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International audience ; C'est dans le Midi que Marianne Caron-Leulliez a effectué sa carrière et à pris sa retraite. C'est aussi le Midi qui a été le principal terrain de ses recherches. L'ouvrage qui lui est offert, privilégie donc l'histoire de la France méridionale depuis le XVIIIe siècle, en s'attachant plus particulièrement aux phénomènes politiques, qui ont prioritairement retenu l'attention de l'historienne.

International audience ; C'est dans le Midi que Marianne Caron-Leulliez a effectué sa carrière et à pris sa retraite. C'est aussi le Midi qui a été le principal terrain de ses recherches. L'ouvrage qui lui est offert, privilégie donc l'histoire de la France méridionale depuis le XVIIIe siècle, en s'attachant plus particulièrement aux phénomènes politiques, qui ont prioritairement retenu l'attention de l'historienne.

International audience ; Au moment où une équipe de recherches parisienne prépare un volume sur l'Europe des Diètes, les historiens modernistes de l'Université Paul Valéry nous offrent ici un recueil qui met en valeur l'importance des Assemblées d'États dans la France d'Ancien régime. Ces communications, présentées lors du colloque tenu à Montpellier en mars 1994, s'inscrivent dans un courant très novateur, car elles remettent largement en cause une idée communément reçue concernant la monarchie d'Ancien régime, encore défendue en 1969 par Georges Durand : un roi, des ministres qui ne sont que des commis, des conseils qui ne sont que des bureaux, un parlement qui, politiquement, n'est plus qu'un greffe, une hiérarchie de tribunaux et d'institutions financières appliquant les édits et exécutant les exigences du Brevet de la taille autant que l'économie pouvait le supporter.

International audience ; Au moment où une équipe de recherches parisienne prépare un volume sur l'Europe des Diètes, les historiens modernistes de l'Université Paul Valéry nous offrent ici un recueil qui met en valeur l'importance des Assemblées d'États dans la France d'Ancien régime. Ces communications, présentées lors du colloque tenu à Montpellier en mars 1994, s'inscrivent dans un courant très novateur, car elles remettent largement en cause une idée communément reçue concernant la monarchie d'Ancien régime, encore défendue en 1969 par Georges Durand : un roi, des ministres qui ne sont que des commis, des conseils qui ne sont que des bureaux, un parlement qui, politiquement, n'est plus qu'un greffe, une hiérarchie de tribunaux et d'institutions financières appliquant les édits et exécutant les exigences du Brevet de la taille autant que l'économie pouvait le supporter.

L'immigration renvoie comme en miroir à l'identité collective et au sentiment d'altérité. D'où l'intérêt d'une plongée dans le passé pour dénaturaliser les catégories actuelles, mesurer l'écart dans la façon dont se constituent les perceptions interethniques, tout en soulignant des processus similaires ou tout au moins comparables pour délimiter les frontières entre « eux » et « nous », autochtone et étranger, immigrés « assimilables » ou « indésirables ». Dans la France méridionale des années vingt, à un moment où l'immigration connaît une forte poussée et se trouve en débat, quelles représentations construisent le rapport à l'étrangeté, à l'étranger et finalement à l'immigré? Il ne s'agit pas d'opposer terme à terme le « Français » à « l'étranger », mais de décrire la gamme de nuances et d'ambivalences qui composent les multiples visages de celui-ci.