Bruits et chuchotements
In: Jeune Afrique l'intelligent: hebdomadaire politique et économique international ; édition internationale, Heft 2088, S. 9
ISSN: 0021-6089
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In: Jeune Afrique l'intelligent: hebdomadaire politique et économique international ; édition internationale, Heft 2088, S. 9
ISSN: 0021-6089
In: Alternatives Économiques, Band 413, Heft 6, S. 58-59
In: Revue des sciences sociales de la France de l'Est, Band 19, Heft 1, S. 6-11
In: Revue économique, Band 27, Heft 2, S. 321
ISSN: 1950-6694
In: Esprit, Band Septembre, Heft 9, S. 55-66
Dans les comédies populaires récentes du cinéma français, les oppositions de classe se résolvent de manière consensuelle ou sont éclipsées par des oppositions ethniques qui peuvent renforcer les stéréotypes
In: Communications, Band 25, Heft 1, S. 86-100
ISSN: 2102-5924
In: Communications, Band 90, Heft 1, S. 83-94
Résumé « Désagréable », « gênant », « sans harmonie » : telles sont les caractéristiques principales du bruit dans le langage courant et l'opinion commune. Cette approche négative paraît bien constituer la plus fidèle représentation de notre paysage sonore ; elle en est la vision sociale, elle dit la manière dont nous vivons le bruit dans notre existence de tous les jours. Face à ce phénomène, le droit se doit d'intervenir. Il le fait de manière combinée et complémentaire, appréhendant les nuisances acoustiques de façon objective et subjective, dans leur aspect à la fois quantitatif et qualitatif.
The article is the result of several surveys, conducted with different methods around nearby noise. As the failure of the building makes it impossible for the tenant living in HLM to delimit a place of his own, he will have to play with the land imposed on him, use him to gain private space but also be able to use the noise of others to say, defend himself and be located in the community. ; International audience ; The article is the result of several surveys, conducted with different methods around nearby noise. As the failure of the building makes it impossible for the tenant living in HLM to delimit a place of his own, he will have to play with the land imposed on him, use him to gain private space but also be able to use the noise of others to say, defend himself and be located in the community. ; L'article est le résultat de plusieurs enquêtes, conduites avec des méthodes différentes autour des bruits de voisinage. La défaillance du bâti ne permettant pas au locataire vivant en HLM la délimitation d'un lieu propre, il va devoir jouer avec le terrain qui lui est imposé, ruser pour se gagner un espace privé mais aussi pouvoir utiliser le bruit des autres pour dire, se défendre et se situer dans le collectif.
BASE
In: Canadian public policy: Analyse de politiques, Band 48, Heft 1, S. 74-90
ISSN: 1911-9917
Le bruit environnemental – enjeu de santé publique et de qualité de vie – est encadré par différents paliers de gouvernement avec des prises en charge distinctes selon les États et régions du monde. Au Canada, le gouvernement fédéral, les provinces et les municipalités (et entités régionales et locales) se partagent la responsabilité du bruit provenant de différentes sources (transports, activités industrielles, activités récréatives, bruits de voisinage, etc.). La revue brossée ici à partir de politiques et de réglementations sur le bruit développées, depuis les années 1970, à tous ces paliers de gouvernement, laisse voir un portrait fragmentaire et inégal selon les provinces, ainsi qu'une multiplicité d'acteurs et de mesures qui exigeraient davantage d'intégration et d'harmonisation. L'étude prend appui sur une recension plus vaste à l'échelle internationale qui permet de situer le cas canadien et d'ouvrir sur une comparaison avec d'autres modèles. L'encadrement actuel, souvent centré sur des mesures réparatrices a posteriori, ne peut en lui-même résoudre tous les enjeux liés au bruit. Ce cadre d'action, qui repose principalement sur le contrôle des niveaux sonores, pourrait également être élargi et enrichi par des approches telles que (i) la prise en compte qualitative des diverses sensibilités des citoyens vis-à-vis du type de bruit rencontré et son contexte, et (ii) des outils de planification prenant pleinement en compte le bruit et plus largement l'environnement sonore en aménagement du territoire. Ainsi bonifié, l'encadrement du bruit serait en mesure de mieux répondre aux coûts sociaux et économiques engendrés par ce polluant environnemental au Canada et au souci de réduire les inégalités en matière d'exposition des populations au bruit.
L'artiste peintre Michel Parmentier a surtout été connu lors de sa brève association dite "BMPT" (Buren Mosset Parmentier Toroni) sur le devant de la scène artistique de 1967. Il s'agit ici de retracer ses débuts et de montrer son évolution à travers le temps et ses rencontres avec d'autres artistes (Hantaï, van Velde), tendances (l'expressionnisme abstrait, la peinture lyrique, l'art minimal.). L'exposition à la Galerie Fournier en mars-avril 2007 a permis de montrer de nombreuses toiles inconnues jusqu'alors d'où le questionnement : Michel Parmentier serait-il un peintre du retrait, voir même du silence ? L'étude des toiles est d'ordre chronologique et complétée par des éléments biographiques. Ces éléments ont été gracieusement donnés par Lucie Scheler qui fût sa compagne pendant de longues années. Bien que Parmentier commence par peindre des toiles abstraites, son engagement artistique et politique l'amène à la contestation. En effet, il décide de réduire l'art à son strict minimum (toile libre) en réduisant par-là même le geste du peintre à son anonymat (peinture à la bombe étalée de façon mécanique et répétitive). Ce geste naît à travers les manifestations aux côtés de Buren, Mosset et Toroni. Buren fait des rayures, Mosset des ronds, Parmentier des bandes et Toroni des traces de pinceaux. Sa volonté le pousse même à continuer seul ce chemin, cet "insistant monologue de muet" comme il le qualifiait lui-même. Ses bandes constituent toute sa peinture, le pli aussi qui en est une étape importante. En fait, l'un ne va pas sans l'autre. Parmentier invente une technique bien à lui dont il ne fera jamais défaut. Il s'arrête de peindre pendant quinze ans comme pour continuer sa réflexion non pas sur la toile mais dans ses pensées. Pour lui, c'était la suite logique des choses. Entre 1968 et 1983, il n'y a pas de peintures mais celles-ci nous manquent cruellement. Son grand retour était attendu avec impatience. Il reprendra d'ailleurs où il s'était arrêté (1966 : bandes bleues, 1967 : bandes grises, 1968 : bandes rouges, 1983 : bandes noires). Il reprend "la lancinante fascination du geste couvrant pour rien". À la surprise de tout le monde, en 1988, il change de support et même de peinture. Il utilise alors des feuilles de papiers calques et des bâtonnets d'huile blancs. Mais sa technique reste la même, il plie et peint ses bandes (la partie en réserve n'étant pas peinte, une fois dépliée, il en résulte des bandes), d'où le titre de ce mémoire qui veut rappeler cette impression que donnent les toiles de Parmentier : plus il tente d'être transparent, plus il est voyant : Michel Parmentier, le bruit du silence .
BASE
In: Année politique suisse: Schweizerische Politik, Band 49, S. 298
ISSN: 0066-2372