Sur la participation des classes populaires aux nouveaux « jeux électoraux »
In: Savoir/agir: revue trimestrielle de l'association savoir/agir, Band 1, Heft 1, S. 49-58
ISSN: 1958-5535
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In: Savoir/agir: revue trimestrielle de l'association savoir/agir, Band 1, Heft 1, S. 49-58
ISSN: 1958-5535
In: Genre & histoire: la revue de l'Association Mnémosyne, Heft 17
ISSN: 2102-5886
La participation populaire est un thème recurrent des politiques agricoles en Afrique subsaharienne. Ce regain d'intérêt semble lié à 3 facteurs principaux : le désengagement des Etats, la prise de conscience de la dégradation des ressources naturelles, enfin la participation populaire apparaît de plus en plus fréquemment comme le moyen d'accroître l'efficacité des actions entreprises et d'assurer la pérennité des résultats obtenus. Du point de vue opérationnel, le développement durable englobe des composantes écologiques, techniques économiques, sociales et institutionnelles. Entendue ainsi, la durabilité résulte de l'existance d'un potentiel et d'un ensemble de capacités. La préservation de ce potentiel, des capacités des acteurs locaux à s'adapter et à élaborer de nouvelles perspectives supposent la mobilisation effective et permanente des acteurs locaux. Dans une perspective et permanente des acteurs locaux. Dans une perspectives de développement durable, les modalités pour susciter la participation populaire se traduisent dans des approches dites de développement participatif, le plus souvent, de développement local
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In: Politique africaine, Band 144, Heft 4, S. 95-113
Au Malawi, les tissus politiques arborant les couleurs et symboles des partis sont omniprésents dans l'espace public en période électorale, mais également en dehors, au quotidien, allant jusqu'à pénétrer les espaces domestiques. Cet article considère les usages du pagne partisan par les élites politiques, les militants et les simples citoyens comme un moyen d'éclairer la fabrique des partis et leur ancrage social, ainsi que les différents modes de politisation et de participation politique des femmes des catégories populaires.
International audience ; Au Malawi, les tissus politiques arborant les couleurs et symboles des partis sont omniprésents dans l'espace public en période électorale, mais également en dehors, au quotidien, allant jusqu'à pénétrer les espaces domestiques. Cet article considère les usages du tissu partisan par les élites politiques, les militants et les simples citoyens comme un moyen d'éclairer la fabrique des partis et leur ancrage social, ainsi que les différents modes de politisation et de participation politique des femmes des catégories populaires.
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International audience ; Au Malawi, les tissus politiques arborant les couleurs et symboles des partis sont omniprésents dans l'espace public en période électorale, mais également en dehors, au quotidien, allant jusqu'à pénétrer les espaces domestiques. Cet article considère les usages du tissu partisan par les élites politiques, les militants et les simples citoyens comme un moyen d'éclairer la fabrique des partis et leur ancrage social, ainsi que les différents modes de politisation et de participation politique des femmes des catégories populaires.
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La crise de la délégation politique en milieux populaires On connait le processus d'invisibilisation et de disqualification du groupe ouvrier ; on est de plus en plus documenté sur les transformations objectives et subjectives de " la " classe ouvrière :une vaste synthèse sociologique vient d'en être récemment proposée 1. On sait le désarroi politique qui affecte les classes populaires contemporaines,dont le seul refuge est l'abstention massive et, plus nettement qu'auparavant, le vote « Front National » » 2 , à telle enseigne que Patrick Lehinguen'hésite pas à conclure : « pour tenter de rendre raison de ce qui, vu de loin, peut sembler déraisonnable, pour essayer de comprendre sans trop épingler, peut-être devrait-on retourner la problématique et à la sempiternelle question " pourquoi les classes populaires votent-elles FN ? " , préférer l'interrogation : " pourquoi et au nom de quoi ne le feraient-elles pas, quand tout y invite ? " 3 ou cette variante " à qui demeurer loyal aujourd'hui et pourquoi ? ».Dans ce contexte, il n'est pas rare qu'une certaine nostalgie d'une époque où « le mouvement ouvrier » était parvenu, au-delà de ses divisions et conflits internes, à détenir une certaine puissance et une certaine légitimité historique, s'exprime ouvertement. Pour légitime que puisse être la nostalgie, il faut néanmoins toujours rappeler qu'ellen'est souvent que « le regret stérile d'un passé imaginaire » selon la formule de Gérard Genette. En France, c'est principalement le Parti Communiste Français (PCF) (et secondairement la Section Française de l'Internationale Ouvrière-SFIO) qui est parvenu à promouvoir, former et légitimer des élites ouvrières militantes dans toutes les positions des champs politiques locaux et national (élus locaux, députés, sénateurs, ministres, dirigeants syndicalistes, dirigeants de multiples organisations de masse, etc.).
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La crise de la délégation politique en milieux populaires On connait le processus d'invisibilisation et de disqualification du groupe ouvrier ; on est de plus en plus documenté sur les transformations objectives et subjectives de " la " classe ouvrière :une vaste synthèse sociologique vient d'en être récemment proposée 1. On sait le désarroi politique qui affecte les classes populaires contemporaines,dont le seul refuge est l'abstention massive et, plus nettement qu'auparavant, le vote « Front National » » 2 , à telle enseigne que Patrick Lehinguen'hésite pas à conclure : « pour tenter de rendre raison de ce qui, vu de loin, peut sembler déraisonnable, pour essayer de comprendre sans trop épingler, peut-être devrait-on retourner la problématique et à la sempiternelle question " pourquoi les classes populaires votent-elles FN ? " , préférer l'interrogation : " pourquoi et au nom de quoi ne le feraient-elles pas, quand tout y invite ? " 3 ou cette variante " à qui demeurer loyal aujourd'hui et pourquoi ? ».Dans ce contexte, il n'est pas rare qu'une certaine nostalgie d'une époque où « le mouvement ouvrier » était parvenu, au-delà de ses divisions et conflits internes, à détenir une certaine puissance et une certaine légitimité historique, s'exprime ouvertement. Pour légitime que puisse être la nostalgie, il faut néanmoins toujours rappeler qu'ellen'est souvent que « le regret stérile d'un passé imaginaire » selon la formule de Gérard Genette. En France, c'est principalement le Parti Communiste Français (PCF) (et secondairement la Section Française de l'Internationale Ouvrière-SFIO) qui est parvenu à promouvoir, former et légitimer des élites ouvrières militantes dans toutes les positions des champs politiques locaux et national (élus locaux, députés, sénateurs, ministres, dirigeants syndicalistes, dirigeants de multiples organisations de masse, etc.).
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La crise de la délégation politique en milieux populaires On connait le processus d'invisibilisation et de disqualification du groupe ouvrier ; on est de plus en plus documenté sur les transformations objectives et subjectives de " la " classe ouvrière :une vaste synthèse sociologique vient d'en être récemment proposée 1. On sait le désarroi politique qui affecte les classes populaires contemporaines,dont le seul refuge est l'abstention massive et, plus nettement qu'auparavant, le vote « Front National » » 2 , à telle enseigne que Patrick Lehinguen'hésite pas à conclure : « pour tenter de rendre raison de ce qui, vu de loin, peut sembler déraisonnable, pour essayer de comprendre sans trop épingler, peut-être devrait-on retourner la problématique et à la sempiternelle question " pourquoi les classes populaires votent-elles FN ? " , préférer l'interrogation : " pourquoi et au nom de quoi ne le feraient-elles pas, quand tout y invite ? " 3 ou cette variante " à qui demeurer loyal aujourd'hui et pourquoi ? ».Dans ce contexte, il n'est pas rare qu'une certaine nostalgie d'une époque où « le mouvement ouvrier » était parvenu, au-delà de ses divisions et conflits internes, à détenir une certaine puissance et une certaine légitimité historique, s'exprime ouvertement. Pour légitime que puisse être la nostalgie, il faut néanmoins toujours rappeler qu'ellen'est souvent que « le regret stérile d'un passé imaginaire » selon la formule de Gérard Genette. En France, c'est principalement le Parti Communiste Français (PCF) (et secondairement la Section Française de l'Internationale Ouvrière-SFIO) qui est parvenu à promouvoir, former et légitimer des élites ouvrières militantes dans toutes les positions des champs politiques locaux et national (élus locaux, députés, sénateurs, ministres, dirigeants syndicalistes, dirigeants de multiples organisations de masse, etc.).
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La crise de la délégation politique en milieux populaires On connait le processus d'invisibilisation et de disqualification du groupe ouvrier ; on est de plus en plus documenté sur les transformations objectives et subjectives de " la " classe ouvrière :une vaste synthèse sociologique vient d'en être récemment proposée 1. On sait le désarroi politique qui affecte les classes populaires contemporaines,dont le seul refuge est l'abstention massive et, plus nettement qu'auparavant, le vote « Front National » » 2 , à telle enseigne que Patrick Lehinguen'hésite pas à conclure : « pour tenter de rendre raison de ce qui, vu de loin, peut sembler déraisonnable, pour essayer de comprendre sans trop épingler, peut-être devrait-on retourner la problématique et à la sempiternelle question " pourquoi les classes populaires votent-elles FN ? " , préférer l'interrogation : " pourquoi et au nom de quoi ne le feraient-elles pas, quand tout y invite ? " 3 ou cette variante " à qui demeurer loyal aujourd'hui et pourquoi ? ».Dans ce contexte, il n'est pas rare qu'une certaine nostalgie d'une époque où « le mouvement ouvrier » était parvenu, au-delà de ses divisions et conflits internes, à détenir une certaine puissance et une certaine légitimité historique, s'exprime ouvertement. Pour légitime que puisse être la nostalgie, il faut néanmoins toujours rappeler qu'ellen'est souvent que « le regret stérile d'un passé imaginaire » selon la formule de Gérard Genette. En France, c'est principalement le Parti Communiste Français (PCF) (et secondairement la Section Française de l'Internationale Ouvrière-SFIO) qui est parvenu à promouvoir, former et légitimer des élites ouvrières militantes dans toutes les positions des champs politiques locaux et national (élus locaux, députés, sénateurs, ministres, dirigeants syndicalistes, dirigeants de multiples organisations de masse, etc.).
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In: La politique africaine, Band 144, S. 95-113
ISSN: 0244-7827
World Affairs Online
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In: Politix: revue des sciences sociales du politique, Band 26, Heft 101, S. 7-215
ISSN: 0295-2319
World Affairs Online
In: L' homme et la société: revue internationale de recherches et de syntheses en sciences sociales, Band 197, Heft 3, S. 169-189