Feeding the World: An Economic History of World Agriculture, 1800-2000
In: Foreign affairs: an American quarterly review, Band 85, Heft 3, S. 154
ISSN: 2327-7793
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In: Foreign affairs: an American quarterly review, Band 85, Heft 3, S. 154
ISSN: 2327-7793
In: New studies in economic and social history 26
In: Problemy Dal'nego Vostoka: naučnyj, obščestvenno-političeskij žurnal, Heft 4, S. 99-110
The article critically analyzes the main theoretical concepts that are used in the study of the economic history of colonial Korea and attempts to provide a new perspective on this period. After the collapse of the Soviet Union, the concept of the so-called "non-linear" understanding of history emerged in Russian historical science. This approach is the most productive for analyzing world history. Within the framework of the "non-linear" understanding of history, the theory of the so-called "colonial mode of production" should be used to analyze such a complex socioeconomic and socio-political phenomenon of world history as colonialism. It breaks the previously dominant frame of "feudalism-capitalism" and defines the colonial economy as specific, with its peculiarities and laws. Moreover, colonialism, being a "dead end" in the process of historical development, cannot give rise to a new socio-economic system and leads only to the degradation of the colony's economy, even if there may be some development in certain periods and sectors. All theoretical concepts of Korean and Russian historical science have been based on the socalled "unilinear" understanding of the historical process, where one socio-economic system must be followed by the next, more progressive one. Previously, colonial Korea was perceived as either a "semi-feudal colonial" or "colonial capitalist" society, but this understanding limited the possibilities of socio-economic analysis and confined the economic history of colonial Korea within the "feudalism-capitalism" dichotomy. The article attempts to move beyond the above dichotomy by analyzing colonial Korea's agriculture using the theory of "colonial mode of production".
L'antiphysiocratie des saint-simoniens peut paraître assez naturelle. En effet, une doctrine saint-simonienne réputée pour son industrialisme utopiste ne pouvait, semble t-il, que s'opposer à ce que Smith a appelé le "système agricole". Cette interprétation, sans être totalement erronée, est une réduction abusive du point de vue saint-simonien. En effet, si, au début du XIXème siècle, les saint-simoniens peuvent être rangés dans la catégorie des "néo-smithiens" qui réfutent la thèse selon laquelle la terre est à l'origine de la richesse, ils le font à partir d'une approche spécifique, opposant oisifs et travailleurs. Cette partition modifie les débats classiques concernant le rôle des diverses classes et des revenus qui y sont associés, tout en légitimant un programme anti-physiocrate, opposé au rôle économique et politique des propriétaires fonciers. Pour autant, les saint-simoniens ne se contentent pas de cette opposition : ils soutiennent la méthode de Quesnay et sa définition de l'économie politique. Selon eux, il faut raisonner à partir d'un système, et une philosophie générale des rapports sociaux doit précéder la science des richesses. Même si la nature de cette philosophie diffère (droit naturel vs évolutionnisme historique et physiologique), cette communauté de vue revendiquée concernant la méthode et le refus d'autonomie de l'économie politique conduit les saint-simoniens à une définition et un usage originaux de leur antiphysiocratie, dans le contexte du premier tiers du XIXème siècle.
BASE
L'antiphysiocratie des saint-simoniens peut paraître assez naturelle. En effet, une doctrine saint-simonienne réputée pour son industrialisme utopiste ne pouvait, semble t-il, que s'opposer à ce que Smith a appelé le "système agricole". Cette interprétation, sans être totalement erronée, est une réduction abusive du point de vue saint-simonien. En effet, si, au début du XIXème siècle, les saint-simoniens peuvent être rangés dans la catégorie des "néo-smithiens" qui réfutent la thèse selon laquelle la terre est à l'origine de la richesse, ils le font à partir d'une approche spécifique, opposant oisifs et travailleurs. Cette partition modifie les débats classiques concernant le rôle des diverses classes et des revenus qui y sont associés, tout en légitimant un programme anti-physiocrate, opposé au rôle économique et politique des propriétaires fonciers. Pour autant, les saint-simoniens ne se contentent pas de cette opposition : ils soutiennent la méthode de Quesnay et sa définition de l'économie politique. Selon eux, il faut raisonner à partir d'un système, et une philosophie générale des rapports sociaux doit précéder la science des richesses. Même si la nature de cette philosophie diffère (droit naturel vs évolutionnisme historique et physiologique), cette communauté de vue revendiquée concernant la méthode et le refus d'autonomie de l'économie politique conduit les saint-simoniens à une définition et un usage originaux de leur antiphysiocratie, dans le contexte du premier tiers du XIXème siècle.
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L'antiphysiocratie des saint-simoniens peut paraître assez naturelle. En effet, une doctrine saint-simonienne réputée pour son industrialisme utopiste ne pouvait, semble t-il, que s'opposer à ce que Smith a appelé le "système agricole". Cette interprétation, sans être totalement erronée, est une réduction abusive du point de vue saint-simonien. En effet, si, au début du XIXème siècle, les saint-simoniens peuvent être rangés dans la catégorie des "néo-smithiens" qui réfutent la thèse selon laquelle la terre est à l'origine de la richesse, ils le font à partir d'une approche spécifique, opposant oisifs et travailleurs. Cette partition modifie les débats classiques concernant le rôle des diverses classes et des revenus qui y sont associés, tout en légitimant un programme anti-physiocrate, opposé au rôle économique et politique des propriétaires fonciers. Pour autant, les saint-simoniens ne se contentent pas de cette opposition : ils soutiennent la méthode de Quesnay et sa définition de l'économie politique. Selon eux, il faut raisonner à partir d'un système, et une philosophie générale des rapports sociaux doit précéder la science des richesses. Même si la nature de cette philosophie diffère (droit naturel vs évolutionnisme historique et physiologique), cette communauté de vue revendiquée concernant la méthode et le refus d'autonomie de l'économie politique conduit les saint-simoniens à une définition et un usage originaux de leur antiphysiocratie, dans le contexte du premier tiers du XIXème siècle.
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L'antiphysiocratie des saint-simoniens peut paraître assez naturelle. En effet, une doctrine saint-simonienne réputée pour son industrialisme utopiste ne pouvait, semble t-il, que s'opposer à ce que Smith a appelé le "système agricole". Cette interprétation, sans être totalement erronée, est une réduction abusive du point de vue saint-simonien. En effet, si, au début du XIXème siècle, les saint-simoniens peuvent être rangés dans la catégorie des "néo-smithiens" qui réfutent la thèse selon laquelle la terre est à l'origine de la richesse, ils le font à partir d'une approche spécifique, opposant oisifs et travailleurs. Cette partition modifie les débats classiques concernant le rôle des diverses classes et des revenus qui y sont associés, tout en légitimant un programme anti-physiocrate, opposé au rôle économique et politique des propriétaires fonciers. Pour autant, les saint-simoniens ne se contentent pas de cette opposition : ils soutiennent la méthode de Quesnay et sa définition de l'économie politique. Selon eux, il faut raisonner à partir d'un système, et une philosophie générale des rapports sociaux doit précéder la science des richesses. Même si la nature de cette philosophie diffère (droit naturel vs évolutionnisme historique et physiologique), cette communauté de vue revendiquée concernant la méthode et le refus d'autonomie de l'économie politique conduit les saint-simoniens à une définition et un usage originaux de leur antiphysiocratie, dans le contexte du premier tiers du XIXème siècle.
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In: The economic history review, Band 46, Heft 4, S. 843
ISSN: 1468-0289
In: The World of Economics, S. 143-148
In: The Princeton economic history of the western world
In: Working papers in economic history. Australian National University 12
In: The economic history review, Band 28, Heft 2, S. 323
ISSN: 1468-0289
In: Springer eBooks
In: Economics and Finance
1. Old Wealth Horse to New Wealth Ox -- 2. Settled Population -- 3. What Climatic Change during the First Global Age Tells Us -- 4. Emerging Seed Science in CFT -- 5. Drought - Enduring and Leguminous plants science -- 6. The Organization of CFT -- 7. Conclusion -- 8. Preface -- 9. Preparing the Seed Grain -- 10. Plowing the Soil -- 11. Cultivating Hemp -- 12. Cultivating Rice (Supplement: Upland Rice) -- 13. Cultivating Proso and Foxtail Millet -- 14. Cultivating Barnyard Grass -- 15. Cultivating Soybeans, Red Beans, and Mung Beans -- 16. Cultivating Barley and Wheat -- 17. Cultivating Sesame -- 18. Cultivating Buckwheat -- 19. Cultivating Cotton