Ingénierie sociale
In: Informations sociales, Band 173, Heft 5, S. 136-136
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In: Informations sociales, Band 173, Heft 5, S. 136-136
In: Schweizerische Ärztezeitung: SÄZ ; offizielles Organ der FMH und der FMH Services = Bulletin des médecins suisses : BMS = Bollettino dei medici svizzeri, Band 93, Heft 24, S. 929-930
ISSN: 1424-4004
In: Que sais-je, 2905
World Affairs Online
In: Recherches féministes, Band 15, Heft 1, S. 1-145
ISSN: 0838-4479
In: Politique européenne, Band 20, Heft 3, S. 33-54
ISSN: 2105-2875
Le gender mainstreaming, principe organisateur de la politique communautaire d'égalité entre les femmes et les hommes depuis les années 1990, vise à rendre visible la construction sociale des rapports de domination répercutés par les politiques publiques en interrogeant systématiquement ces dernières sur leurs effets différentiels sur la situation des femmes et des hommes. Le gender mainstreaming peut être qualifié d'instrument d'« ingénierie sociale ». L'objectif de cet article est de montrer que le processus d'instrumentation et les usages réalisés par les acteurs de la Commission européenne prennent une importance particulière concernant un instrument cherchant à agir sur les représentations et les hiérarchies sociales. Les effets de l'« ingénierie instrumentale » sont primordiaux.
In: Génie Atomique
Frontmatter -- Introduction -- Table des matières -- Auteurs -- Chapitre 1 : Les bases de la protection radiologique -- Partie I Grandeurs, dosimétrie et surveillance -- Chapitre 2 : Concepts de base -- Chapitre 3 : Grandeurs radiométriques et dosimétrie -- Chapitre 4 : Dosimétrie et surveillance pour l'exposition externe -- Chapitre 5 : Dosimétrie et surveillance pour l'expostion interne -- Partie II Ingénierie de la radioprotection -- Chapitre 6 : L'ingénierie de la radioprotection : généralités -- Chapitre 7 : Grandeurs physiques fondamentales et dérivées -- Chapitre 8 : Les sources de rayonnements -- Chapitre 9 : Méthodologie des études de protection -- Chapitre 10 : Propagation des rayonnements : méthodes et codes de calcul -- Chapitre 11 : Évolution isotopique : méthodes et codes de calcul -- Partie III Matériaux et dispositifs de radioprotection -- Chapitre 12 : Les matériaux de protection et leur utilisation -- Chapitre 13 : Les dispositifs de protection contre la contamination interne -- Partie IV Gestion du risque radiologique -- Chapitre 14 : Réglementation, organisation -- Chapitre 15 : Optimisation -- Annexe 1 - Les accidents radiologiques. Bilan de 50 ans d'accidents graves -- Annexe 2 - Introduction aux études d'incidence des rejets radioactifs -- Annexe 3 - Données complémentaires sur les sources de rayonnements -- Annexe 4 - Fonctions exponentielles intégrales -- Annexe 5 - Rappels élémentaires de probabilités et statistique
In: Vie sociale: cahiers du CEDIAS, Band 1, Heft 1, S. 33-39
Le Deis est un diplôme pertinent et impertinent qui, à terme, interrogera les modes d'organisation. En mettant en lumière le triptyque « expertise, ingénierie et évaluation », il participe à la construction du sens à donner à une direction. S'inscrivant dans une autre logique que celles de deux autres diplômes ( Cafdes et Caferuis ), il pointe à sa manière les enjeux stratégiques des projets d'entreprises sociales et de leurs axes de développement. Si on manque encore de recul pour examiner les trajectoires professionnelles des détenteurs du Deis , il sera intéressant d'observer ce que ce diplôme apporte, dans les enjeux de territorialisation, sur l'analyse des besoins des populations et l'élaboration des réponses institutionnelles.
In: Collection "Etudes autrichiennes", nouvelle série
In: Administration: revue de l'administration territoriale de l'état, Heft 248, S. 55-59
ISSN: 0223-5439
In: Revue française d'administration publique, Band 177, Heft 1, S. 153-169
Depuis le début des années 2010, l'affirmation des pouvoirs publics (État et collectivités territoriales) dans le domaine de la gestion des risques littoraux est manifeste. Cependant, l'inégale distribution de l'expertise et les relations entre ingénierie publique et ingénierie privée nous semblent avoir été trop peu analysées. Si, dans le cas de la Charente-Maritime étudié ici, le département est parvenu à gagner une compétence dans la gestion des risques littoraux grâce à son ingénierie, l'essentiel des savoirs, savoir-faire et moyens matériels nécessaires à la mise en œuvre de ces politiques est détenu par les bureaux d'études privés, ce qui nous conduit à formuler la thèse d'une privatisation de l'« État bleu ».
In: Multitudes, Band 56, Heft 2, S. 37-47
ISSN: 1777-5841
L'objectif de cet article est le repérage de la composante constructiviste du « discours dominant » qui, de Bruno Latour à la géo-ingénierie, conduit à la justification de l'Anthropocène et des délices du développement technologique débridé. J'appelle géo-constructivisme la politique globale qui a généré les changements climatiques et les solutions technologiques qui sont proposées pour les réguler.
International audience ; Delimitating the territory for a project often based on the argument of proximity encourages a unified volunteer engagement of the people living in the area. In this way, it is a system of reference on representations and values, epistemological options and praxeological orientations. Applied to territorial development, it maps out the range of perceptions of reality for scientists, politicians, development professionals and citizens in the territory. It structures the actions of the community by cognitively enriching the territorial development and its engineering, the first step towards pragmatic regulation of public action. However, the management of the interdependences and the growing technicality of territorial policies imply selecting the actors on the basis of competency, with abilities related to "knowledge of the territory". Thus, territory and proximity knowledge are linked to establish a domination based on the creation of a professionalization space for political careers of which the development agents, pivoting actors in territorial engineering, will appear at the top. For some of them, a logic of professionalization based on monopolizing knowledge and representations of territorial development joins the logic of monopolization of the representation of local society by the elected officials. Also, do professionals in the field of politics, either elected or non-elected, agree on the emphasis of proximity as a basis of their actions, badly hiding a vertical division of political work in which the manager of the territory is the elected one? This logic is reinforced by the agencification of public action that gives more to managerial knowledge than is due. In this way, proximity, non-political character and good practices support the locally elected official's personal legitimacy of his/her abilities to help the population beyond the partisan cleavage. It is consequently the institutionalization of local democracy under the form of a public space that is muffled since local democracy is supposed to be quenched when elected officials and citizens confront each other. This logic of proximity can hinder the opening of territorial development to the dilettantes' knowledge and participative democracy that involves the creation of a defined local public space defined as a place for debates and development of political opinions that question the legitimacy of power, representations and mobilized knowledge. In other words, reflexive knowledge by creating a territorial development public space compete with the mediatorial function of the elected official who holds the monopoly of the expression and translation of public opinion in order to produce public action. ; La création des territoires de projet est souvent justifiée par l'argument de proximité valorisant le volontarisme de l'action locale concertée. Dans cette perspective, elle constitue un référentiel articulant représentations et valeurs, options épistémologiques et orientations praxéologiques. Appliqué au développement territorial, elle balise le champ de perception de la réalité pour les scientifiques, les politiques, les professionnels du développement et les citoyens usagers du territoire. Elle structure l'action collective par l'enrichissement cognitif du développement territorial et de son ingénierie, premier pas vers la régulation pragmatique de l'action publique. Cependant, la gestion des interdépendances et la technicité croissante des politiques territoriales insinue une sélection des acteurs sur la base d'une compétence, d'une capacité intimement liée à la " connaissance du terrain ". Ainsi, territoire et savoirs de proximité se recoupent pour asseoir une domination fondée sur la création d'un espace de professionnalisation des métiers de la politique au premier rang desquels apparaissent les agents de développement, acteurs pivot de l'ingénierie territoriale. Pour une part d'entre eux, une logique de professionnalisation basée sur la monopolisation des savoirs et des représentations du développement territorial rejoint la logique de monopolisation de la représentation de la société locale par les élus. Aussi, professionnels de la politique élus et non élus s'accordent-ils sur la mise en valeur de la proximité comme fondement de leur action, cachant mal une division verticale du travail politique en vertu de laquelle le patron du territoire, c'est l'élu? Logique renforcée par l'agencification de l'action publique qui fait la part belle aux savoirs managériaux. Ainsi, proximité, apolitisme et bonnes pratiques appuient la légitimité personnelle de l'élu local sur sa capacité à rendre service à la population en dehors des clivages partisans. C'est en conséquence, l'institutionnalisation de la démocratie locale sous la forme d'un espace public qui est empêchée puisque la démocratie locale est censée s'épuiser dans le face à face élus-citoyens. Cette logique de proximité peut s'opposer à l'ouverture du développement territorial aux savoirs des dilettantes et à la démocratie participative qui supposent la création d'un espace public local défini comme un lieu de débat et de formation des opinions politiques qui questionne la légitimité du pouvoir, des représentations et savoirs mobilisés. Autrement dit, les savoirs réflexifs en créant un espace public de développement territorial concurrencent la fonction médiatrice de l'élu qui détient le monopole d'expression et de traduction de l'opinion publique dans la production d'action publique.
BASE
International audience ; Delimitating the territory for a project often based on the argument of proximity encourages a unified volunteer engagement of the people living in the area. In this way, it is a system of reference on representations and values, epistemological options and praxeological orientations. Applied to territorial development, it maps out the range of perceptions of reality for scientists, politicians, development professionals and citizens in the territory. It structures the actions of the community by cognitively enriching the territorial development and its engineering, the first step towards pragmatic regulation of public action. However, the management of the interdependences and the growing technicality of territorial policies imply selecting the actors on the basis of competency, with abilities related to "knowledge of the territory". Thus, territory and proximity knowledge are linked to establish a domination based on the creation of a professionalization space for political careers of which the development agents, pivoting actors in territorial engineering, will appear at the top. For some of them, a logic of professionalization based on monopolizing knowledge and representations of territorial development joins the logic of monopolization of the representation of local society by the elected officials. Also, do professionals in the field of politics, either elected or non-elected, agree on the emphasis of proximity as a basis of their actions, badly hiding a vertical division of political work in which the manager of the territory is the elected one? This logic is reinforced by the agencification of public action that gives more to managerial knowledge than is due. In this way, proximity, non-political character and good practices support the locally elected official's personal legitimacy of his/her abilities to help the population beyond the partisan cleavage. It is consequently the institutionalization of local democracy under the form of a public space that is muffled since local democracy is supposed to be quenched when elected officials and citizens confront each other. This logic of proximity can hinder the opening of territorial development to the dilettantes' knowledge and participative democracy that involves the creation of a defined local public space defined as a place for debates and development of political opinions that question the legitimacy of power, representations and mobilized knowledge. In other words, reflexive knowledge by creating a territorial development public space compete with the mediatorial function of the elected official who holds the monopoly of the expression and translation of public opinion in order to produce public action. ; La création des territoires de projet est souvent justifiée par l'argument de proximité valorisant le volontarisme de l'action locale concertée. Dans cette perspective, elle constitue un référentiel articulant représentations et valeurs, options épistémologiques et orientations praxéologiques. Appliqué au développement territorial, elle balise le champ de perception de la réalité pour les scientifiques, les politiques, les professionnels du développement et les citoyens usagers du territoire. Elle structure l'action collective par l'enrichissement cognitif du développement territorial et de son ingénierie, premier pas vers la régulation pragmatique de l'action publique. Cependant, la gestion des interdépendances et la technicité croissante des politiques territoriales insinue une sélection des acteurs sur la base d'une compétence, d'une capacité intimement liée à la " connaissance du terrain ". Ainsi, territoire et savoirs de proximité se recoupent pour asseoir une domination fondée sur la création d'un espace de professionnalisation des métiers de la politique au premier rang desquels apparaissent les agents de développement, acteurs pivot de l'ingénierie territoriale. Pour une part d'entre eux, une logique de professionnalisation basée sur la monopolisation des savoirs et des représentations du développement territorial rejoint la logique de monopolisation de la représentation de la société locale par les élus. Aussi, professionnels de la politique élus et non élus s'accordent-ils sur la mise en valeur de la proximité comme fondement de leur action, cachant mal une division verticale du travail politique en vertu de laquelle le patron du territoire, c'est l'élu? Logique renforcée par l'agencification de l'action publique qui fait la part belle aux savoirs managériaux. Ainsi, proximité, apolitisme et bonnes pratiques appuient la légitimité personnelle de l'élu local sur sa capacité à rendre service à la population en dehors des clivages partisans. C'est en conséquence, l'institutionnalisation de la démocratie locale sous la forme d'un espace public qui est empêchée puisque la démocratie locale est censée s'épuiser dans le face à face élus-citoyens. Cette logique de proximité peut s'opposer à l'ouverture du développement territorial aux savoirs des dilettantes et à la démocratie participative qui supposent la création d'un espace public local défini comme un lieu de débat et de formation des opinions politiques qui questionne la légitimité du pouvoir, des représentations et savoirs mobilisés. Autrement dit, les savoirs réflexifs en créant un espace public de développement territorial concurrencent la fonction médiatrice de l'élu qui détient le monopole d'expression et de traduction de l'opinion publique dans la production d'action publique.
BASE