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The inheritance of the east-European autocratic system frozen up by the communist state was thawed after the regime change, the constitutional revolution, and its components began to be reactivated. "Liberal" and "conservative" have become stigmas in many parts of the world, in line with fascist, reactionary, rightist, bourgeois etc. The attempts to find historic predecessors did not favor an objective approach. There are no serious unbiased syntheses; the political poles of the constitutional revolution and the ensuing period have been described in terms of different conspiracy theories. Dénes establishes distance from the enemy images and their political idioms current in today's eastern Europe. Provides in depth exploration and analysis required for the portrayal of specific features of conservatism, its strategic vision, conceptual system, argumentation, assessment criteria and values. Price's memoir weaves complicated strands-his Viennese origins, campaigns to distribute Jewish refugees away from New York City, the special qualities of Midwestern Ohio life in the 1950s-and the contrasting patterns of adjustment by different generations in his family in the American landscape. As he traces the particular path of his own life, Price reveals a more universal story of adjustment, and the relationship between a marginal community and the drama of American citizenship

« La vie agraire de la France apparaît, à partir du XVIIIe siècle, au plein jour de l'histoire », disait Marc Bloch . La vie agraire de la Hongrie apparaît, elle aussi, à partir du XVIIIe siècle, avec des traits plus clairs qu'auparavant. Et en même temps avec des traits nouveaux. Après la domination turque qui dura un siècle et demi, après les seize années de la guerre de libération (1683-99), puis après la guerre d'indépendance de Ràkoczi (1703-11), les territoires du Centre et du Midi, les plus précieux au point de vue agricole, pouvaient enfin se réintégrer à la vie du pays. Une nouvelle étape s'ouvrait, la dernière de l'ancien régime : en Hongrie, elle ne se termina qu'en 1848.

L'entreprise n'était pas aisée de rendre accessible au public français la totalité de l'histoire hongroise : peu familier avec les réalités danubiennes, ignorant la langue magyare, prisonnier d'une conception occidentalisante de l'histoire, celui-ci ne possède généralement que des notions confuses, sinon fausses, d'où émergent la figure d'épouvantail d'Attila, le romantisme de la putza, des tziganes et de Liszt, ou les événements de 1956. Le préfacier Georges Castellan a raison d'insister sur l'importance de la publication de ce livre, dont la présente version, qui fait suite à l'édition allemande, a été remaniée à l'usage du lecteur français.