Cet article a pour objectif de proposer une étude sur le concept de gouvernance internationale. Ce dernier fait partie de nouveaux paradigmes utilisés en politique internationale dans le cadre de la mondialisation des droits de l'homme et de la démocratie. Dans un premier temps, nous étudions le terme de gouvernance et ses nuances avec le terme de gouvernement. Dans un deuxième temps, nous nous penchons sur l'usage du concept de gouvernance internationale. Enfin, dans un troisième temps, nous évoquons la question de savoir comment concevoir une bonne gouvernance internationale.
International audience ; L'ouvrage de Stevenson et Drysek, Democratizing Global Climate Governance, part du constat –unanimement partagé– de la panne des négociations internationales sur le climat. Après le semi-échec qu'a représenté la conférence de Copenhague, en 2009, la capacité de ce processus onusien à produire un nouvel accord a été largement contestée. Le consensus est en effet requis pour la prise de décision, alors que la Convention-cadre sur les changements climatiques de 1992 compte 196 Parties dont les situations, capacités, points de vue et stratégies sont bien différents, voire opposés. Il est, pour le moins, difficile d'avancer dans ces conditions. Pourtant, un temps fragilisé, le processus a été relancé l'année suivante à Cancun. À Durban, un an plus tard, la décision a été prise de continuer le Protocole de Kyoto pour une seconde période d'engagement (.).
International audience ; L'ouvrage de Stevenson et Drysek, Democratizing Global Climate Governance, part du constat –unanimement partagé– de la panne des négociations internationales sur le climat. Après le semi-échec qu'a représenté la conférence de Copenhague, en 2009, la capacité de ce processus onusien à produire un nouvel accord a été largement contestée. Le consensus est en effet requis pour la prise de décision, alors que la Convention-cadre sur les changements climatiques de 1992 compte 196 Parties dont les situations, capacités, points de vue et stratégies sont bien différents, voire opposés. Il est, pour le moins, difficile d'avancer dans ces conditions. Pourtant, un temps fragilisé, le processus a été relancé l'année suivante à Cancun. À Durban, un an plus tard, la décision a été prise de continuer le Protocole de Kyoto pour une seconde période d'engagement (.).
International audience ; L'ouvrage de Stevenson et Drysek, Democratizing Global Climate Governance, part du constat –unanimement partagé– de la panne des négociations internationales sur le climat. Après le semi-échec qu'a représenté la conférence de Copenhague, en 2009, la capacité de ce processus onusien à produire un nouvel accord a été largement contestée. Le consensus est en effet requis pour la prise de décision, alors que la Convention-cadre sur les changements climatiques de 1992 compte 196 Parties dont les situations, capacités, points de vue et stratégies sont bien différents, voire opposés. Il est, pour le moins, difficile d'avancer dans ces conditions. Pourtant, un temps fragilisé, le processus a été relancé l'année suivante à Cancun. À Durban, un an plus tard, la décision a été prise de continuer le Protocole de Kyoto pour une seconde période d'engagement (.).
International audience ; L'ouvrage de Stevenson et Drysek, Democratizing Global Climate Governance, part du constat –unanimement partagé– de la panne des négociations internationales sur le climat. Après le semi-échec qu'a représenté la conférence de Copenhague, en 2009, la capacité de ce processus onusien à produire un nouvel accord a été largement contestée. Le consensus est en effet requis pour la prise de décision, alors que la Convention-cadre sur les changements climatiques de 1992 compte 196 Parties dont les situations, capacités, points de vue et stratégies sont bien différents, voire opposés. Il est, pour le moins, difficile d'avancer dans ces conditions. Pourtant, un temps fragilisé, le processus a été relancé l'année suivante à Cancun. À Durban, un an plus tard, la décision a été prise de continuer le Protocole de Kyoto pour une seconde période d'engagement (.).
Résumé L'Internet est entré dans la vie des hommes, des entreprises et des États, suscitant d'inévitables problèmes de pouvoir. Comment, par exemple, protéger le citoyen dans la sphère administrative ou commerciale ? Les logiciels libres sont-ils un élément nécessaire de la souveraineté numérique ? Comment assurer le gouvernement global de l'Internet ? Le « territoire nouveau » de l'information doit être administré dans le cadre d'une logique nouvelle, articulant institutions privées et publiques.
The World Summit on the Information Society, held in Geneva in 2003 & in Tunis in 2005, has been the greatest summit ever organized by the UN, by the number of members of "civil society." It shows a true awareness on the Internet governance subject. The Athens Forum, which will be held October 30th 2006, will perhaps be the place where tensions & tectonic moves that shake the Internet will express themselves. Between Tunis & Athens, the problem of the political stakes of the Internet comes back to the table. As Internet has become the nervous system of our societies, it is not surprising that it raises serious questions on power, at a world level, & therefore that it raises geopolitical questions. Adapted from the source document.
La biodiversité est devenue un enjeu majeur des relations internationales. La nécessité d'assurer la sécurité alimentaire mondiale et le développement des biotechnologies ont transformé la diversité biologique en ressource économique. Mais les ressources nécessaires à son exploitation sont inégalement réparties. Les capitaux et l'industrie se trouvent au Nord, la matière première au Sud. L'industrie et les pays du Nord se trouvent dans une situation de dépendance stratégique. La solution consiste à mettre en place, dans le cadre de l'ordre économique mondial, un régime qui assure la conservation de cette ressource, permette son accès et offre des compensations aux pays du Sud. Ce régime a émergé dans une situation d'hégémonie et ses modalités reflètent la distribution asymétrique du pouvoir dans le champ de la biodiversité. Il tend aujourd'hui vers une situation de gouvernance, dans laquelle le pouvoir est plus diffus. Ces trois instruments théoriques, les champs sociaux, les régimes internationaux et la gouvernance, et leur articulation peuvent apporter une contribution à une économie politique internationale de la biodiversité, nécessaire d'un point de vue réaliste.
Face aux dysfonctionnements du système et au manque d'efficacité apparent des régimes internationaux de protection de l'environnement, la communauté internationale s'efforce, depuis 2001, d'élaborer les contours d'une réforme qui demeure élusive. Si le processus engagé par le pnue, l'onu et les initiatives franco-allemandes ont redynamisé le débat sur la gouvernance de l'environnement, les conditions ne sont pas réunies pour la mise en place d'un modèle plus centralisé. Les impasses actuelles et les progrès limités depuis le Sommet de Johannesburg de 2002 montrent la nécessité de réfléchir à des modes de gouvernance différents de ceux qui ont servi de modèle et s'avèrent des carcans plutôt que des moyens d'avancer vers la définition collective d'un bien commun en matière d'environnement.