Réseaux personnels, réseaux sociaux
In: Bulletin of sociological methodology: Bulletin de méthodologie sociologique : BMS, Band 110, Heft 1, S. 5-10
ISSN: 2070-2779
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In: Bulletin of sociological methodology: Bulletin de méthodologie sociologique : BMS, Band 110, Heft 1, S. 5-10
ISSN: 2070-2779
In: Sciences humaines: SH, Band 264, Heft 11, S. 46-46
In: Vie sociale et traitements, Band 81, Heft 1, S. 44
ISSN: 1776-2898
In: Géoéconomie: revue trimestrielle, Band 69, Heft 2, S. 185
ISSN: 2258-7748
International audience ; Poster 1/ Action sécuritaire internationale en réseau : En Afrique de l'Est et dans l'océan Indien, deux dimensions du problème prévalent :- La fragilisation sécuritaire cumulative avec les crises politiques, ses conséquences économiques de longue durée (plus de 5 ans) et son impact régional : Soudan, Somalie, Madagascar- La régionalisation, voire l'interrégionalisation des crises sécuritaires : les coups d'Etat, les conflits armés et violents, les (dés)constructions étatiques et leurs conséquences internationales, l'expansion régionale rapide et exponentielle de la piraterie maritime et littorale, les dynamiques terroristes.La sécurité internationale, en termes de sécurité collective, devient l'objet d'actions et de politiques internationales publiques et privées de défense et sécurité, droit et justice, économique et budgétaire, sociale et humanitaire. En fait, elle est objet de stratégies, d'évaluations et de politiques publiques internationales. L'impact des restrictions budgétaires orientent les processus de décision et de gouvernance vers le choix d'accords, de mutualisation, de coalisation et de coopération sécurité défense en « interdépendance organisée plutôt que subie ». Poster 2/ Mise en réseau multilatéraux, régionaux et interrégionaux : La nouvelle dimension internationale de ce double phénomène d'insécurisation et sécurisation en réseaux en est l'émergence internationale, régionale, multilatérale, interrégionale et la mise en réseau des actions bilatérales.Ceci est observable et mesurable par les actions des acteurs en interaction avec les processus et les réseaux de sécurisation en Afrique de l'Est et de l'océan Indien : Soudan, Somalie, Kenya, Ethiopie, Golfe de Suez et Golfe d'Aden, Canal du Mozambique.Pour le secteur privé, sans sécurité, il n'y a pas de prospérité, d'où développement des forces privées de sécurité et des partenariats sécuritaires public/privé. Les sociétés civiles quant à elles, consolident une expertise humanitaire, scientifique et informative. Certaines ont considérablement renforcé leurs capacités d'évaluation des situations mais aussi des actions et politiques sécuritaires publiques et privées. Elles sont de plus en plus sollicitées dans les évaluations gouvernementales, parlementaires et politiques, nationales et internationales. Poster 3/ La politique sécuritaire africaine en réseaux de la France L'évolution de la politique africaine sécuritaire en réseaux de la France est marquée par l'européanisation, l'africanisation et la légitimation internationale des actions. Sa mise en cohérence avec l'action internationale de la France est la légitimation politique de l'influence au Conseil de Sécurité. En temps de paix, elle concourt à la construction de sécurité nationale, régionale et globale. En temps de crise politique et de conflits impactant la (dé)construction étatique, les Relations Internationales s'approprient la sécurité collective dans un cadre global et souvent dans des organisations opérationnelles ad hoc en interaction avec le Conseil de Sécurité des Nations Unies. Le positionnement de la France en Afrique de l'Est et de l'océan Indien est caractérisé par les territoires de la France de l'océan indien : La Réunion et Mayotte. Ils accueillent des bases militaires et sont aussi Régions Ultrapériphériques européennes. L'Afrique du Sud est un appui et un « interlocuteur privilégié ». Dans la corne de l'Afrique, il y a une base française par accord à Djibouti. Au large des côtes orientales de l'Afrique et jusqu'au Golfe d'Aden, la France a impulsé et participe à Atalante, opération maritime européenne EUNAVFOR. Elle a un partenariat maritime stratégique avec l'Inde, ALINDIEN. Elle participe aux forces et opérations onusiennes et au maillage anti-terroriste.
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International audience ; Poster 1/ Action sécuritaire internationale en réseau : En Afrique de l'Est et dans l'océan Indien, deux dimensions du problème prévalent :- La fragilisation sécuritaire cumulative avec les crises politiques, ses conséquences économiques de longue durée (plus de 5 ans) et son impact régional : Soudan, Somalie, Madagascar- La régionalisation, voire l'interrégionalisation des crises sécuritaires : les coups d'Etat, les conflits armés et violents, les (dés)constructions étatiques et leurs conséquences internationales, l'expansion régionale rapide et exponentielle de la piraterie maritime et littorale, les dynamiques terroristes.La sécurité internationale, en termes de sécurité collective, devient l'objet d'actions et de politiques internationales publiques et privées de défense et sécurité, droit et justice, économique et budgétaire, sociale et humanitaire. En fait, elle est objet de stratégies, d'évaluations et de politiques publiques internationales. L'impact des restrictions budgétaires orientent les processus de décision et de gouvernance vers le choix d'accords, de mutualisation, de coalisation et de coopération sécurité défense en « interdépendance organisée plutôt que subie ». Poster 2/ Mise en réseau multilatéraux, régionaux et interrégionaux : La nouvelle dimension internationale de ce double phénomène d'insécurisation et sécurisation en réseaux en est l'émergence internationale, régionale, multilatérale, interrégionale et la mise en réseau des actions bilatérales.Ceci est observable et mesurable par les actions des acteurs en interaction avec les processus et les réseaux de sécurisation en Afrique de l'Est et de l'océan Indien : Soudan, Somalie, Kenya, Ethiopie, Golfe de Suez et Golfe d'Aden, Canal du Mozambique.Pour le secteur privé, sans sécurité, il n'y a pas de prospérité, d'où développement des forces privées de sécurité et des partenariats sécuritaires public/privé. Les sociétés civiles quant à elles, consolident une expertise humanitaire, scientifique et informative. Certaines ont considérablement renforcé leurs capacités d'évaluation des situations mais aussi des actions et politiques sécuritaires publiques et privées. Elles sont de plus en plus sollicitées dans les évaluations gouvernementales, parlementaires et politiques, nationales et internationales. Poster 3/ La politique sécuritaire africaine en réseaux de la France L'évolution de la politique africaine sécuritaire en réseaux de la France est marquée par l'européanisation, l'africanisation et la légitimation internationale des actions. Sa mise en cohérence avec l'action internationale de la France est la légitimation politique de l'influence au Conseil de Sécurité. En temps de paix, elle concourt à la construction de sécurité nationale, régionale et globale. En temps de crise politique et de conflits impactant la (dé)construction étatique, les Relations Internationales s'approprient la sécurité collective dans un cadre global et souvent dans des organisations opérationnelles ad hoc en interaction avec le Conseil de Sécurité des Nations Unies. Le positionnement de la France en Afrique de l'Est et de l'océan Indien est caractérisé par les territoires de la France de l'océan indien : La Réunion et Mayotte. Ils accueillent des bases militaires et sont aussi Régions Ultrapériphériques européennes. L'Afrique du Sud est un appui et un « interlocuteur privilégié ». Dans la corne de l'Afrique, il y a une base française par accord à Djibouti. Au large des côtes orientales de l'Afrique et jusqu'au Golfe d'Aden, la France a impulsé et participe à Atalante, opération maritime européenne EUNAVFOR. Elle a un partenariat maritime stratégique avec l'Inde, ALINDIEN. Elle participe aux forces et opérations onusiennes et au maillage anti-terroriste.
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In: Projet: civilisation, travail, économie, Band 402, Heft 2, S. 22-26
ISSN: 2108-6648
L'approche transnationale des migrations, qui tient compte des liens tissés par les personnes entre deux pays, met au jour les effets émancipateurs du fait migratoire. Une émancipation néanmoins inégale.
International audience ; Poster 1/ Action sécuritaire internationale en réseau : En Afrique de l'Est et dans l'océan Indien, deux dimensions du problème prévalent :- La fragilisation sécuritaire cumulative avec les crises politiques, ses conséquences économiques de longue durée (plus de 5 ans) et son impact régional : Soudan, Somalie, Madagascar- La régionalisation, voire l'interrégionalisation des crises sécuritaires : les coups d'Etat, les conflits armés et violents, les (dés)constructions étatiques et leurs conséquences internationales, l'expansion régionale rapide et exponentielle de la piraterie maritime et littorale, les dynamiques terroristes.La sécurité internationale, en termes de sécurité collective, devient l'objet d'actions et de politiques internationales publiques et privées de défense et sécurité, droit et justice, économique et budgétaire, sociale et humanitaire. En fait, elle est objet de stratégies, d'évaluations et de politiques publiques internationales. L'impact des restrictions budgétaires orientent les processus de décision et de gouvernance vers le choix d'accords, de mutualisation, de coalisation et de coopération sécurité défense en « interdépendance organisée plutôt que subie ». Poster 2/ Mise en réseau multilatéraux, régionaux et interrégionaux : La nouvelle dimension internationale de ce double phénomène d'insécurisation et sécurisation en réseaux en est l'émergence internationale, régionale, multilatérale, interrégionale et la mise en réseau des actions bilatérales.Ceci est observable et mesurable par les actions des acteurs en interaction avec les processus et les réseaux de sécurisation en Afrique de l'Est et de l'océan Indien : Soudan, Somalie, Kenya, Ethiopie, Golfe de Suez et Golfe d'Aden, Canal du Mozambique.Pour le secteur privé, sans sécurité, il n'y a pas de prospérité, d'où développement des forces privées de sécurité et des partenariats sécuritaires public/privé. Les sociétés civiles quant à elles, consolident une expertise humanitaire, scientifique et informative. ...
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In: Revue française de sociologie, Band 37, Heft 1, S. 132
In: Genre & histoire: la revue de l'Association Mnémosyne, Heft 12-13
ISSN: 2102-5886
In: Politix: revue des sciences sociales du politique, Band 12, Heft 45, S. 39-55
ISSN: 0295-2319
«Political Networks and Corruption Networks in Naples».
Luigi Muse lia [39-55].
The judicial investigations on «exchange voting» and corruption in Naples reveal the importance taken in these practices, since the 1980's, by the political personalized networks. These networks link a political leader (head of a parti or a trend) to local elected representatives, managers, voters. They are maintened by continuous exchanges (bribe for allocation of a public contract, job for voting). This situation is contemporary of the apparition of a new political elite, less dependent upon the parties. It attests the weakening of party structures, in the benefit of political enterprises essentially based on personal relationship.
In: Recherches sociographiques, Band 17, Heft 2, S. 247-260
ISSN: 1705-6225
Sous l'influence première d'un article de Barnes (1954), les études anthropologiques sur les réseaux sociaux ont ouvert une voie de recherches qui apparaît encore pleine de promesses. Il faut bien avouer, pourtant, que jusqu'à maintenant peu d'analyses fondées sur des données empiriques ont emporté la conviction. Les études de réseaux n'ont pas encore fait la preuve de leur fécondité. Il leur manque un fondement théorique, pourtant disponible dans la théorie des graphes qui est justement une théorie des réseaux, qu'ils soient sociaux ou autres.
Comme l'a noté Mitchell, la jonction n'existe pas — ou pas assez — entre les spécialistes de la théorie des graphes et les chercheurs sur le terrain (1969, p. 35). Pourtant, quelques bons exposés ont été écrits par des anthropologues, qui indiquent bien ce qu'on pourrait tirer d'une utilisation plus poussée de la théorie des graphes (en particulier Mitchell, 1969; Barnes, 1969a; et surtout Barnes, 1972). Malgré ces mises en place, la plupart des études empiriques ne dépassent guère l'analyse situationnelle qui, comme le note Barnes (1972, p. 13), peut fort bien se passer de la notion de réseau, en plus d'être inapte au dégagement d'hypothèses générales.
Nous allons donner, à la fin de cet article, une brève illustration d'une étude proprement structurale des réseaux sociaux, au sens où l'entendent Harary, Norman et Cartwright (1968), dans leur ouvrage sur les graphes orientés. En utilisant des données recueillies sur le terrain, nous montrerons comment la notion d'articulation, tirée de la théorie des graphes, permet de poser et de traiter des problèmes théoriques, mais aussi pratiques, qui nous semblent propres aux réseaux sociaux. Auparavant, nous voudrions discuter de certaines questions préalables à une analyse vraiment spécifique des réseaux sociaux. Ils ont trait au concept même de réseau, à la constitution des unités d'analyse, et aux différentes voies d'analyse qui s'offrent au chercheur.
In: Medium: transmettre pour innover, Band 29, Heft 4, S. 84-98
ISSN: 1771-3757
Résumé L'ancienne diplomatie publique du temps de la guerre froide, qui envoyait des messages subversifs vers l'Est, se réadapte au monde des réseaux. Elle forme et finance les « blogueurs démocrates » présumés modernes, donc proaméricains, non sans arrière-pensées économiques.
In: Collection Jean-Paul Brodeur