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L arsenal des puissances nucléaires
In: L' année stratégique, Band 2002, S. 573-577
La puissance nucléaire américaine
In: Relations internationales: revue trimestrielle d'histoire, Heft 94, S. 143-158
ISSN: 0335-2013
Le Japon, future puissance nucléaire ?
In: Sécurité globale, Band 7, Heft 1, S. 89-103
ISSN: 2271-2194
À l'instar de la Corée du Sud et de Taiwan, le Japon dispose de la technologie pouvant lui permettre de mettre au point des capacités nucléaires dans des délais très brefs. Il appartient donc au gouvernement japonais de choisir ou non de se lancer dans un tel programme. Question de volonté politique donc ? Pas uniquement. Au-delà des choix stratégiques et de la perception de l'environnement sécuritaire à Tokyo, le Japon doit tenir compte de nombreux éléments, tels que l'image négative de l'arme nucléaire dans un pays qui en fut l'unique victime, le risque d'apparaître comme un pays proliférant, ou encore la crainte de voir le lien stratégique avec les États-Unis être remis en question. Il n'en demeure pas moins que la question fait une nouvelle fois débat, en marge des interrogations sur l'article 9 de la Constitution.
L' Iran, une puissance nucléaire?
In: Revue du marché commun et de l'Union Européenne, Heft N° 493, S. 649-657
ISSN: 0035-2616
World Affairs Online
Puissance nucléaire et pouvoir politique en Russie
In: Les champs de Mars: revue d'études sur la guerre et la paix, Band 5, Heft 1, S. 31-52
ISSN: 2427-3244
La possession de la bombe atomique est généralement associée à l'exercice d'un pouvoir politique fort et centralisé dans un État stable. Depuis la disparition de l'URSS, ces principes sont mis au défi de la libéralisation du régime politique et de l'affaiblissement de l'État en Russie. En termes d'organisation politique, la possession du nucléaire constitue l'un des déterminants de la restauration d'un contrôle présidentiel centralisé sur l'armée. Même si des conflits existent entre les acteurs de la politique militaire, ceux-ci correspondent aux pratiques observées en URSS et dans les autres puissances nucléaires. En ce qui concerne l'État, par contre, les changements sont importants. La Russie ne dispose plus des moyens financiers nécessaires à l'entretien de ses forces armées et les évolutions sociales et économiques depuis 1992 ne permettent plus au pouvoir de mener une gestion autoritaire des forces nucléaires. La question du nucléaire mérite ainsi d'être réévaluée à la lumière de la complexité politique de la Russie post-communiste.
L'Europe puissance nucléaire, cet obscur objet du désir
In: Critique internationale, Band 42, Heft 1, S. 141-163
ISSN: 1777-554X
Quel a été le rôle du réseau transnational de Jean Monnet dans la conduite des négociations entre Américains et Européens qui suivirent la signature du Traité Euratom de mars 1957 ? Plus précisément, comment la question du contrôle des usages des matières fissiles en Europe a-t-elle été négociée entre les États-Unis et la Communauté Euratom ? Il s'avère que Jean Monnet, la Maison Blanche et le Département d'État ont élaboré une tactique commune d'obscurcissement du projet européen, qui en masquait les enjeux militaires et stratégiques. Le choix de cette tactique d'énonciation fut en partie déterminé par l'opposition interne américaine, notamment de l'Atomic Energy Commission et du Congrès, au transfert de compétences, en termes de contrôle, des Américains aux Européens. Contrairement aux analyses néoréalistes de l'intégration européenne, qui toutes insistent sur la faible influence des réseaux transnationaux sur les décisions des gouvernements, cette analyse fait donc ressortir leur importance, laquelle, dans l'histoire de l'Europe, s'exerça moins dans les négociations intergouvernementales des traités européens, que dans les négociations transatlantiques, entre États-Unis et Europe, notamment à propos de la question nucléaire.
MONDE - En vérité - L'Inde, sixième puissance nucléaire
In: Jeune Afrique l'intelligent: hebdomadaire politique et économique international ; édition internationale, Heft 2330, S. 23
ISSN: 0021-6089
La Chine, puissance nucléaire: stabilisation régionale ou prolifération
In: Points sur l'Asie
2005 anno del Mediterraneo - L'Iran, nouvelle puissance nucléaire?
In: Rivista di studi politici internazionali: RSPI, Band 72, Heft 1, S. 85-98
ISSN: 0035-6611
La dissuasion nucléaire et les rapports sino-japonais: l'interaction entre une puissance nucléaire et une puissance non nucléaire en Asie de l'Est
In: Études internationales: revue trimestrielle, Band 28, S. 685-707
ISSN: 0014-2123
Analyzes the effect of Japan's policy of maintaining the option of developing nuclear weapons for purposes of defense on its relations with China, in the context of the general strategy of nuclear deterrence in East Asia and elsewhere upheld by the US. Summary in English.
La dissuasion nucléaire et les rapports sino-japonais - l'interaction entre une puissance nucléaire et une puissance non nucléaire en Asie de l'Est (Note)
In: Études internationales, Band 28, Heft 4, S. 685-709
ISSN: 1703-7891
Since the end of 1950s, the Japanese nuclear policy has consisted in keeping the legal option open for the development of the "defensive" nuclear weapons and maintaining a nuclear potential. The motivation of this" open nuclear option" of Japan would be mainly the development of the nuclear force of China. The us retreat of all the ground-launched and submarine-launched tactical nuclear weapons in 1991 implied the end of the age of dependence on tactical nuclear weapons for "war-fighting" in Asia. The conventional deterrence would already be sufficient for maintaining the stability of the East Asia. The mission of the extended nuclear deterrence of the United States could be reduced to Us vital role for countering only the nuclear attack of other country, not for any conventional attack. The controversies about the "antimissile defense" have influenced the security relationship between China and Japan. The important strategic significance of the antimissile defense for Beijing would be that a strategy of the first strike against China would be easier to consider. A theater missile defense in Japan would be less challenging for China and would be useful against the threat of missiles from North Korea. Nonetheless, a strategic missile defense could have a destabilizing impact on Sino-Japanese security relations. The Japanese nuclear policy would be a hind of "recessive deterrence" which operates by the potential and the possibility of developing nuclear weapons. The nuclear crisis in Korea provides a chance to observe the working dynamic of this deterrence. Owing to the worry about the nuclear proliferation of Japan, Tokyo finds it appropriate to ask Beijing to prevent the nuclear development of the North Korea and to maintain the credibility of the extended deterrence of the United States.
La dissuasion nucléaire et les rapports sino japonais - I'interaction entre une puissance nucléaire et une puissance non nucléaire en Asie de l'Est (Note)
In: Études internationales: revue trimestrielle, Band 28, Heft 4, S. 685-708
ISSN: 0014-2123
Entre légitime défense et état d'urgence: La pensée andersienne de l'agir politique contre la puissance nucléaire
Günther Anders has explained some polemical theses about the taboo of violence against the use of nuclear power in a conversation with Manfred Bissinger in December 1986. This conversation has triggered numerous reactions that were published in the book Gewalt –Ja oder nein. Eine notwendige Diskussion. In the course of this fascinating dialogue, Günther Anders clarified an original philosophical and political statement: according to him, it has become necessary to deal with a new form of political threat, because the nuclear one is the greatest threat that humanity has ever experienced. This threat, which I will call in this paper "passive legal violence", has begun in Hiroshima and Nagasaki. Then she continued to live with Chernobyl. This events were two of the most important philosophical "objects" that Günther Anders treated. With him, we would like to ask one question: what could we do against the nuclear threat? Would pacifism be adequate against a new Fukushima?
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