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World Affairs Online
In: Études rurales: anthropologie, économie, géographie, histoire, sociologie ; ER, S. 97-118
ISSN: 0014-2182
In: Etudes rurales: anthropologie, économie, géographie, histoire, sociologie ; ER, Band 70, Heft 1, S. 97-118
ISSN: 1777-537X
The Orange-Groves and Market-Gardens at Ambohijafy. An Uncommon Sight in the Plains of Tananarive.
The Plains of Tananarive are composed of two areas: the lowlands (about 4,200 feet above sea-level) which can be flooded and are devoted to rice-growing; and the hills (tanety) overlooking these lowlands by 70-850 feet. Most often, people grow subsistence crops on these hills (such as cassava plants, yams. . .), but for about 50 years and particularly since the end of the last war, part of the tanety cultivated land has been devoted to market-gardening and fruit-growing. Ambohijafy village concentrates on that marketable produce in the small valleys penetrating into the mass of the hill, and on the lower slopes. That cultivation, particularly that of citrus fruit, gives the Ambohijafy area quite a particular look and above all provides the villagers with high income as compared to loca conditions.
Ambohijafy, supplying the market of Tananarive, gives us an uncommon image of the relations between a village and a large city in Madagascar, an image of "active dependence".
In: Journal of the economic and social history of the Orient: Journal d'histoire économique et sociale de l'orient, Band 56, Heft 4-5, S. 569-630
ISSN: 1568-5209
RésuméL'histoire économique de Damas et du Bilād al-Shām à l'époque mamelouke demeure un champ de recherche difficile à explorer du fait de la rareté des documents d'archives disponibles et du caractère épars des informations dans les textes historiques. En prenant comme source principale un passage particulièrement détaillé de la chronique de l'historien al-Jazarī (viiie/xivesiècle), cet article entend non seulement mettre en lumière la richesse et la diversité de la production agricole de Damas mais également contribuer à une meilleure connaissance de l'économie et du système fiscal de la ville et de sa campagne, la Ghūṭa, à la fin de la période médiévale.
National audience ; Greenhouses have a micro-climate that is more humid and warmer than the outside environment. These conditions are particularly conducive to development of a variety of plant pests. in this agrosystem, plant health management has relied for many years on combinations of diverse control methods directed at various pests. This approach (initially referred to as "integrated control") has followed the general conceptual evolution of other agrosystems, and the terms "integrated (and biological) protection", "integrated production", and in France "Agriculture raisonnee", have been increasingly associated with greenhouse vegetable production. However, is it possible for similar development to take place at a practical level, considering the increasingly competitive economic situation and an increasingly complex production scheme? While chemical control has become increasingly difficult, the array of alternative control methods against various pests and pathogens of greenhouse crops has progressively broadened. However, the coordinated deployment of this arsenal in the context of integrated protection (taking into account all plant health constraints in the greenhouse) remains largely empirical and still lacks robustness in confronting a variety of disturbances within the system (emergence of new pests, evolution of legal or economic and social constraints). Furthermore, several studies on durability suggest that in the same way chemical control and the deployment of resistant varieties suffers diminishing effect with recurrent use, other control methods (biological, physical) could also lose their effectiveness against particularly variable plant pests or pathogens. In a perspective of durable development, for which greenhouse production has specific advantages, research should be focused on Integrated Production to take as many of the constraints into account in the production system as possible. Such a multidisciplinary approach represents a challenge that a consortium of Inra (Institut national de ...
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L'amélioration de la durabilité de la production maraîchère est une nécessité pour assurer la sécurité alimentaire et réduire la pauvreté dans les pays d'Afrique subsaharienne. Cependant cette amélioration nécessite la connaissance du niveau actuel de durabilité des exploitations de production maraîchère afin d'identifier les points sur lesquels on pourrait agir pour les faire évoluer vers une agriculture durable. L'objectif principal de la thèse est d'analyser la durabilité de la production maraîchère au sud-Bénin par l'approche écosystémique. Pour atteindre cet objectif, des enquêtes ainsi que des prélèvements et analyses d'échantillons de légumes, de sols maraîchers et d'eaux ont été effectués de 2009 à 2012 au niveau des unités de production maraîchère. Le calcul des scores de durabilité a été fait à l'aide d'un outil IDPM (Indicateurs de Durabilité de la Production Maraîchère), construit sur la base de la méthode IDEA (Indicateurs de Durabilité des Exploitations Agricoles) qui évalue les scores des exploitations sur les trois échelles de durabilité agroécologique, socioterritoriale et économique. Les risques sanitaires et environnementaux des exploitations ont été évalués à l'aide de l'Indicateur de Risques des Pesticides du Québec (IRPeQ). Les efficacités des exploitations ont été estimées par une méthode paramétrique de frontière stochastique translogarithmique et Cobb-Douglas. Les résultats de l'étude montrent que les systèmes de production de grande superficie et irrigation motorisée ont des scores de durabilité les plus élevés (p<0,0001). La dimension agroécologique est l'échelle limitant la durabilité dans la production maraîchère au sud du Bénin. Les producteurs n'ont aucun objectif de réduction des risques sanitaires et environnementaux liés à l'utilisation des pesticides, ils utilisent généralement les pesticides qu'ils trouvent sur le marché, pourvu qu'ils arrivent à éliminer les ravageurs et maladies de cultures. Des résidus de pesticide ont été retrouvés en faible quantité dans des légumes produits et commercialisés au Bénin et aussi dans des légumes collectés avant récolte au champ. Les teneurs les plus élevées ont été détectées dans la grande morelle (96,6 ppb d'Equivalent-deltaméthrine). Les facteurs main d'oeuvre et engrais chimiques ne sont pas utilisés de façon optimale par les producteurs, ce qui entraîne des inefficacités dans la production. Une amélioration de la dimension agroécologique de la durabilité va accroître la durabilité globale de la production. Des efforts de sensibilisation des producteurs sur les risques inhérents à l'utilisation des pesticides chimiques ainsi que le port d'équipements de protection individuelle appropriés lors de l'épandage de ces produits doivent être multipliés à travers les ONGs et associations de consommateurs. Une subvention à l'acquisition des équipements de protection individuelle appropriée par ces producteurs, le renforcement de l'encadrement technique, la mise à disposition sur les marchés, des biopesticides efficaces et l'introduction des méthodes physiques de lutte contre tous les nuisibles de cultures maraîchères réduiront les risques liés à l'utilisation des pesticides chimiques et accroître le niveau actuel de durabilité de la production. Les autorités municipales ou communales doivent également insérer cette activité dans leurs programmes d'actions prioritaires afin de préserver les espaces verts de production qui se réduisent dans les villes pour ainsi préserver des emplois à de nombreux jeunes gens dans la population active. Les perspectives de recherche sont orientées vers la mise au point d'un progiciel pour l'automatisation du calcul des scores, la mise au point d'un réseau attribuant des certificats de durabilité, le suivi des risques pesticides en maraîchage et l'étude de la dynamique de la production.
BASE
In: Congo-Afrique: économie, politique, vie sociale, culture, Band 48, Heft 438, S. 567-591
ISSN: 0010-5767, 0049-8513, 1819-1010
World Affairs Online
In: Savoir Faire Ser.
Intro -- Sommaire -- Avant-propos -- Préambule -- Préface -- Remerciements -- Introduction -- Chapitre 1. Décliner les principes de l'agroécologie à la protection -- Les contours de l'agroécologie -- L'agroécologie, science de la révolution agricole du xxie siècle ? -- L'agroécologie vue par un écologue évolutionniste -- L'agronomie est-elle soluble dans l'agroécologie ? -- Agroécologie et cadres de référence : une lecture épistémologique -- Évolution de la protection des cultures -- Regard critique d'un historien des sciences sur l'évolution de la protection des cultures -- Passer de la protection intégrée à la protection agroécologique des cultures -- La protection agroécologique des cultures : à l'interface de l'agroécologie, de la protection des cultures et de la gestion de la biodiversité -- Application de l'agroécologie à la protection des cultures -- Axes directeurs de la protection agroécologique des cultures -- Rôle de la biodiversité dans le fonctionnement des agroécosystèmes -- Définition et stratégie de mise en œuvre de la PAEC -- La lutte biologique par conservation -- Conclusion -- Chapitre 2. Application en cultures maraîchères : l'expérience Gamour -- Introduction -- Contexte et enjeux -- Les mouches des légumes : ravageurs n° 1 de l'agriculture réunionnaise -- Une réponse chimique systématique et inefficace -- Sortir de l'impasse par la gestion agroécologique des ravageurs -- Les enjeux scientifiques et socioéconomiques du projet Gamour -- La plus-value de l'association des différents partenaires du projet -- Une étape majeure vers une agriculture réunionnaise durable et rentable -- Conception du projet Gamour -- Une concertation inter-acteurs longue et précieuse -- Des financements multiples, un partenariat diversifié -- Une structuration des actions adaptée aux objectifs.
La « coopérative des maraîchers unis » est une coopérative de maraîchers produisant des légumes biologiques selon les principes de l'agroécologie. Située en Wallonie, la coopérative emploie quatre maraichers-coopérateurs et autant d'aidants (stagiaires et travailleurs à temps partiel) qui représentent au total entre cinq et six équivalents temps plein. La plupart des travailleurs de la coopérative sont des « NIMAculteurs », des agriculteurs Non Issus du Milieu Agricole, de 35 ans en moyenne et qui ont eu des expériences professionnelles dans des domaines variés, allant du droit à la recherche agronomique en passant par l'éducation, les sciences politiques ou l'aide à la jeunesse. Je me suis rendu sur ce terrain de juin 2016 et février 2017 où j'ai participé aux différentes activités de la coopérative tant du côté des aidants que des maraîchers-coopérateurs. La question de recherche qui m'anime au travers de cette ethnographie peut se formuler comme suit : « Au-delà des apparences, quelles sont les réalités vécues par les membres d'une coopérative maraîchère agroécologique en Wallonie ?». Outre un nécessaire volet méthodologique et une présentation de la coopérative, cette question est explorée selon différents angles. J'interroge et je présente notamment dans ce mémoire les représentations de la nature des membres de la coopérative, les nombreux savoirs et savoir-faire inhérents au métier, les réalités économiques de cette profession ainsi que le mode de gestion de la coopérative. La place de cette coopérative dans le champ de la paysannerie est également questionnée à la fin de ce mémoire. ; Master [120] en anthropologie, Université catholique de Louvain, 2017
BASE
La « coopérative des maraîchers unis » est une coopérative de maraîchers produisant des légumes biologiques selon les principes de l'agroécologie. Située en Wallonie, la coopérative emploie quatre maraichers-coopérateurs et autant d'aidants (stagiaires et travailleurs à temps partiel) qui représentent au total entre cinq et six équivalents temps plein. La plupart des travailleurs de la coopérative sont des « NIMAculteurs », des agriculteurs Non Issus du Milieu Agricole, de 35 ans en moyenne et qui ont eu des expériences professionnelles dans des domaines variés, allant du droit à la recherche agronomique en passant par l'éducation, les sciences politiques ou l'aide à la jeunesse. Je me suis rendu sur ce terrain de juin 2016 et février 2017 où j'ai participé aux différentes activités de la coopérative tant du côté des aidants que des maraîchers-coopérateurs. La question de recherche qui m'anime au travers de cette ethnographie peut se formuler comme suit : « Au-delà des apparences, quelles sont les réalités vécues par les membres d'une coopérative maraîchère agroécologique en Wallonie ?». Outre un nécessaire volet méthodologique et une présentation de la coopérative, cette question est explorée selon différents angles. J'interroge et je présente notamment dans ce mémoire les représentations de la nature des membres de la coopérative, les nombreux savoirs et savoir-faire inhérents au métier, les réalités économiques de cette profession ainsi que le mode de gestion de la coopérative. La place de cette coopérative dans le champ de la paysannerie est également questionnée à la fin de ce mémoire. ; Master [120] en anthropologie, Université catholique de Louvain, 2017
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A la demande de la DDR de la Province Sud, le CIRAD-TERA a apporté son appui à la mise en oeuvre d'une démarche visant l'intégration de la Station de Recherche Maraîchère et Horticole et du CFPPA du Sud dans leur environnement. Le travail a concerné l'information approfondie de la tribu de Saint-Louis, la réalisation d'un premier diagnostic des activités des habitants de la tribu ainsi que la mise en évidence de la place actuelle de l'agriculture dans les stratégies individuelles et familiales mises en oeuvre. Une étude des conditions de mise en marché des produits maraîchers et fruitiers a complété ce diagnostic. A partir des résultats obtenus par ces études, des propositions ont été formulées et débattues avec la population de la tribu et les acteurs institutionnels concernés, au cours de plusieurs réunions de restitution. Le présent rapport rend compte des résultats des études menées et formule des propositions susceptibles de favoriser le renforcement des activités agricoles et rurales actuelles au sein de la tribu.
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In: Hommes & migrations: première revue française des questions d'immigration, Band 1234, Heft 1, S. 72-75
ISSN: 2262-3353
D'abord tributaires des directives gouvernementales en matière de production agricole, les Hmong installés en Guyane française se sont ensuite spécialisés dans les cultures maraîchères et arboricoles. Si leur réussite en la matière est indéniable, l'accroissement de la pression démographique et des difficultés inhérentes à l'agriculture guyanaise les obligent désormais à diversifier leurs activités, en particulier vers le tourisme.
In: Afrique contemporaine: la revue de l'Afrique et du développement, Band 210, Heft 2, S. 171-190
ISSN: 1782-138X
Résumé Le Centre-Est de la Côte d'Ivoire, traditionnellement dominé par la culture du cacao, a connu des problèmes de déforestation et de vieillissement des plantations. Face à cette situation, s'y sont développées depuis plus de dix ans des cultures maraîchères, tomate surtout, afin de pallier une chute des revenus agricoles. Cet article examines les conditions dans lesquelles les revenus de cette culture permettent une autonomisation économique des maraîchers dans un environnement marqué par une forte hiérarchisation sociale.
The question of farmers and agriculture in African cities has already been largely studied. If the situation of agriculture in Khartoum presents similarities with other African cities, there are nevertheless interesting differences, one of which being the modes of starting and growing of these activities. By placing Khartoum's case in a global context, this research presents the interest of an original African agglomeration, because located at the meeting point between north Africa and sub-Saharan Africa. This work takes into account a large panel of agricultural activities, in order to highlight the diversity of urban agriculture in Khartoum and to lead a comparative analysis. The spatial frame of this work is the entire territory of the Sudanese capital, in order to question the viability of an agricultural use of space, in the globality of the urban territory. This work will clarify the ambiguous relationship between the city and its farmers, in order to raise the question of the sustainability of agricultural activities in an urban area. The work will highlight the constraints on urban farming and describe the elements allowing the sustainability of these activities and their displacements following each extension of the city. If the future of urban agriculture depends mainly on governmental politics, it is also strongly related to the socio-economic integration of farmers. Finally, this study will consider the ambivalence of the relationship between the city and its farmers, which is exacerbated by the spatial and demographical growing of Greater Khartoum and by the Sudanese political and economical changes. This will lead to a debate upon the City itself and a broader approach of urban politics, land tenure pattern, along with insertion and adaptation modes of migrants. ; La question des activités agricoles et des agriculteurs dans les villes africaines a largement été étudiée et débattue. Dans la perspective de replacer le cas de Khartoum dans un contexte plus large, cette recherche offre la possibilité ...
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