Suchergebnisse

Je suis sûr que vous serez bien aise de savoir ce que notre Société de la Croix-Rouge a fait pour venir en aide aux victimes des inondations qui ont dévasté la Pennsylvanie, à une distance de 350 milles de notre ville.

Parmi les inondations qui se sont produites en mars et avril 1913 aux Etats-Unis, celle dans l'Etat de l'Ohio a été une des plus considérables et a nécessité une intervention rapide et énergique de la part de la Croix-Rouge.

Instruite par l'expérience faite au cours de l'hiver 1910, la Société française n'a pas attendu l'évènement pour se mettre à même de secourir les victimes des inondations possibles.

Les effets du changement climatique vont largement se faire ressentir dans les prochaines années, augmentant la violence des épisodes de type cévenol, renforçant le phénomène d'érosion côtière et augmentant l'alternance de périodes de « manque d'eau » et de « trop d'eau ». Les assureurs s'y préparent annonçant des chiffrages de dégâts très importants à l'aune de 2040 (13 milliards d'euros d'impacts projetés). Mais les chiffres de la vulnérabilité de notre territoire au risque inondation sont d'ores et déjà sans appel : 17 millions de personnes soumises potentiellement au risque de débordement de cours d'eau. Longtemps l'étude de l'aléa a primé sur celle de la vulnérabilité. La politique de prévention des risques d'inondation s'est caractérisée, depuis son origine par une place prépondérante donnée aux systèmes de protection. L'homme depuis toujours cherche à se protéger des aléas naturels, par des digues, barrages ou mesures structurelles lourdes. Il apparaît aujourd'hui nécessaire de mettre davantage l'accent sur d'autres axes de la politique de prévention. Le champ de la vulnérabilité reste un champ à explorer et qui n'a pas encore laissé entrevoir tous ses bénéfices. Le Conseil de l'Union européenne et le Parlement ont adopté une Directive sur la prévention et la gestion des conséquences négatives des inondations par les territoires. Ce ne sont pas les inondations en elles-mêmes qui posent problème mais les conséquences dommageables qu'elles produisent sur des territoires mal préparés à les supporter. Même si l'action sur les phénomènes physiques reste très attractive, des actions de réduction de la vulnérabilité se multiplient. Mais l'héritage de notre passé justifie encore la place accordée aux systèmes de protection. Au regard de ces constats, la compétence GEMAPI (gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations) pose questions. L'arsenal réglementaire sur les ouvrages couplé à cette compétence, présente un intérêt certain pour l'amélioration des connaissances et le partage d'informations. Le ...

Résumé De tous les « médias papier », la presse est le plus diversifié. Elle présente donc le plus large spectre d'évolutions possibles. Si la dichotomie presse quotidienne/presse magazine reste essentielle, il faut aussi prendre en compte la périodicité des titres et détailler les réponses des acteurs au défi du numérique, entre le « tout électronique » et l'objet magazine. La dynamique de l'offre sera sanctionnée par les usages et les modèles économiques.

Master ; Les politiques publiques actuelles de gestion du risque inondation en France sont le résultat d'un changement de paradigme récent qui vise, dans une approche plus globale, à restaurer les champs d'expansion des crues, réglementer l'entretien et l'aménagement des cours d'eau et répartir le risque inondation sur l'ensemble du bassin versant. Les espaces agricoles se trouvent ainsi souvent exposés artificiellement à une sur-inondation, en tant que champs d'expansion des crues, dans le but de protéger les zones urbaines et aval. On compte alors sur leur capacité à rester en place durablement et à retrouver un fonctionnement normal après le passage des inondations. Or, ces dernières ont des impacts non négligeables qui sont encore assez mal connus. C'est la raison qui a amené les chercheurs de l'équipe G-eau Inondation de l'INRAE à œuvrer pour mieux connaître ces impacts. Des retours d'expériences post-inondation menés à court, moyen et long termes ont mis en avant qu'il s'agit de phénomènes complexes. Les chercheurs ont alors construit depuis 2019 une nouvelle démarche d'observation, appelée Réseau d'Observateurs des Impacts des inondations. Il s'agit d'un projet de sciences participatives, qui vise à nouer des partenariats entre agriculteurs et chercheurs pour suivre annuellement l'évolution d'exploitations agricoles sur un temps long (15 ans) en rapport aux événements d'inondation. Ce projet a vu le jour dans le cadre d'un observatoire, le système d'observation des impacts des inondations, dont le territoire d'étude est centré autour de Montpellier et de ses espaces périurbains. La première étape de développement de ce réseau a consisté en une enquête auprès d'agriculteurs touchés, afin de comprendre leur situation face à ce risque naturel et leur intérêt potentiel pour le projet. Elle a permis de rassembler plusieurs candidats au réseau. D'autre part, le recueil des attentes des chercheurs et des agriculteurs envers ce réseau a permis la formulation de recommandations afin que ce projet de sciences ...

Master ; Les politiques publiques actuelles de gestion du risque inondation en France sont le résultat d'un changement de paradigme récent qui vise, dans une approche plus globale, à restaurer les champs d'expansion des crues, réglementer l'entretien et l'aménagement des cours d'eau et répartir le risque inondation sur l'ensemble du bassin versant. Les espaces agricoles se trouvent ainsi souvent exposés artificiellement à une sur-inondation, en tant que champs d'expansion des crues, dans le but de protéger les zones urbaines et aval. On compte alors sur leur capacité à rester en place durablement et à retrouver un fonctionnement normal après le passage des inondations. Or, ces dernières ont des impacts non négligeables qui sont encore assez mal connus. C'est la raison qui a amené les chercheurs de l'équipe G-eau Inondation de l'INRAE à œuvrer pour mieux connaître ces impacts. Des retours d'expériences post-inondation menés à court, moyen et long termes ont mis en avant qu'il s'agit de phénomènes complexes. Les chercheurs ont alors construit depuis 2019 une nouvelle démarche d'observation, appelée Réseau d'Observateurs des Impacts des inondations. Il s'agit d'un projet de sciences participatives, qui vise à nouer des partenariats entre agriculteurs et chercheurs pour suivre annuellement l'évolution d'exploitations agricoles sur un temps long (15 ans) en rapport aux événements d'inondation. Ce projet a vu le jour dans le cadre d'un observatoire, le système d'observation des impacts des inondations, dont le territoire d'étude est centré autour de Montpellier et de ses espaces périurbains. La première étape de développement de ce réseau a consisté en une enquête auprès d'agriculteurs touchés, afin de comprendre leur situation face à ce risque naturel et leur intérêt potentiel pour le projet. Elle a permis de rassembler plusieurs candidats au réseau. D'autre part, le recueil des attentes des chercheurs et des agriculteurs envers ce réseau a permis la formulation de recommandations afin que ce projet de sciences ...