Enjeux de la planification territoriale en Europe
In: Espace en société
In: logique territoriale
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In: Espace en société
In: logique territoriale
In: Administration, Band 280, Heft 4, S. 71-73
Les dispositions de la loi Climat et Résilience de 2021 sur la réduction de moitié de la consommation d'espaces agricoles, naturels et forestiers à l'horizon 2021 et l'atteinte en 2050 du « zéro artificialisation nette » obligent à accentuer fortement les efforts consentis pour une gestion économe du foncier. Il faut construire de nouvelle pratique d'aménagement, fondée sur une vision de long terme des besoins et passant par une densification accrue. Une meilleure connaissance des marchés fonciers et de la consommation d'espace est indispensable pour que régions et intercommunalités, qui sont en responsabilité première via leurs outils respectifs de planification, opèrent des choix complètement éclairés. La révision des SRADDET, à l'initiative des régions, est la première étape qui sera suivie par celle des SCOT. L'enjeu global est porteur de choix politiques lourds sur la répartition du potentiel de consommation, renvoyant aux équilibres internes à chaque région ou chaque territoire de SCOT, mais aussi à l'évolution des formes urbaines et des relations villes-campagnes. Les collectivités disposent de marges d'appréciation, tenant compte notamment de la diversité des pratiques antérieures ou des objectifs de politique publique poursuivis (réindustrialisation par exemple). La démarche d'étude lancée par l'Observatoire des territoires et portée par l'ANCT vise à enrichir leur outillage par une analyse des pratiques identifiées aujourd'hui, des sources d'information disponibles ou des critères de choix mobilisables. Elle s'inscrit dans un travail conjoint entre l'État et les collectivités locales, indispensable pour atteindre les objectifs de la loi.
In: Politiques et management public: PMP, Band 16, Heft 1, S. 61-82
ISSN: 0758-1726
World Affairs Online
In: Economie et politique: EP ; revue marxiste d'économie, S. 133-151
ISSN: 0424-3218
La planification territoriale est un objet d'études que les chercheurs en sciences politiques abordent plutôt de façon indirecte ces dernières années (via un projet, un dispositif, un conflit, une directive européenne.) alors que dans les années 80, une véritable tradition d'analyse s'était structurée pour étudier la mise en œuvre des politiques publiques sur le cas français. Il s'agissait à l'époque de décrypter l'affrontement des expertises professionnalisées dans les arènes du commissariat général au Plan pour mieux comprendre le passage des problèmes vers des décisions publiques et les conditions de formulation des " missions d'intérêt général ". Des concepts stimulants ont vu le jour comme les référentiels, les médiateurs ou le rapport global-sectoriel, concepts qui ont durablement orienté les travaux consacrés à l'étude de la boîte noire de l'activité gouvernementale. Peut-être (c'est l'hypothèse défendue dans cette communication) la planification a-t-elle vocation à redevenir, avec la question territoriale, cet objet de recherche idéaltypique qui permet de décrire " les idées en action ". Dans une période de tournant néo-libéral marquée par la décentralisation et l'européanisation des politiques publiques, c'est aussi une bonne opportunité pour analyser les enjeux politiques de ce qu'il est convenu d'appeler la " gouvernance territoriale ". Cette hypothèse sera présentée en deux temps : en revenant d'abord sur les résultats saillants d'une enquête consacrée à la régionalisation de la politique des transports ferroviaires (enquête focalisée sur les sentiers, les tournois et les récits de l'action publique régionale), puis en se demandant dans un second temps si les discours sur le bien commun qui accompagnent cette forme d'émancipation territoriale ne préfigurent pas des dynamiques de réenchantement politique assez différenciées d'une configuration territoriale à l'autre.
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La planification territoriale est un objet d'études que les chercheurs en sciences politiques abordent plutôt de façon indirecte ces dernières années (via un projet, un dispositif, un conflit, une directive européenne.) alors que dans les années 80, une véritable tradition d'analyse s'était structurée pour étudier la mise en œuvre des politiques publiques sur le cas français. Il s'agissait à l'époque de décrypter l'affrontement des expertises professionnalisées dans les arènes du commissariat général au Plan pour mieux comprendre le passage des problèmes vers des décisions publiques et les conditions de formulation des " missions d'intérêt général ". Des concepts stimulants ont vu le jour comme les référentiels, les médiateurs ou le rapport global-sectoriel, concepts qui ont durablement orienté les travaux consacrés à l'étude de la boîte noire de l'activité gouvernementale. Peut-être (c'est l'hypothèse défendue dans cette communication) la planification a-t-elle vocation à redevenir, avec la question territoriale, cet objet de recherche idéaltypique qui permet de décrire " les idées en action ". Dans une période de tournant néo-libéral marquée par la décentralisation et l'européanisation des politiques publiques, c'est aussi une bonne opportunité pour analyser les enjeux politiques de ce qu'il est convenu d'appeler la " gouvernance territoriale ". Cette hypothèse sera présentée en deux temps : en revenant d'abord sur les résultats saillants d'une enquête consacrée à la régionalisation de la politique des transports ferroviaires (enquête focalisée sur les sentiers, les tournois et les récits de l'action publique régionale), puis en se demandant dans un second temps si les discours sur le bien commun qui accompagnent cette forme d'émancipation territoriale ne préfigurent pas des dynamiques de réenchantement politique assez différenciées d'une configuration territoriale à l'autre.
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La planification territoriale est un objet d'études que les chercheurs en sciences politiques abordent plutôt de façon indirecte ces dernières années (via un projet, un dispositif, un conflit, une directive européenne.) alors que dans les années 80, une véritable tradition d'analyse s'était structurée pour étudier la mise en œuvre des politiques publiques sur le cas français. Il s'agissait à l'époque de décrypter l'affrontement des expertises professionnalisées dans les arènes du commissariat général au Plan pour mieux comprendre le passage des problèmes vers des décisions publiques et les conditions de formulation des " missions d'intérêt général ". Des concepts stimulants ont vu le jour comme les référentiels, les médiateurs ou le rapport global-sectoriel, concepts qui ont durablement orienté les travaux consacrés à l'étude de la boîte noire de l'activité gouvernementale. Peut-être (c'est l'hypothèse défendue dans cette communication) la planification a-t-elle vocation à redevenir, avec la question territoriale, cet objet de recherche idéaltypique qui permet de décrire " les idées en action ". Dans une période de tournant néo-libéral marquée par la décentralisation et l'européanisation des politiques publiques, c'est aussi une bonne opportunité pour analyser les enjeux politiques de ce qu'il est convenu d'appeler la " gouvernance territoriale ". Cette hypothèse sera présentée en deux temps : en revenant d'abord sur les résultats saillants d'une enquête consacrée à la régionalisation de la politique des transports ferroviaires (enquête focalisée sur les sentiers, les tournois et les récits de l'action publique régionale), puis en se demandant dans un second temps si les discours sur le bien commun qui accompagnent cette forme d'émancipation territoriale ne préfigurent pas des dynamiques de réenchantement politique assez différenciées d'une configuration territoriale à l'autre.
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International audience ; This work examines the role of the interchange station in 14 PDU (urban travel plans) in conformity with law SRU. This article proposes to look further the way the French AOTU (urban transport organizing authority) think about the interchange station in the context of PDU development. One wonders whether the interchange station, beyond their participation in the « phraseology » of planning procedures, can constitute a new tool for the local public action or not. For that, a « deconstruction » of the PDU speech is carried out to inclu- de/understand if the interchange station incarnate problems of space and intersector integration in procedures which are supposed to implement these stakes. Concerning the space question, the analysis shows that the interchange station and the intermodality seldom appear in the PDU like vectors of interfaces between the institutions. Following the change of statute and perimeter of the AOTU, the projects of interchange station seem rather to be a tool of identification of the Community territory. At the intersector level, the PDU hardly identify « territorial nodes » which could be the support of the interface between town planning and transport. The PDU rather indicate their intention « to support the urbanization near lines of collective transport » as if the multiple joints of the networks did not have a particular role to play in the structuring of the territory. With final, the results of this research insist on the fact that, in the spirit of the PDU, the interchange station seem especially associated with construction with an "insular" model of city, while being used sometimes as a filter (via the Park-and-ride), sometimes as increaser accessibility in the center of the agglomeration and at all the scales. ; L'objet de ce travail est d'examiner la « mise en scène » des pôles d'échanges dans 14 plans de déplacements urbains (PDU) mis en conformité avec la loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbain). Cet article propose d'approfondir la manière dont les autorités organisatrices de transport urbain (AOTU) « pensent » les pôles d'échanges lors du contexte particulier que constitue l'élaboration du PDU. On se demande si les pôles d'échanges, au-delà de leur participation à la « phraséologie » des procédures de planification, peuvent constituer un nouvel outil pour l'action publique locale. Pour cela, une déconstruction du discours des projets de déplacements urbains est effectuée pour saisir si les pôles d'échanges incarnent des problématiques d'intégration spatiale et intersectorielle dans des procédures qui sont censées mettre en œuvre ces enjeux. Concernant la question spatiale, l'analyse montre que les pôles d'échanges et l'intermodalité apparaissent rarement dans les PDU comme des vecteurs d'interfaces entre les institutions. Suite aux changements de statuts et de périmètres des AOTU, les projets de pôles d'échanges semblent plutôt au service de l'identification du territoire communautaire. Au niveau intersectoriel, les PDU peinent à identifier des nodosités territoriales (selon l'expression de Claude Raffestin) qui pourraient en être le support de l'interface entre urbanisme et transport. Les PDU indiquent plutôt leur intention de « favoriser l'urbanisation à proximité de lignes de transport collectif » comme si les nœuds d'articulation des réseaux n'avaient pas de rôle particulier à jouer dans la structuration du territoire. Au final, les résultats de cette recherche insistent sur le fait que, dans l'esprit des PDU, les pôles d'échanges semblent surtout associés à la construction d'un modèle de ville « insulaire », en servant tantôt de filtre (via les parcs-relais), tantôt de démultiplicateur de l'accessibilité au centre de l'agglomération et à toutes les échelles.
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International audience ; This work examines the role of the interchange station in 14 PDU (urban travel plans) in conformity with law SRU. This article proposes to look further the way the French AOTU (urban transport organizing authority) think about the interchange station in the context of PDU development. One wonders whether the interchange station, beyond their participation in the « phraseology » of planning procedures, can constitute a new tool for the local public action or not. For that, a « deconstruction » of the PDU speech is carried out to inclu- de/understand if the interchange station incarnate problems of space and intersector integration in procedures which are supposed to implement these stakes. Concerning the space question, the analysis shows that the interchange station and the intermodality seldom appear in the PDU like vectors of interfaces between the institutions. Following the change of statute and perimeter of the AOTU, the projects of interchange station seem rather to be a tool of identification of the Community territory. At the intersector level, the PDU hardly identify « territorial nodes » which could be the support of the interface between town planning and transport. The PDU rather indicate their intention « to support the urbanization near lines of collective transport » as if the multiple joints of the networks did not have a particular role to play in the structuring of the territory. With final, the results of this research insist on the fact that, in the spirit of the PDU, the interchange station seem especially associated with construction with an "insular" model of city, while being used sometimes as a filter (via the Park-and-ride), sometimes as increaser accessibility in the center of the agglomeration and at all the scales. ; L'objet de ce travail est d'examiner la « mise en scène » des pôles d'échanges dans 14 plans de déplacements urbains (PDU) mis en conformité avec la loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbain). Cet article propose d'approfondir la manière dont les autorités organisatrices de transport urbain (AOTU) « pensent » les pôles d'échanges lors du contexte particulier que constitue l'élaboration du PDU. On se demande si les pôles d'échanges, au-delà de leur participation à la « phraséologie » des procédures de planification, peuvent constituer un nouvel outil pour l'action publique locale. Pour cela, une déconstruction du discours des projets de déplacements urbains est effectuée pour saisir si les pôles d'échanges incarnent des problématiques d'intégration spatiale et intersectorielle dans des procédures qui sont censées mettre en œuvre ces enjeux. Concernant la question spatiale, l'analyse montre que les pôles d'échanges et l'intermodalité apparaissent rarement dans les PDU comme des vecteurs d'interfaces entre les institutions. Suite aux changements de statuts et de périmètres des AOTU, les projets de pôles d'échanges semblent plutôt au service de l'identification du territoire communautaire. Au niveau intersectoriel, les PDU peinent à identifier des nodosités territoriales (selon l'expression de Claude Raffestin) qui pourraient en être le support de l'interface entre urbanisme et transport. Les PDU indiquent plutôt leur intention de « favoriser l'urbanisation à proximité de lignes de transport collectif » comme si les nœuds d'articulation des réseaux n'avaient pas de rôle particulier à jouer dans la structuration du territoire. Au final, les résultats de cette recherche insistent sur le fait que, dans l'esprit des PDU, les pôles d'échanges semblent surtout associés à la construction d'un modèle de ville « insulaire », en servant tantôt de filtre (via les parcs-relais), tantôt de démultiplicateur de l'accessibilité au centre de l'agglomération et à toutes les échelles.
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International audience ; This work examines the role of the interchange station in 14 PDU (urban travel plans) in conformity with law SRU. This article proposes to look further the way the French AOTU (urban transport organizing authority) think about the interchange station in the context of PDU development. One wonders whether the interchange station, beyond their participation in the « phraseology » of planning procedures, can constitute a new tool for the local public action or not. For that, a « deconstruction » of the PDU speech is carried out to inclu- de/understand if the interchange station incarnate problems of space and intersector integration in procedures which are supposed to implement these stakes. Concerning the space question, the analysis shows that the interchange station and the intermodality seldom appear in the PDU like vectors of interfaces between the institutions. Following the change of statute and perimeter of the AOTU, the projects of interchange station seem rather to be a tool of identification of the Community territory. At the intersector level, the PDU hardly identify « territorial nodes » which could be the support of the interface between town planning and transport. The PDU rather indicate their intention « to support the urbanization near lines of collective transport » as if the multiple joints of the networks did not have a particular role to play in the structuring of the territory. With final, the results of this research insist on the fact that, in the spirit of the PDU, the interchange station seem especially associated with construction with an "insular" model of city, while being used sometimes as a filter (via the Park-and-ride), sometimes as increaser accessibility in the center of the agglomeration and at all the scales. ; L'objet de ce travail est d'examiner la « mise en scène » des pôles d'échanges dans 14 plans de déplacements urbains (PDU) mis en conformité avec la loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbain). Cet article propose d'approfondir la manière dont ...
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À l'heure de la généralisation du Plan Local d'Urbanisme Intercommunal et de la lutte renforcée contre l'étalement urbain, l'agglomération toulousaine connaît une croissance démographique majeure nécessitant une importante construction de nouveaux logements. Une grande part de ces logements est construite dans le tissu urbain existant et hors opérations publiques d'aménagement. Cette « mutation urbaine en diffus » constitue une piste de densification spontanée et de renouvellement de la ville via la production résidentielle, mais elle doit faire l'objet d'une connaissance plus précise et être encadrée par les acteurs publics, afin de ne pas être une source d'« urbanisation sans urbanisme ». Ce projet de fin d'études analyse les mécanismes de cette production de logements en diffus et explore plusieurs pistes d'intégration de celle-ci aux politiques de planification territoriale et aux outils de projet urbain.
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À l'heure de la généralisation du Plan Local d'Urbanisme Intercommunal et de la lutte renforcée contre l'étalement urbain, l'agglomération toulousaine connaît une croissance démographique majeure nécessitant une importante construction de nouveaux logements. Une grande part de ces logements est construite dans le tissu urbain existant et hors opérations publiques d'aménagement. Cette « mutation urbaine en diffus » constitue une piste de densification spontanée et de renouvellement de la ville via la production résidentielle, mais elle doit faire l'objet d'une connaissance plus précise et être encadrée par les acteurs publics, afin de ne pas être une source d'« urbanisation sans urbanisme ». Ce projet de fin d'études analyse les mécanismes de cette production de logements en diffus et explore plusieurs pistes d'intégration de celle-ci aux politiques de planification territoriale et aux outils de projet urbain.
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Le poids des acteurs locaux sur les politiques de développement reste limité, y compris au sein des démarches dites participatives. L'amélioration de la distribution des pouvoirs entre encadrement technique et société civile est un enjeu fondamental, pour éviter les blocages, les replis identitaires et les utopies du "village planétaire". Le géographe devrait intégrer la dimension politique des territoires dans sa réflexion, et jouer un rôle clé dans l'émergence d'un nouveau type de processus démocratique, du local vers le global. Nous proposons sous le nom de planification territoriale ascendante une dynamique réellement endogène et interscalaire. Installer une dynamique locale implique alors trois hypothèses: le principe d'endogénéité des dynamiques locales, le principe de permanence de la démarche de planification, le caractère normalement ascendant d'une planification continue.
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Couverture -- Titre -- Copyright -- Table des matières -- Liste des acronymes -- Introduction -- PREMIÈRE PARTIE: Planification territoriale et métropolitaine -- Chapitre 1 40 ans de planification territoriale au Québec -- Chapitre 2 Métropolisation et planification territoriale: un nouveau laboratoire social -- Chapitre 3 Planification métropolitaine et débat public urbain en France -- Chapitre 4 La planification métropolitaine montréalaise à l'épreuve du tournant collaboratif -- DEUXIÈME PARTIE: Villes et débats publics -- Chapitre 5 Débat public et Plan de déplacements urbains en France -- Chapitre 6 Développement urbain durable, débat public et urbanisme à Montréal -- Chapitre 7 Le rôle de l'Office de consultation publique de Montréal -- Chapitre 8 Planification territoriale, pratiques démocratiques et arrondissements dans la nouvelle Ville de Montréal -- Chapitre 9 Patrimoine, débat public et renouvellement de l'urbanisme montréalais -- TROISIÈME PARTIE: Les projets urbains -- Chapitre 10 Transformation de deux anciens quartiers populaires à Paris et à Boston -- Chapitre 11 La planification des grands projets d'infrastructures routières au Québec -- Chapitre 12 L'effet structurant d'un projet urbain: le cas du Vieux-Port de Montréal -- Conclusion: Planification territoriale, débat public et développement durable: une triangulation complexe aux contours incertains -- Liste des collaborateurs.
Il governo autonomo della Catalogna ha assunto dal 1979 la competenza esclusiva inmateria di ordinamento territoriale e pianifi cazione urbanistica. Successivamente, nel1983, il Parlamento ha approvato la Legge sulla Politica Territoriale che ha introdottostrumenti specifi ci: il piano territoriale generale aff ronta il territorio della Catalogna nel suocomplesso, i piani territoriali settoriali si occupano dell'ordinamento di specifi ci settori e ipiani territoriali parziali sviluppano l'ordinamento generale in ambiti più ridotti. Il pianogenerale è stato approvato nel 1995 ed ha carattere programmatorio e strategico, mentrequelli parziali hanno un contenuto di marcato carattere fi sico, eredi della pianifi cazioneurbanistica. Dalla data di approvazione del Piano generale sono stati redatti, e sono oravigenti, piani settoriali e parziali mentre altri sono in corso di elaborazione, di cui si stannoverifi cando solo negli ultimi anni gli impatti sul territorio. ; El Gobierno Autonomo de Catalunya ha asumido a partir del 1979 las compencias en temade ordenacion del territorio y de planifi cacion urbanistica. A partir del 1983, el Parlament haaprobado la ley sobre la Politica Territorial de Catalunya que ha introducido instrumentosespecifi cos: el Plan Territorial General que mira al territorio de Catalunya en su conjunto, losPlanes Territoriales Sectoriales que se ocupan del ordenamiento de sectores especifi cos y losPlanes Territoriales Parciales que desarrollan la ordenacion general en ambitos mas reducidos.El Plan Territorial General ha sido aprobado en el 1995 tiene caracter programmatorio yestrategico, mientras los planes parciales tienen un contenido mas acentuadamente a caracterfi sico, erederos de la planifi cacion urbanistica. Desde la fecha de aprobacion del Plan Generalhan sido redactos, y son todavia vigentes, planes sectoriales y parciales mientras otros sonaun en proceso, de que solamente en los ultimos anos se estan verifi cando los impactos sobreel territorio. ; Since 1979 the government of Catalogna had exclusive competence on Regional andUrban planning. Later, in 1983, the Parliament approved the Law on Regional Politicsintroducing specifi c tools: the Regional Plan regarding Catalogna' territory as whole, theSectorial Regional Plans concerning specifi c sectors' management and the Partial UrbanPlans developing urban planning in restricted areas. Th e Regional Plan was approved in1995 and it has a strategic and economic character, the partial plans have a marked physicalcharacter according to traditional urban planning. At the moment, many sectorial andpartial plans have been approved and others are in progress, all of which impacts on theterritory are being verifi ed.
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