Japon: comportements et services médico-sociaux
In: Les Personnes âgées dans le monde
In: Les Monographies du C.I.G.S.
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In: Les Personnes âgées dans le monde
In: Les Monographies du C.I.G.S.
In: Guides santé social
In: Population: revue bimestrielle de l'Institut National d'Etudes Démographiques. French edition, Band 5, Heft 2, S. 387-388
ISSN: 0718-6568, 1957-7966
In: Vie sociale: cahiers du CEDIAS, Band 15, Heft 3, S. 187-200
La prise en charge des besoins spécifiques des personnes âgées en situation de perte d'autonomie représente une dépense estimée à environ 28 milliards d'euros en 2011, financée à hauteur de 21 milliards par des aides publiques dont la part dans le pib devrait s'accroître continument jusqu'en 2060. Cet effort finance principalement des établissements et services médico-sociaux, établissements d'hébergement et services d'aide et de soins à domicile. Les premiers ont vu leurs capacités tripler depuis les années 1960 et se sont modernisés et médicalisés pour mieux répondre aux besoins de soins d'une population de plus en plus âgée et dépendante. Les seconds se sont développés fortement pour accompagner la politique de maintien à domicile des personnes âgées. Toutes ces structures sont aujourd'hui confrontées à la même nécessité d'améliorer en permanence la qualité de leurs prestations pour mieux répondre aux besoins des personnes tout en maîtrisant leur reste à charge.
Depuis 2010, la Haute Autorité de Santé (HAS), l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (ANACT) puis la Direction générale de l'offre des soins (DGOS) œuvrent ensemble pour encourager et accompagner les établissements de santé, médico-sociaux et sociaux, à mettre en place des démarches Qualité de Vie au Travail (QVT). La QVT y est ainsi définie : « elle regroupe l'ensemble des actions permettant de concilier l'amélioration des conditions de travail pour les salariés et la performance globale des établissements de santé. Ces actions permettent d'accompagner les professionnels tout en garantissant la sécurité des soins, la qualité des soins et la santé des professionnels »(1). La convergence d'intérêts est soulignée entre les salariés, les patients et leur entourage, les représentants du personnel, les directions des établissements et les organismes de tutelle.« La clé́ de voûte de la qualité de vie au travail réside dans le pouvoir d'agir sur son travail : elle place le travail, son organisation, sa transformation au centre du dialogue professionnel au sein des services et du dialogue social au sein des instances représentatives du personnel. Redonner le temps pour pouvoir discuter et agir sur les conditions d'exercice favorise l'engagement des personnes et permet de dégager des marges de manœuvre dans un contexte où directions comme professionnels ont souvent le sentiment de subir des injonctions venant d'ailleurs. Cela repose sur des mécanismes renouvelés de responsabilisation, d'autonomie et de prise de décisions » (2).Cette définition de la QVT, portée par le comité de pilotage des clusters, s'inscrit dans la continuité de l'ANI de 2013, « Vers une politique d'amélioration de la Qualité de Vie au travail et de l'égalité professionnelle », et du projet d'accord QVT de la fonction publique du 12 janvier 2015, projet non co-signé par les partenaires sociaux. Les Clusters sociaux sont conçus comme des dispositifs d'accompagnement ...
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Depuis 2010, la Haute Autorité de Santé (HAS), l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (ANACT) puis la Direction générale de l'offre des soins (DGOS) œuvrent ensemble pour encourager et accompagner les établissements de santé, médico-sociaux et sociaux, à mettre en place des démarches Qualité de Vie au Travail (QVT). La QVT y est ainsi définie : « elle regroupe l'ensemble des actions permettant de concilier l'amélioration des conditions de travail pour les salariés et la performance globale des établissements de santé. Ces actions permettent d'accompagner les professionnels tout en garantissant la sécurité des soins, la qualité des soins et la santé des professionnels »(1). La convergence d'intérêts est soulignée entre les salariés, les patients et leur entourage, les représentants du personnel, les directions des établissements et les organismes de tutelle.« La clé́ de voûte de la qualité de vie au travail réside dans le pouvoir d'agir sur son travail : elle place le travail, son organisation, sa transformation au centre du dialogue professionnel au sein des services et du dialogue social au sein des instances représentatives du personnel. Redonner le temps pour pouvoir discuter et agir sur les conditions d'exercice favorise l'engagement des personnes et permet de dégager des marges de manœuvre dans un contexte où directions comme professionnels ont souvent le sentiment de subir des injonctions venant d'ailleurs. Cela repose sur des mécanismes renouvelés de responsabilisation, d'autonomie et de prise de décisions » (2).Cette définition de la QVT, portée par le comité de pilotage des clusters, s'inscrit dans la continuité de l'ANI de 2013, « Vers une politique d'amélioration de la Qualité de Vie au travail et de l'égalité professionnelle », et du projet d'accord QVT de la fonction publique du 12 janvier 2015, projet non co-signé par les partenaires sociaux. Les Clusters sociaux sont conçus comme des dispositifs d'accompagnement ...
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Depuis 2010, la Haute Autorité de Santé (HAS), l'Agence nationale pour l'amélioration des conditions de travail (ANACT) puis la Direction générale de l'offre des soins (DGOS) œuvrent ensemble pour encourager et accompagner les établissements de santé, médico-sociaux et sociaux, à mettre en place des démarches Qualité de Vie au Travail (QVT). La QVT y est ainsi définie : « elle regroupe l'ensemble des actions permettant de concilier l'amélioration des conditions de travail pour les salariés et la performance globale des établissements de santé. Ces actions permettent d'accompagner les professionnels tout en garantissant la sécurité des soins, la qualité des soins et la santé des professionnels »(1). La convergence d'intérêts est soulignée entre les salariés, les patients et leur entourage, les représentants du personnel, les directions des établissements et les organismes de tutelle.« La clé́ de voûte de la qualité de vie au travail réside dans le pouvoir d'agir sur son travail : elle place le travail, son organisation, sa transformation au centre du dialogue professionnel au sein des services et du dialogue social au sein des instances représentatives du personnel. Redonner le temps pour pouvoir discuter et agir sur les conditions d'exercice favorise l'engagement des personnes et permet de dégager des marges de manœuvre dans un contexte où directions comme professionnels ont souvent le sentiment de subir des injonctions venant d'ailleurs. Cela repose sur des mécanismes renouvelés de responsabilisation, d'autonomie et de prise de décisions » (2).Cette définition de la QVT, portée par le comité de pilotage des clusters, s'inscrit dans la continuité de l'ANI de 2013, « Vers une politique d'amélioration de la Qualité de Vie au travail et de l'égalité professionnelle », et du projet d'accord QVT de la fonction publique du 12 janvier 2015, projet non co-signé par les partenaires sociaux. Les Clusters sociaux sont conçus comme des dispositifs d'accompagnement ...
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In: Vie sociale: cahiers du CEDIAS, Band 38, Heft 2, S. 81-88
« Ne fais pas à autrui ce que tu n'aimerais pas qu'on te fasse » pourrait être le fil conducteur de cette réflexion à quatre mains autour des cadres et de leur rapport à la vie intime, sensuelle, affective et sexuelle, des personnes en situation de handicap qui sont sous leur responsabilité et qui dépendent de leur morale et de leur éthique subjectives. Partant, nous abordons la nécessité urgente de faire évoluer les formations actuelles afin de les enrichir d'un travail sur la sémantique et la conscientisation.
In: Bioethica Forum: Schweizer Zeitschrift für biomedizinische Ethik
ISSN: 1662-601X
In: Gérontologie et société: cahiers de la Fondation Nationale de Gérontologie, Band 24 / n° 96, Heft 1, S. 43-57
ISSN: 2101-0218
L'évolution des Etablissements Médico-Sociaux (EMS) à Genève a conduit à une structuration de la réflexion sur l'animation et à une organisation des professionnels (à travers, en particulier, une association: l'AGASPA). La conception de «l'animation relationnelle et de proximité» prend alors une place prépondérante. Cependant, l'analyse des projets d'animation articulés sur cette conception a mis en évidence les freins à une réelle individualisation des pratiques. Il serait nécessaire de mettre en œuvre de nouveaux moyens afin que l'animation joue pleinement son rôle dans une politique d'amélioration de la qualité de vie en établissement.
In: Gérontologie et société, Band 18 / n° 75, Heft 4, S. 68-77
In: Terrains santé social
World Affairs Online
In: Vie sociale: cahiers du CEDIAS, Band 43, Heft 3, S. 55-69
La notion de « parcours inclusifs » est le nouveau paradigme du secteur social et médico-social devant répondre à de nouvelles demandes échappant à la « tyrannie de l'offre historique ». Offre de lits en établissements avec la loi du 30 juin 1975 sur les institutions sociales et médico-sociale, étendue à des places avec la loi n° 2002-2 qui ajoute « services » à « établissements » pour arriver aux établissements et services sociaux et médico-sociaux ( essms ). Ces deux dernières décennies, la notion de « dispositifs » s'est imposée, avec des dispositifs annexes des essms comme le sont les permanences d'accueil et de soins Alzheimer ( pasa ) dans les ehpad et des dispositifs annexant les essms comme les dispositifs itep . La Conférence nationale du handicap du 26 avril 2023 veut imposer la notion de « solutions » alors que la France, au niveau international et européen, est sommée de désinstitutionnaliser la prise en charge des personnes à accompagner. Les plateformes coopératives territorialisées de services sociaux et médico-sociaux, dans le cadre de la construction d'une cinquième branche de la sécurité sociale – la branche autonomie –, pourraient permettre le dépassement dialectique de toutes ces contradictions et injonctions paradoxales.
International audience ; This paper proposes to objectify regional disparities of residential facilities for persons with disabilities from 1970s to 2010s in France and to study the impact of social policies on their evolution. It aims to understand the specific regional approaches to this sector. We measured the regional distribution of these institutions, through to a quantitative analysis of the National File of health and social institutions (FINESS ) and statistical surveys conducted between 1978 and 2010. This first analysis helps to appreciate the impact of disability policies on the distribution of residential care facilities, thanks to the introduction of a regional regulation and a spatial planning (from 1975 to 2010). The results show a reduction in regional inequalities since the late 1970s despite continued local specificities, including an oversupply of residential facilities in rural areas. ; L'objet de cet article est d'objectiver les disparités territoriales d'équipement en structures d'hébergement pour adultes handicapés en France, des années 1970 à nos jours, d'étudier l'impact des politiques sociales sur leur évolution et ainsi d'appréhender les logiques territoriales propres à ce secteur. Une analyse quantitative du Fichier National des établissements sanitaires et sociaux (FINESS) et d'enquêtes statistiques réalisées entre 1978 et 2010 permet de mesurer la répartition territoriale des établissements. Cette première analyse aide à comprendre les répercussions des politiques du handicap sur la répartition des établissements médico-sociaux, avec la progressive mise en place d'une régulation territoriale et la construction de la planification dans le champ médico-social de 1975 à 2010. Les résultats font apparaître une réduction des inégalités territoriales depuis la fin des années 1970 malgré un maintien de particularités locales, avec notamment un suréquipement dans les territoires ruraux.
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