Fonds d'investissement. Prudence au Maghreb
In: Jeune Afrique, Heft 1772-1773, S. 117-120
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In: Jeune Afrique, Heft 1772-1773, S. 117-120
In: Courrier hebdomadaire du CRISP, Band 2573-2574, Heft 8, S. 5-92
In: La revue maritime: informations, actualités, documentation maritime, Heft 490, S. 80-82
ISSN: 0335-3796, 1146-2132
In: Humanisme et entreprise: cahiers du Centre d'Études et de Recherches, Band 316, Heft 1, S. 47-66
ISSN: 0018-7372
Devenue une exigence de l'ère révolutionnaire (Hamel, 2002), l'expérimentation réside au c œur du potentiel d'innovation d'une firme (Thomke, 2001). L'ouverture de son champ d'application pour passer d'une simple expérimentation de produits à une expérimentation de Business Model donne naissance à la notion d'expérimentation stratégique. D'après Chesbrough (2010), les méthodes expérimentales citées dans le corpus théorique, notamment dans le cadre de développement et d'expérimentation de produits (Thomke, 2003), fournissent une base relativement riche pour appréhender les mécanismes à travers lesquels les entreprises s'engagent dans une expérimentation stratégique. Dans cet article, nous proposons d'étudier ces processus d'expérimentation stratégique du Business Model par l'analyse de l'approche d'acteurs spécifiques que sont les fonds d'investissement. Une démarche qualitative d'analyse de données reposant sur 17 entretiens avec 12 fonds d'investissement spécialisés en LBO et en capital développement a été menée. Elle a permis de mettre en perspective 4 moments clés de l'expérimentation stratégique qui sont : la conception, le cadre, l'organisation et le contrôle. Le croisement entre ces moments permet de construire une compréhension assez fine de la pratique d'expérimentation stratégique du BM par les fonds d'investissement et dévoile comment ces derniers pèsent sur la stratégie de leurs participations et interviennent dans la définition de scénarios de changement de leur Business Model.
In: Mondes en développement, Band 159, Heft 3, S. 135-149
ISSN: 1782-1444
Parmi les défis auxquels est confrontée une économie peu diversifiée comme celle de l'Algérie figure le développement de l'investissement productif par la transformation de son épargne publique abondante. Face à l'absence d'acteurs remplissant ce rôle, nous plaidons en faveur de la création d'un Fonds d'investissement d'État. Celui-ci aurait une stratégie tournée vers l'investissement national sur le long terme. Nous en précisons les objectifs stratégiques et l'organisation à adopter.
In: Revue tiers monde: études interdisciplinaires sur les questions de développement, Band 32, Heft 127, S. 533-549
ISSN: 1963-1359
In: Revue française de sociologie. [English edition], Band 59, Heft 1, S. 37-69
ISSN: 2271-7641
Resume Résumé. Cet article traite de la financiarisation des entreprises françaises à partir du cas spécifique des fonds d'investissement et des opérations d'acquisition avec effet de levier ( Leveraged Buy-Out ou LBO ). Il tente d'évaluer deux thèses en présence : celle du changement par invasion d'acteurs étrangers et celle du changement par conversion de l'élite économique française. Dans ce but, il analyse la structure du champ des fonds d'investissement en France dans les années 2000 – en particulier son mode de différentiation et d'intégration – puis décrit les conditions – économiques, politiques et idéologiques – qui ont favorisé son émergence et son intégration dans le capitalisme français depuis les années 1980. La thèse de l'invasion n'est pas adéquate en raison de la structure particulière du champ qui n'est pas totalement dominé par les acteurs anglo-américains. La thèse de la conversion est plus pertinente mais n'est pas totalement satisfaisante : la conversion de masse se fait dans les années 1990, lorsque le champ a déjà émergé et s'est stabilisé. L'émergence de ce champ d'action stratégique serait plutôt due à la fusion de segments centraux et périphériques, et il a pu élargir son périmètre à la faveur de la modification du contexte structurel des années 1990-2000.
In: Géographie, économie, société, Band 19, Heft 4, S. 537-560
ISSN: 1958-5802
In: Notes et études documentaires, 5146
World Affairs Online
In: 5èmes Journées de Recherches en Sciences Sociales SFER-INRA-CIRAD. 2011; 5. Journées de recherches en sciences sociales INRA SFER CIRAD, Dijon, FRA, 2011-12-08-2011-12-09
La financiarisation des marchés agricoles est un fait ancien. Le fait nouveau, à la fin des années 2000, est le développement fulgurant du montant des investissements par de nouveaux types d'opérateurs utilisant des instruments innovants. L'augmentation des investissements dits spéculatifs est concomitante avec la forte hausse des prix en 2007-08 et avec l'augmentation de la volatilité implicite sur les marchés agricoles de référence. Une controverse s'est alors développée sur la responsabilité des nouveaux fonds d'investissement, avec comme conséquence la volonté publique de réguler les marchés de matières premières, les produits agricoles en particulier. Le point culminant de la réflexion politique mondiale correspond à la réunion du G-20 en France début novembre 2011, point précédé d'un G-20 agricole trois mois plus tôt. L'article explore l'hypothèse de cette responsabilité en décomposant les relations de causalité théoriques puis en testant leur existence sur la base de données publiques mais non utilisées sur le plan académique à notre connaissance.
BASE
In: Banque: revue mensuelle du banquier, de son personnel et de sa clientèle, S. 807-817
ISSN: 0005-5581
La financiarisation des marchés agricoles est un fait ancien. Le fait nouveau, à la fin des années 2000, est le développement fulgurant du montant des investissements par de nouveaux types d'opérateurs utilisant des instruments innovants. L'augmentation des investissements dits spéculatifs est concomitante avec la forte hausse des prix en 2007-08 et avec l'augmentation de la volatilité implicite sur les marchés agricoles de référence. Une controverse s'est alors développée sur la responsabilité des nouveaux fonds d'investissement, avec comme conséquence la volonté publique de réguler les marchés de matières premières, les produits agricoles en particulier. Le point culminant de la réflexion politique mondiale correspond à la réunion du G-20 en France début novembre 2011, point précédé d'un G-20 agricole trois mois plus tôt. L'article explore l'hypothèse de cette responsabilité en décomposant les relations de causalité théoriques puis en testant leur existence sur la base de données publiques mais non utilisées sur le plan académique à notre connaissance.
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La financiarisation des marchés agricoles est un fait ancien. Le fait nouveau, à la fin des années 2000, est le développement fulgurant du montant des investissements par de nouveaux types d'opérateurs utilisant des instruments innovants. L'augmentation des investissements dits spéculatifs est concomitante avec la forte hausse des prix en 2007-08 et avec l'augmentation de la volatilité implicite sur les marchés agricoles de référence. Une controverse s'est alors développée sur la responsabilité des nouveaux fonds d'investissement, avec comme conséquence la volonté publique de réguler les marchés de matières premières, les produits agricoles en particulier. Le point culminant de la réflexion politique mondiale correspond à la réunion du G-20 en France début novembre 2011, point précédé d'un G-20 agricole trois mois plus tôt. L'article explore l'hypothèse de cette responsabilité en décomposant les relations de causalité théoriques puis en testant leur existence sur la base de données publiques mais non utilisées sur le plan académique à notre connaissance.
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The financial development of agricultural markets is not recent. But, starting early 2000, a large amount of investments on commodity markets, including agriculture, have been realized using innovative instruments. And in 2007-08, the continuous increase of investment was simultaneous with prices increases. Speculation and price spikes were soon "correlated". A controversial debate on the role of commodity investment funds emerge that induced G-20 decision in November 2011 to limit excessive price volatility on commodity markets through improved control of speculation on futures and OTC markets. The article is analysing the hypothesis that commodity funds are causing price volatility using first a direct relationship between the "Assets Under Management" (AUM) of these funds and the agricultural futures prices, and second a sequential relationship between these variables through the commitment of commodity funds on related futures markets (open interest detained). As a conclusion, we validate the results of the two parties of the controversy. ; La financiarisation des marchés agricoles est un fait ancien. Le fait nouveau, à la fin des années 2000, est le développement fulgurant du montant des investissements par de nouveaux types d'opérateurs utilisant des instruments innovants. L'augmentation des investissements dits spéculatifs est concomitante avec la forte hausse des prix en 2007-08 et avec l'augmentation de la volatilité implicite sur les marchés agricoles de référence. Une controverse s'est alors développée sur la responsabilité des nouveaux fonds d'investissement, avec comme conséquence la volonté publique de réguler les marchés de matières premières, les produits agricoles en particulier. Le point culminant de la réflexion politique mondiale correspond à la réunion du G-20 en France début novembre 2011, point précédé d'un G-20 agricole trois mois plus tôt. L'article explore l'hypothèse de cette responsabilité en décomposant les relations de causalité théoriques puis en testant leur existence sur la base ...
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