le ministère de l'Education nationale, pour l'aide importante qu'ils ont accordée à cette expérience.
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Financement de la numérisation : fonds propres IIAC UMR8177 CNRS/EHESS. Tous mes remerciements à Jean-François Gossiaux, directeur du IIAC, pour sa générosité. ; La première Université d'été sur les musiques des jeunes a eu lieu du 7 au 11 juillet 1986 dans les locaux de l'Université de Haute-Bretagne (Rennes Il) où l'accueil et l'organisation furent remarquables. Conçue dans le cadre des développements de l'action culturelle dans les universités et des enseignements artistiques, ses organisateurs (J.-M. Lucas, assisté de Pierre Mayol, puis de Norbert Bandier, Gérard Bourgeat, Eliane Daphy, Jean-Rémi Julien et Patrick Mignon) l'ont voulu centrée sur le rock considérant qu'il est le genre musical le plus (ce qui ne signifie pas le seul) pratiqué par les jeunes, comme le montrent des chiffres cités plus loin. La passion de quelques-uns, multipliée par l'intérêt de tous et conjuguée à quelques brillantes démonstrations sonores (vidéo, disques, concerts.) ont permis d'accroître la connaissance d'un genre musical fréquemment entendu ou écouté,. mais peu connu dans les linéaments historiques, sociologiques, esthétiques ou économiques. Il convient de saluer tout particulièrement les commentaires chaleureux et érudits de Christophe Brault. D'autres Universités d'été, espérons-le, permettront une approche plus concrète et plus diversifiée des genres musicaux pratiqués par les jeunes (chant choral, pratique instrumentale, etc.). Ce document est donc un premier essai, assez complet tout de même puisqu'il contient des textes de chercheurs, des témoignages de professionnels, des compte-rendus d'expériences pédagogiques et d'ateliers techniques, ainsi que des éléments pour un débat politique et institutionnel. Les textes ont été corrigés par Eliane Daphy et, pour une bonne partie d'entre eux, réécrits par elle, surtout lorsqu'il s'agissait de documents enregistrés, tâche délicate, exigeant patience et compétence. Le Département des études et de la prospective du ministère de la Culture et de la Communication a accompagné cette Université d'été dès sa conception, contribuant à son élaboration, son organisation, son animation, ainsi qu'à la réalisation de ce document final. Nous remercions aussi la Direction de la musique et de la danse et le ministère de l'Education nationale, pour l'aide importante qu'ils ont accordée à cette expérience.
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Financement de la numérisation : fonds propres IIAC UMR8177 CNRS/EHESS. Tous mes remerciements à Jean-François Gossiaux, directeur du IIAC, pour sa générosité. ; La première Université d'été sur les musiques des jeunes a eu lieu du 7 au 11 juillet 1986 dans les locaux de l'Université de Haute-Bretagne (Rennes Il) où l'accueil et l'organisation furent remarquables. Conçue dans le cadre des développements de l'action culturelle dans les universités et des enseignements artistiques, ses organisateurs (J.-M. Lucas, assisté de Pierre Mayol, puis de Norbert Bandier, Gérard Bourgeat, Eliane Daphy, Jean-Rémi Julien et Patrick Mignon) l'ont voulu centrée sur le rock considérant qu'il est le genre musical le plus (ce qui ne signifie pas le seul) pratiqué par les jeunes, comme le montrent des chiffres cités plus loin. La passion de quelques-uns, multipliée par l'intérêt de tous et conjuguée à quelques brillantes démonstrations sonores (vidéo, disques, concerts.) ont permis d'accroître la connaissance d'un genre musical fréquemment entendu ou écouté,. mais peu connu dans les linéaments historiques, sociologiques, esthétiques ou économiques. Il convient de saluer tout particulièrement les commentaires chaleureux et érudits de Christophe Brault. D'autres Universités d'été, espérons-le, permettront une approche plus concrète et plus diversifiée des genres musicaux pratiqués par les jeunes (chant choral, pratique instrumentale, etc.). Ce document est donc un premier essai, assez complet tout de même puisqu'il contient des textes de chercheurs, des témoignages de professionnels, des compte-rendus d'expériences pédagogiques et d'ateliers techniques, ainsi que des éléments pour un débat politique et institutionnel. Les textes ont été corrigés par Eliane Daphy et, pour une bonne partie d'entre eux, réécrits par elle, surtout lorsqu'il s'agissait de documents enregistrés, tâche délicate, exigeant patience et compétence. Le Département des études et de la prospective du ministère de la Culture et de la Communication a accompagné cette Université d'été dès sa conception, contribuant à son élaboration, son organisation, son animation, ainsi qu'à la réalisation de ce document final. Nous remercions aussi la Direction de la musique et de la danse et le ministère de l'Education nationale, pour l'aide importante qu'ils ont accordée à cette expérience.
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Financement de la numérisation : fonds propres IIAC UMR8177 CNRS/EHESS. Tous mes remerciements à Jean-François Gossiaux, directeur du IIAC, pour sa générosité. ; La première Université d'été sur les musiques des jeunes a eu lieu du 7 au 11 juillet 1986 dans les locaux de l'Université de Haute-Bretagne (Rennes Il) où l'accueil et l'organisation furent remarquables. Conçue dans le cadre des développements de l'action culturelle dans les universités et des enseignements artistiques, ses organisateurs (J.-M. Lucas, assisté de Pierre Mayol, puis de Norbert Bandier, Gérard Bourgeat, Eliane Daphy, Jean-Rémi Julien et Patrick Mignon) l'ont voulu centrée sur le rock considérant qu'il est le genre musical le plus (ce qui ne signifie pas le seul) pratiqué par les jeunes, comme le montrent des chiffres cités plus loin. La passion de quelques-uns, multipliée par l'intérêt de tous et conjuguée à quelques brillantes démonstrations sonores (vidéo, disques, concerts.) ont permis d'accroître la connaissance d'un genre musical fréquemment entendu ou écouté,. mais peu connu dans les linéaments historiques, sociologiques, esthétiques ou économiques. Il convient de saluer tout particulièrement les commentaires chaleureux et érudits de Christophe Brault. D'autres Universités d'été, espérons-le, permettront une approche plus concrète et plus diversifiée des genres musicaux pratiqués par les jeunes (chant choral, pratique instrumentale, etc.). Ce document est donc un premier essai, assez complet tout de même puisqu'il contient des textes de chercheurs, des témoignages de professionnels, des compte-rendus d'expériences pédagogiques et d'ateliers techniques, ainsi que des éléments pour un débat politique et institutionnel. Les textes ont été corrigés par Eliane Daphy et, pour une bonne partie d'entre eux, réécrits par elle, surtout lorsqu'il s'agissait de documents enregistrés, tâche délicate, exigeant patience et compétence. Le Département des études et de la prospective du ministère de la Culture et de la Communication a accompagné ...
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Financement de la numérisation : fonds propres IIAC UMR8177 CNRS/EHESS. Tous mes remerciements à Jean-François Gossiaux, directeur du IIAC, pour sa générosité. ; La première Université d'été sur les musiques des jeunes a eu lieu du 7 au 11 juillet 1986 dans les locaux de l'Université de Haute-Bretagne (Rennes Il) où l'accueil et l'organisation furent remarquables. Conçue dans le cadre des développements de l'action culturelle dans les universités et des enseignements artistiques, ses organisateurs (J.-M. Lucas, assisté de Pierre Mayol, puis de Norbert Bandier, Gérard Bourgeat, Eliane Daphy, Jean-Rémi Julien et Patrick Mignon) l'ont voulu centrée sur le rock considérant qu'il est le genre musical le plus (ce qui ne signifie pas le seul) pratiqué par les jeunes, comme le montrent des chiffres cités plus loin. La passion de quelques-uns, multipliée par l'intérêt de tous et conjuguée à quelques brillantes démonstrations sonores (vidéo, disques, concerts.) ont permis d'accroître la connaissance d'un genre musical fréquemment entendu ou écouté,. mais peu connu dans les linéaments historiques, sociologiques, esthétiques ou économiques. Il convient de saluer tout particulièrement les commentaires chaleureux et érudits de Christophe Brault. D'autres Universités d'été, espérons-le, permettront une approche plus concrète et plus diversifiée des genres musicaux pratiqués par les jeunes (chant choral, pratique instrumentale, etc.). Ce document est donc un premier essai, assez complet tout de même puisqu'il contient des textes de chercheurs, des témoignages de professionnels, des compte-rendus d'expériences pédagogiques et d'ateliers techniques, ainsi que des éléments pour un débat politique et institutionnel. Les textes ont été corrigés par Eliane Daphy et, pour une bonne partie d'entre eux, réécrits par elle, surtout lorsqu'il s'agissait de documents enregistrés, tâche délicate, exigeant patience et compétence. Le Département des études et de la prospective du ministère de la Culture et de la Communication a accompagné cette Université d'été dès sa conception, contribuant à son élaboration, son organisation, son animation, ainsi qu'à la réalisation de ce document final. Nous remercions aussi la Direction de la musique et de la danse et le ministère de l'Education nationale, pour l'aide importante qu'ils ont accordée à cette expérience.
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Financement de la numérisation : fonds propres IIAC UMR8177 CNRS/EHESS. Tous mes remerciements à Jean-François Gossiaux, directeur du IIAC, pour sa générosité. ; La première Université d'été sur les musiques des jeunes a eu lieu du 7 au 11 juillet 1986 dans les locaux de l'Université de Haute-Bretagne (Rennes Il) où l'accueil et l'organisation furent remarquables. Conçue dans le cadre des développements de l'action culturelle dans les universités et des enseignements artistiques, ses organisateurs (J.-M. Lucas, assisté de Pierre Mayol, puis de Norbert Bandier, Gérard Bourgeat, Eliane Daphy, Jean-Rémi Julien et Patrick Mignon) l'ont voulu centrée sur le rock considérant qu'il est le genre musical le plus (ce qui ne signifie pas le seul) pratiqué par les jeunes, comme le montrent des chiffres cités plus loin. La passion de quelques-uns, multipliée par l'intérêt de tous et conjuguée à quelques brillantes démonstrations sonores (vidéo, disques, concerts.) ont permis d'accroître la connaissance d'un genre musical fréquemment entendu ou écouté,. mais peu connu dans les linéaments historiques, sociologiques, esthétiques ou économiques. Il convient de saluer tout particulièrement les commentaires chaleureux et érudits de Christophe Brault. D'autres Universités d'été, espérons-le, permettront une approche plus concrète et plus diversifiée des genres musicaux pratiqués par les jeunes (chant choral, pratique instrumentale, etc.). Ce document est donc un premier essai, assez complet tout de même puisqu'il contient des textes de chercheurs, des témoignages de professionnels, des compte-rendus d'expériences pédagogiques et d'ateliers techniques, ainsi que des éléments pour un débat politique et institutionnel. Les textes ont été corrigés par Eliane Daphy et, pour une bonne partie d'entre eux, réécrits par elle, surtout lorsqu'il s'agissait de documents enregistrés, tâche délicate, exigeant patience et compétence. Le Département des études et de la prospective du ministère de la Culture et de la Communication a accompagné cette Université d'été dès sa conception, contribuant à son élaboration, son organisation, son animation, ainsi qu'à la réalisation de ce document final. Nous remercions aussi la Direction de la musique et de la danse et le ministère de l'Education nationale, pour l'aide importante qu'ils ont accordée à cette expérience.
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Financement de la numérisation : fonds propres IIAC UMR8177 CNRS/EHESS. Tous mes remerciements à Jean-François Gossiaux, directeur du IIAC, pour sa générosité. ; La première Université d'été sur les musiques des jeunes a eu lieu du 7 au 11 juillet 1986 dans les locaux de l'Université de Haute-Bretagne (Rennes Il) où l'accueil et l'organisation furent remarquables. Conçue dans le cadre des développements de l'action culturelle dans les universités et des enseignements artistiques, ses organisateurs (J.-M. Lucas, assisté de Pierre Mayol, puis de Norbert Bandier, Gérard Bourgeat, Eliane Daphy, Jean-Rémi Julien et Patrick Mignon) l'ont voulu centrée sur le rock considérant qu'il est le genre musical le plus (ce qui ne signifie pas le seul) pratiqué par les jeunes, comme le montrent des chiffres cités plus loin. La passion de quelques-uns, multipliée par l'intérêt de tous et conjuguée à quelques brillantes démonstrations sonores (vidéo, disques, concerts.) ont permis d'accroître la connaissance d'un genre musical fréquemment entendu ou écouté,. mais peu connu dans les linéaments historiques, sociologiques, esthétiques ou économiques. Il convient de saluer tout particulièrement les commentaires chaleureux et érudits de Christophe Brault. D'autres Universités d'été, espérons-le, permettront une approche plus concrète et plus diversifiée des genres musicaux pratiqués par les jeunes (chant choral, pratique instrumentale, etc.). Ce document est donc un premier essai, assez complet tout de même puisqu'il contient des textes de chercheurs, des témoignages de professionnels, des compte-rendus d'expériences pédagogiques et d'ateliers techniques, ainsi que des éléments pour un débat politique et institutionnel. Les textes ont été corrigés par Eliane Daphy et, pour une bonne partie d'entre eux, réécrits par elle, surtout lorsqu'il s'agissait de documents enregistrés, tâche délicate, exigeant patience et compétence. Le Département des études et de la prospective du ministère de la Culture et de la Communication a accompagné cette Université d'été dès sa conception, contribuant à son élaboration, son organisation, son animation, ainsi qu'à la réalisation de ce document final. Nous remercions aussi la Direction de la musique et de la danse et le ministère de l'Education nationale, pour l'aide importante qu'ils ont accordée à cette expérience.
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